J'y retrouve pleins des principes universels dont je parle depuis longtemps sur les forums ...
D'abord ce qui 'ma sauté aux yeux c'est que le regard extérieur la dis "avec des traits asperger", tandis que elle se dis "clairement asperger".
Tiens, tiens ...
Ensuite elle dis que plus l'asperger est haut potentiel, plus il y a moyens que les symptômes soit compensés.
Ha ouai?
Chez les femmes les symptômes Asperger sont beaucoup plus subtil => donc des femmes hypersensible a tendance asperger compensent sans savoir pourquoi ...
Et puisqu’elle fonctionne et aide les autres a fonctionner, moi je la trouve bien loin du principe médicale de définition de l'autisme a priori ... Et bien proche de ce dont je crois crois avoir l'aire quant je me dis seulement "me ressentir dans un état apparenté".
Encore une raison pour moi de penser les choses selon une évolution de divers facteurs distincts, parmi lesquelles la sensibilité, le mode de traitement, les moyens de communiquer ...
Ce qui met en avant le facteurs non inclus dans la définition médicale : hypersensibilité qui n'est pas pathologique par défaut.
On dirais le tonneau des Danaïdes, le mythe grec ou il est question de remplir un chaudron percé. Le chaudron c'est le mot autisme, on veux l'emplir de ce qui est positif, or le positif étant exclus par définition de ce qui défini une pathologie, ça ressort aussi vite que c'est entrée.
Pardon, je suis sortis du sujet, mais elle a une position proche de la mienne, autant dans ces conclusion que dans le jugement qu'elle éveille puisque l'interlocuteur refuse de la reconnaître asperger.
Moi j'ai abandonné cette revendication depuis bien longtemps, mais non sans avoir tenu un discours qui rejoint le sien.
NB : le lien url ne fonctionne pas par ce qu'il contiens un caractère invisible "retour à la ligne" après la fin de l'adresse, si on l'enlève ça redonne ça :
http://www.planete-douance.com/blog/201 ... ntreprise/
Les profils atypiques enfin défendus !!!
- manu
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Re: Les profils atypiques enfin défendus !!!
En fermant l'onglet du liens je me suis dis ...
C'est assez remarquable de défendre l’existence d'un handicap dans un site appelé planète douance ...
Mais le site ne reconnaît pas le handicap autistique.
L'atypisme enfin défendu dont tu parle nouvelle, ca ne serrais pas celui qui ne permet pas de classer l'autre ni dans les pathologiquement inapte, ni dans les remarquablement aptes ? un domaine qui rapproche du reste du monde même si cet équilibre se fait en grand écart entre hyper capable et hyper incapable.
C'est la question de savoir si ça rime a quelque chose de penser des groupes de gens, doués ou handicapés, autistes ou à haut potentiels, n'est ce pas par nature une folie ?
Et en même temps comment faire sans ?
C'est assez remarquable de défendre l’existence d'un handicap dans un site appelé planète douance ...
Mais le site ne reconnaît pas le handicap autistique.
L'atypisme enfin défendu dont tu parle nouvelle, ca ne serrais pas celui qui ne permet pas de classer l'autre ni dans les pathologiquement inapte, ni dans les remarquablement aptes ? un domaine qui rapproche du reste du monde même si cet équilibre se fait en grand écart entre hyper capable et hyper incapable.
C'est la question de savoir si ça rime a quelque chose de penser des groupes de gens, doués ou handicapés, autistes ou à haut potentiels, n'est ce pas par nature une folie ?
Et en même temps comment faire sans ?
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Re: Les profils atypiques enfin défendus !!!
Oui, donc une chose qui fait souffrir = une pathologie.Nouvelle a écrit :Il y a des atypismes qui font vachement souffrir je parle d'expériences.
Et la dimension souffrance peut être atténué, absolument d'accord
... Ou agavé aussi il me semble ... une prise en charge inadapté ou un forçage trop intensif crée des souffrances aussi ... je suis intimement convaincu que certaines prise en charges intensives s'attaquent l'atypisme pour le détruire plus qu'elle ne soignent ce qui fait souffrir ...
Je crois pour ma part que nous on a le devoir en plus présenter l'angle sous lequel on perçois les chosesNouvelle a écrit :J'aimerai croire que oui, ça y est, les gamins sont détectés rapidement et rapidement aidé. Pis nous, ben on passe le temps
Mes premiers mots sur un forum d'autiste ont été "non, non et non" face a un discours qui vendait une sorte de supériorité autistique
Et je me suis autant opposé au principe de rééducation dans ce qu'il a d'excessif dans le reformatage destructeur
C'est le principe otage des guerres de l'autisme justement, celui a défendre activement.Nouvelle a écrit :à savoir la quête et la reconnaissance de nos émotions et après quoi en faire.
Typiquement la guerres psychanalyse contre ABA, avec des militant acharnées de toute part, elle draine des pulsions terribles des oppositions phénoménales, et la première victime de cette guerre c'est précisément "la quête de la reconnaissance des émotions des autistes".
L'être autre et le rapport cet être autre c'est pourtant une quête noble a laquelle aucune des deux méthode bien comprise et bien appliqué ne s'oppose.
Pourtant chaque camps accuse l'autre de destruction, et les deux ont raison car les deux abusivement utilisé l'ont été, destructeur des altérités.
Alors ça je serait bien en peine de répondre, je sais même pas où je suis. Mais je vais jouer avec cette question :Nouvelle a écrit :la vie est bien belle quoi pour les atypiques, vous trouvez pas ?
Tu commence par un atypisme qui fait souffrir, tu t'inclus dedans, et tu fini par dire que les atypiques eux ne souffrent pas, tu t'en exclus.
C'est ça être humain, on ne traite les choses que du dedans, et on fait des frontière, on ne sais faire que ça. Alors que au fond, j'en suis convaincu, ni l'autisme ni l'atypisme ne diront jamais ce que tu es toi.
- manu
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Re: Les profils atypiques enfin défendus !!!
Si la réponse de vic fait dans le concret, et justement pour se faire elle utilise des groupes ... qui ne sont tellement lacunaire pour dire et reconnaître les souffrances.
J'ai l'impression que c'est propre au sujet de l'autisme ça, on y dis presque jamais "je souffre" mais l'autisme est lié a telle souffrance qu'il faut prendre en charge comme ci ou comme ça.
Comment entendre une souffrance quant elle est systématiquement mélangée a l'ensemble des autres qu'on décidé de mettre dans le même chaudron.
LES autismes.
LES souffrances.
LES solutions.
Qui a décidé que des individus identifiés pour avoir un trouble de la communication devait nécessairement avoir une unité de vécu? de type de souffrance?
Et la souffrance d'un autiste de la souffrance d'un autre autiste?
Pour mémoire je rappelle le mécanisme de l'empathie :
L'état de l'autre nous renvoie a notre propre souffrance si on était dans le même situation.
On a pas de neurone dans la tête de l'autre, mais des neurone qui agissent en miroir.
Alors si l'autre est autre, qu'est-ce que ça fait?
Si ça se trouve, vic, ton message exprime ta souffrance par un biais normé et indexé au scientifique et c'est ton seul moyen de la dire ... ou alors c'est moi qui suit comme ça et qui vois ça dans ton message par ce que je ne peu le comprendre que par ce que je suis ... ou alors je me prend pour apparenté autiste alors que c'est faux, allez savoir, et la pathologie four tout sert précisément a héberger une souffrance inexprimable ...
Et si le retour n'est pas adapté, comme le parent d'un enfant autiste qui n'obtiens pas de retour, alors est-ce qu'il n'y a pas une parenté dans la solitude émotionnelle, de l'enfant autiste et du parent qui ne l'est pas, dans la mesure ou de toute façon c'est ce qui circule entre les deux qui est dysfonctionnel.
Et si tout le monde vivait une expérience autistique face a un autiste?
Jusqu'à décrété des grandes vérité concernant des grands ensemble qui permettent de se tromper en se faisant croire qu'on peux savoir ...
Et si les autistes eux même vit trouvé dans ces incarnations globalisante une illusion rassurante de savoir un peu ...
Alors toutes les bien-pensance, autiste et pas, scientifique et pas, ne seraient que des façons de combattre l'idée suivante :
La souffrance de l'impossibilité de communiquer est la même de part et d'autre de l'échange!
C'est impossible à dire une chose pareil, on ne peux ps comparer expérience isolé et permanente ... mais ...
Se sentir autiste c'est enfermer le problème de communication dans l'autiste
Dans la mesure ou c'est un problème de communication est-ce raisonnable?
ne devrait t-ton pas dire est-ce que tout le monde peux sentir l'autisme?
L'autisme désignant alors une faille de la communication, peut importe l'origine.
Je pose la question.
J'ai l'impression que c'est propre au sujet de l'autisme ça, on y dis presque jamais "je souffre" mais l'autisme est lié a telle souffrance qu'il faut prendre en charge comme ci ou comme ça.
Comment entendre une souffrance quant elle est systématiquement mélangée a l'ensemble des autres qu'on décidé de mettre dans le même chaudron.
LES autismes.
LES souffrances.
LES solutions.
Qui a décidé que des individus identifiés pour avoir un trouble de la communication devait nécessairement avoir une unité de vécu? de type de souffrance?
Qui est seulement capable de distinguer sa propre souffrance de la souffrance de l'autre ?Nouvelle a écrit :Il y a même un article sur le QI qui est en train de chuter dans la population et que l'on ose pas le dire...
Et la souffrance d'un autiste de la souffrance d'un autre autiste?
Pour mémoire je rappelle le mécanisme de l'empathie :
L'état de l'autre nous renvoie a notre propre souffrance si on était dans le même situation.
On a pas de neurone dans la tête de l'autre, mais des neurone qui agissent en miroir.
Alors si l'autre est autre, qu'est-ce que ça fait?
Si ça se trouve, vic, ton message exprime ta souffrance par un biais normé et indexé au scientifique et c'est ton seul moyen de la dire ... ou alors c'est moi qui suit comme ça et qui vois ça dans ton message par ce que je ne peu le comprendre que par ce que je suis ... ou alors je me prend pour apparenté autiste alors que c'est faux, allez savoir, et la pathologie four tout sert précisément a héberger une souffrance inexprimable ...
Peut être que l'expérience d'une souffrance non perçu par l'autre éveille une souffrance que l'on peux croire comparable.Nouvelle a écrit :mais tout le monde se sent-il autiste ?
Et si le retour n'est pas adapté, comme le parent d'un enfant autiste qui n'obtiens pas de retour, alors est-ce qu'il n'y a pas une parenté dans la solitude émotionnelle, de l'enfant autiste et du parent qui ne l'est pas, dans la mesure ou de toute façon c'est ce qui circule entre les deux qui est dysfonctionnel.
Et si tout le monde vivait une expérience autistique face a un autiste?
Jusqu'à décrété des grandes vérité concernant des grands ensemble qui permettent de se tromper en se faisant croire qu'on peux savoir ...
Et si les autistes eux même vit trouvé dans ces incarnations globalisante une illusion rassurante de savoir un peu ...
Alors toutes les bien-pensance, autiste et pas, scientifique et pas, ne seraient que des façons de combattre l'idée suivante :
La souffrance de l'impossibilité de communiquer est la même de part et d'autre de l'échange!
C'est impossible à dire une chose pareil, on ne peux ps comparer expérience isolé et permanente ... mais ...
Se sentir autiste c'est enfermer le problème de communication dans l'autiste
Dans la mesure ou c'est un problème de communication est-ce raisonnable?
ne devrait t-ton pas dire est-ce que tout le monde peux sentir l'autisme?
L'autisme désignant alors une faille de la communication, peut importe l'origine.
Je pose la question.