Bonjour,
Il y a 2 niveaux dans cette histoire et un point de départ unique.
Partie, d'une
circonstance difficile à vivre,
- dans le 1er cas, quelqu'un (un forumiste)
- avait réagi au
dur documentaire de M6 qui montrait les personnes autistes, handicapées être maltraitées par une insitution et son personnel
- en comparant SAtedI à une des institutions (IME) dans le reportage de maltraitance.
Personnellement, ça m'a causé un
choc. Car j'avais fait mon job d'informer: de mettre le lien vers la vidéo de l'émission sur le forum.
Et en retour, je lisais que les actes de SAtedI étaient associés à des malfaiteurs.
-> J'ai répondu sur le forum, directement, à l'auteur. A son tour, il a réagi, expliqué d'où était provenu la confusion. Puis, j'ai eu compris et ça c'est arrangé.
MAIS de cet échange difficile est né une VRAIE QUESTION: que fait SAtedI?, qui est SAtedI?
- dans le 2ème cas, ce questionnement a été porté par un autre forumiste
- ce qui a donné lieu à peu d'échange mais en des termes peu avenants, à la limite de la suscpicion.
Bref, pour la seconde fois en 2 jours, je me suis retrouvée à devoir rendre des compte alors que la situation ne le requérait pas.
En effet, soit vous voulez savoir ce que fait SAtedI et on répond avec ce qu'on est, ce qu'on sait, ce qu'on fait.
(c'est simple et ouvert).
Soit vous vouliez régler quelque chose de non-dit par mon truchement et là, ça craint.
Slalomer entre les 2 (est-ce 1 question/ est-ce 1 reproche?), est relationnellement difficile à vivre et vain à adresser.
Mais là encore, la situation trouble de départ, a été réglée par la contribution en personne de ceux qui représentent l'association ou qui s'y sentent liées -ne serait-ce qu'en maintenant le lien avec elle, ou en aidant les membres.
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Est-ce que je vais déranger si je dis ce qui s'est passé?
Que servir de bouc émissaire me fait flipper et que je réagis
préventivement lorsque je reconnais le schéma qui annonce que je vais l'être? C'est l'instinct de survie. Quand on eu vécu la situation une fois, on en identifie la configuration la 2è fois.
Je vais dire 1 chose que je sais:
Quand on est en colère , que l'émotion négative est trop forte à porter, elle déborde. Quand elle déborde en s'écoulant sur 1 cible -moins une personne qu'un médium conducteur- on est alors 2 à souffrir. Celui qui est porteur de ce flot d'émotions négative + celui sur qui elle a été déversée en vrac.
Ce champ de conduction négative
d'émotions en chaîne peut avoir, au final, des conséquences terribles pour chacun. Si la chaîne énergétique négative n'est pas rompue.
L'histoire de SAtedI en est le témoin vivant. Ce qui a été nommé "chasse aux sorcières". Le terme est une allusion à une réalité historique, à une époque d'obscurantisme où l'on faisait brûler des hérétiques -souvent des femmes- pour mieux asseoir son pouvoir au sein d'une communauté intolérante contre une personne désignée bouc émissaire et victime.
En effet, dès que la peur s'empare de l'un ou des 2 c'est fini. Il n 'y a plus de limite à cette énergie négative qui se déverse en détruisant.
Dit simplement, la douleur, la souffrance, l'émotion négative insupportable qui prend au début est toujours légitime. Sur quoi, qui elle se déverse ne l'est pas nécessairement. Refuser d'être victime d'un schéma dangereux ce n'est pas refuser, nier la souffrance de l'autre qui vit cette explosion et qui la porte. C'est lutter pour sa vie quand en danger.
La vie reprends son cours. Les choses ont été dites.
Et peuvent encore l'être.
Peut-être qu'il n'y a pas eu d'attaque ou d'agressivité sous-jacente puisque j'ai agi préventivement. Je veux dire que moi j'ai pressentis du danger mais qu'un autre ne le verrait peut-être pas.
Toujours est-il que ce qui a été dit figure dans les 2 forums. A chacun de juger.
Moi, j'ai pris peur et j'ai réagi en appelant à la rescousse ceux qui pouvaient aider, répondre sereinement.
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AIDER n'est pas une obligation. IL n' y a pas de DIKTAT à l'AIDE. On peut souffrir, être mal et ne pas souhaiter de l'aide. On peut aussi, vivre sa vie avec les autres et ne pas s'inscrire dans un schéma incontrôlé qui risque de devenir trop dur à vivre.
SAtedI aide quand on lui demande ou quand un
contact volontaire s'établit de par et d'autre. Des situations flippantes ou injustes lorsqu'on entre en relation, tout le monde en vit...tous les jours.
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D'une mauvaise situation est ressorti une bonne.
Désormais, chacun peut voir qui fait quoi à SatedI, non?.
Nana
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