Manu II, le retour
Posté : 19 janv. 2016, 15:46
Salut à tous
Je suis de retours des premiers âges ( pour les fans du seigneurs des anneaux )
J'avais peut être une présentation ici, je suis passé vite fait, je l'ai pas retrouvé et elle devais être pleine de truc inutile comme je sais si bien le faire, donc je me refait une petite présentation tout neuve, et plus lisible.
Je ne suis pas diagnostiqué autiste.
Je me suis reconnu dans (feu) le syndrome d'asperger en 2004 ou 5, j'ai pas mal posté sur asperger aide et rencontré des gens passionnant (dont une personne avec qui j'ai gardé le contact et qui a été diagnostiqué récemment).
J'ai fuis ce forum (asperger aide) en usant de mes super pouvoir d'admin pour me faire disparaître moi même, et découvert un peut plus tard qu'il existait une zone d'ombre artificiellement créé par la suppression de tout ce qui menait vers d'autres forums. (absence de réponse, disparition de personne, bref, une torture pour les autistes qui vivent mal les chaînons logiques manquants, et dont le manque est masqué en plus )
Bref, je suis revenu triturer le sujet sur le forum aspéransa, nettement plus ouvert, et j'ai touillé, touillé, touillé, jusqu’à voir décanter un sujet me concernant : la maltraitance en institution hospitalière des tout petits en milieu hospitalier et l’inexistence officiel de la douleur des nourrisson jusqu'en 1987.
Je contribue pas mal a Wikipédia en parallèle, j'ai beaucoup bossé sur l'article autisme, créer complètement l'article histoire de la notion d'autisme et je bosse actuellement sur l'article douleur chez l'enfant, où j'ai ajouté récemment l'identification du traumatisme psychologique qui peux en résulter :
Ce parallèle sonne comme un retour de l'accusation des mères, et pourtant mes convictions sont bien contraires, je crois que l'épigénétique le prouve. L'épigénétique est la grande révolution biologique de ces 5 dernière années d'après Joel de Rosnay en 2011. Cette science démontre qu'un facteur peut être acquis, renforcé et disparaître en quelques génération, et les démonstration scientifique arrivent :
Moi j'y crois, et je tire de tout ça plusieurs hypothèse sur l'autisme :
1 - Ca serrait une adaptation biologique au stress ou au trauma, mais a l’échelle de plusieurs générations
2 - Il serrait hérité génétiquement et/ou épigénétiquement ou issue de mutations (c'est un mode de fonctionnement du corps qui peut être obtenu en poussant différent levier biologique ce qui n'exclus aucune cause innée).
3 - Il serrait plus ou moins activable ou désactivable suivant la nature de l’hérédité et de la biologie de chacun.
Autrement dit il existerait une multitude de possibilités, mais la maltraitance quasi institutionnelle des bébés hospitalisés aurait peut-être créer une sur-représentation d'enfant autiste chez ces jeunes patients.
Pour le savoir il suffit de compter, et c'est pourquoi je voudrais travailler a faire ce travail de recherche qui débouchera de toute façon sur une réponse à la question "y a-t-il une surreprésentation des enfants autistes parmi les enfants hospitalisé précocement?"
Voilà pourquoi je suis revenu et pourquoi j'ai posé un appel ici
Enfin, j'ai tendance a être dans le tout ou rien pour ce qui est de la participation aux forum, mais je vais essayer de me soigner cette fois
Je suis de retours des premiers âges ( pour les fans du seigneurs des anneaux )
J'avais peut être une présentation ici, je suis passé vite fait, je l'ai pas retrouvé et elle devais être pleine de truc inutile comme je sais si bien le faire, donc je me refait une petite présentation tout neuve, et plus lisible.
Je ne suis pas diagnostiqué autiste.
Je me suis reconnu dans (feu) le syndrome d'asperger en 2004 ou 5, j'ai pas mal posté sur asperger aide et rencontré des gens passionnant (dont une personne avec qui j'ai gardé le contact et qui a été diagnostiqué récemment).
J'ai fuis ce forum (asperger aide) en usant de mes super pouvoir d'admin pour me faire disparaître moi même, et découvert un peut plus tard qu'il existait une zone d'ombre artificiellement créé par la suppression de tout ce qui menait vers d'autres forums. (absence de réponse, disparition de personne, bref, une torture pour les autistes qui vivent mal les chaînons logiques manquants, et dont le manque est masqué en plus )
Bref, je suis revenu triturer le sujet sur le forum aspéransa, nettement plus ouvert, et j'ai touillé, touillé, touillé, jusqu’à voir décanter un sujet me concernant : la maltraitance en institution hospitalière des tout petits en milieu hospitalier et l’inexistence officiel de la douleur des nourrisson jusqu'en 1987.
Je contribue pas mal a Wikipédia en parallèle, j'ai beaucoup bossé sur l'article autisme, créer complètement l'article histoire de la notion d'autisme et je bosse actuellement sur l'article douleur chez l'enfant, où j'ai ajouté récemment l'identification du traumatisme psychologique qui peux en résulter :
Moi ça me rappelle des trucs très TED mais le dire fait de moi un emmerdeur puisque de là je fait volontiers des parallèles entre autiste et enfant traumatisé (d'ailleurs le nombre d'autistes hospitalisés enfants est grands, et je viser a récolter des données fiable pour confirmer ou infirmer cette impression)1 - Problèmes dans la relation d’attachement. (difficulté a créer une relation de confiance, voir aussi hospitalisme)
2 - Augmentation des problèmes physiologique (plus de maladies par exemple).
3 - Problème de gestion des émotions, certain ajoutent hébétude ou d’évitement, d’hyper-éveil ou reproduction des événements traumatisant (voir aussi Trouble de l'humeur).
4 - Problèmes cognitifs, en particulier du langage et de l’attention
5 - Problèmes de comportement, tels que désobéissance, coups, morsures, coups de pied aux autres enfants ou aux adultes, hyperactivité, difficultés à attendre et à écouter
Ce parallèle sonne comme un retour de l'accusation des mères, et pourtant mes convictions sont bien contraires, je crois que l'épigénétique le prouve. L'épigénétique est la grande révolution biologique de ces 5 dernière années d'après Joel de Rosnay en 2011. Cette science démontre qu'un facteur peut être acquis, renforcé et disparaître en quelques génération, et les démonstration scientifique arrivent :
Un stress précoce du grand père ou du père a des effets biologique sur sa descendance même s'il l'a eut par un simple don de sperme, enfin chez les souries l’expérimentation le prouve déjà. Chez les humain on y est pas encore mais on commence a parler de l'effets sur plusieurs génération de holocausteUn stress vécu dans la petite enfance d'une souris pourrait laisser une empreinte sur la descendance pendant au moins 2 générations, des modifications de comportement, des modifications de consommation du sucre et l'augmentation de la production de certaines molécules dans leur hippocampe, et qui plus est, même si le petit ne connait aucun contact avec les parents, conçu par fécondation in vitro à partir des spermatozoïdes de la souris stressée.
Moi j'y crois, et je tire de tout ça plusieurs hypothèse sur l'autisme :
1 - Ca serrait une adaptation biologique au stress ou au trauma, mais a l’échelle de plusieurs générations
2 - Il serrait hérité génétiquement et/ou épigénétiquement ou issue de mutations (c'est un mode de fonctionnement du corps qui peut être obtenu en poussant différent levier biologique ce qui n'exclus aucune cause innée).
3 - Il serrait plus ou moins activable ou désactivable suivant la nature de l’hérédité et de la biologie de chacun.
Autrement dit il existerait une multitude de possibilités, mais la maltraitance quasi institutionnelle des bébés hospitalisés aurait peut-être créer une sur-représentation d'enfant autiste chez ces jeunes patients.
Pour le savoir il suffit de compter, et c'est pourquoi je voudrais travailler a faire ce travail de recherche qui débouchera de toute façon sur une réponse à la question "y a-t-il une surreprésentation des enfants autistes parmi les enfants hospitalisé précocement?"
Voilà pourquoi je suis revenu et pourquoi j'ai posé un appel ici
Enfin, j'ai tendance a être dans le tout ou rien pour ce qui est de la participation aux forum, mais je vais essayer de me soigner cette fois