J'ai constaté que c'ést pas la peine de me forcer à me sociabiliser quand je suis trop fatigué après une démarche , rencontre pas souhaitée(voir une personne que j'ai effacé de ma mémoire et obliger de se saluer= recassement, colère,mépris,haîne,revanche), environnement trop pénible à supporter.
J'en veux pas aux gens mais je suis tellement épuisé que je ne peut que zapper la présence des gens.Je souris comme ça mais je presse le pas pour aller me réfugier chez moi,me mettre à l'aise et aller faire de la gym.
Personne n'est obligé de la respecter ta norme ambiante.Le plus important, je rappelle, n'est pas de se confondre avec la norme ambiante.
Et tu vraiment certaine qu'une majorité de personne se demandent ça?
Se le forger et aussi le garder ,ne pas se laisser envahir par des indésirables.C'est de forger un terrain (1) d'interaction suffisante là où il faut être présent et capable pour survivre; mieux encore, pour parvenir à vivre confortablement.
Sûr?Selon les domaines, les phases de notre existence nous sommes plus ou moins réceptifs à ce qui compte (pour la société et pour soi).
La mémoire sur le long terme le permet aussi:le petit détail qui tue peut marquer et prendre conscience un peu plus des autres.Discuter permet d'avoir présent à l'esprit.
L'amour en fait partie.Certes, parfois, nous pouvons ne pas être prêts du tout à aborder certains sujets, cela fait trop mal ou bien on les zappe tout simplement.
Alors on n'y pense plus ou bien on n'y pense pas toutefois, quelque part au fond de soi on est mal à cause de ça.