Empathie ?
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il veut dire que certain mots sont auto-censuré par le site
par exemple, si j'essaie d'ecrire des gros mots genre c**** ou m****, tu voit, on les voit pas
c'est pour eviter que le forum soit bourré de mots grossier, comme il dit, ce systeme se contente de censuré le mot sans verifier le contexte
par exemple, si j'essaie d'ecrire des gros mots genre c**** ou m****, tu voit, on les voit pas
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Autiste haut niveau(diagnostiqué Asperger, TED, bi polaire
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Irene Drogou Inserm Empathie
Voici de quoi simplifier le débat, peut-etre, et qui montre comment certains arrivent à être empathique et d'autres pas.maryline a écrit :Ah ? qqu'un t'a dit que c'était inné ? enfin tout dépend peut-être de ce qu'on met comme définition derrière "empathique" et là je ne suis pas sûre encore d'avoir compris de la bonne manière, cf le départ de cette discussion...samoju a écrit :Aprés on va me dire que l'empathie c est innée alors qu il existe des cours pour psy
Rappel: l'empathie c'est utile,par exemple, pour approcher et accrocher la persone que l'on aimerait bien connaitre.
January 31st, 2009, 04:52 AM
lili
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La capacité d’empathie active des circuits spécifiques
--------------------------------------------------------------------------------
Quand on n’a jamais souffert
La capacité d’empathie active des circuits spécifiques
C’EST DE MANIÈRE immédiate et intuitive que nous compatissons à une douleur que nous avons endurée. Les plus empathiques d’entre nous sont même capables de le faire pour une douleur sans l’avoir jamais éprouvée. Une équipe française l’hôpital de la Pitié Salpêtrière (Paris) vient de mettre en évidence comment cette faculté socialement importante s’exerce au niveau cérébral. Les structures médianes joueraient un rôle clef, en particulier le cortex préfrontal ventromédian.
Toute l’originalité de ce travail tient à ce que Nicolas Danziger et coll (INSERM U713) ont choisi de mener leur étude chez des sujets atteints du syndrome rare d’insensibilité congénitale à la douleur. L’équipe avait déjà travaillé à l’aide de ce modèle par le passé. Ils avaient montré que si ces sujets sous-estimaient globalement la douleur ressentie par autrui, il existait des différences de jugement interindividuelles. Ceux dont l’évaluation était la plus juste présentaient une plus forte capacité d’empathie, telle que mesurée par un questionnaire. Les sujets empathiques seraient donc capables d’imaginer une douleur sans en avoir d’expérience personnelle.
Des photographies de douleur physique.
L’équipe a réalisé des clichés d’IRM fonctionnelle tout en montrant des photographies de douleur physique (doigt coincé dans une porte ou frappé par un marteau) et de visages exprimant la souffrance. Les chercheurs ont ainsi observé que certaines activations cérébrales étaient spécifiques aux sujets insensibles à la douleur outre celles retrouvées en commun chez les sujets sains (insula, cortex singulaire antérieur). Le cortex préfrontal ventromédian, une région cérébrale connue pour avoir un rôle essentiel dans la compréhension des émotions d’autrui, était activé en réponse à une représentation somatosensorielle douloureuse (doigt coincé). Le cortex cingulaire postérieur l’était également, mais en réponse à une représentation émotionnelle douloureuse (visage).
Encore plus intéressant, ces activations cérébrales spécifiques étaient corrélées aux scores d’empathie mesurés par questionnaire. Plus les sujets étaient capables d’empathie, plus ces régions étaient activées, probablement pour compenser leur manque de « résonance émotionnelle automatique ». Il se pourrait que ce processus nous permette d’imaginer et de partager avec autrui des affects liés à une expérience non vécue.
› Dr IRÈNE DROGOU
Neuron, 29 janvier 2009.
Le Quotidien du Médecin du : 30/01/2009
http://www.quotimed.com/journal/index.c ... DX=422209&
Copyright 2009 Elsevier Inc.. All rights reserved.
Neuron, Volume 61, Issue 2, 203-212, 29 January 2009
doi:10.1016/j.neuron.2008.11.023
Case Study
Can We Share a Pain We Never Felt? Neural Correlates of Empathy in Patients with Congenital Insensitivity to Pain
Nicolas Danziger1,2,3,,,Isabelle Faillenot5,6,7andRoland Peyron4,5,6,7,8
1 Department of Clinical Neurophysiology, CHU Pitié-Salpêtrière, AP-HP, 75013 Paris, France
2 Pain Center, CHU Pitié-Salpêtrière, AP-HP, 75013 Paris, France
3 INSERM U713, CHU Pitié-Salpêtrière, AP-HP, 75013 Paris, France
4 Department of Neurology, CHU Saint-Etienne, 42100 France
5 Pain Center, CHU Saint-Etienne, 42100 France
6 INSERM 342 F-69003 UCB Lyon1 University, 69003 Lyon, France
7 INSERM 342 F42000 and UJM St-Etienne University, 42000 St Etienne, France
8 CERMEP, 69003 Lyon, France
Corresponding author
Summary
Theories of empathy differ regarding the relative contributiohttp://www.cell.com/neuron/abstract/S0896-6273(08)01016-7ns of automatic resonance and perspective taking in understanding others' emotions. Patients with the rare syndrome of congenital insensitivity to pain cannot rely on mirror matching (i.e., resonance) mechanisms to understand the pain of others. Nevertheless, they showed normal fMRI responses to observed pain in anterior mid-cingulate cortex and anterior insula, two key regions of the so-called shared circuits for self and other pain. In these patients (but not in healthy controls), empathy trait predicted ventromedial prefrontal responses to somatosensory representations of others' pain and posterior cingulate responses to emotional representations of others' pain. These findings underline the major role of midline structures in emotional perspective taking and understanding someone else's feeling despite the lack of any previous personal experience of itan empathic challenge frequently raised during human social interactions.
http://www.cell.com/neuron/abstract/S08 ... 08)01016-7
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Qui est empathique, qui ne l'est pas?
Un usage de l'empathie: draguer une fille, un garçon et réussir.
January 31st, 2009, 04:52 AM
lili
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La capacité d’empathie active des circuits spécifiques
C’EST DE MANIÈRE immédiate et intuitive que nous compatissons à une douleur que nous avons endurée. Les plus empathiques d’entre nous sont même capables de le faire pour une douleur sans l’avoir jamais éprouvée. Une équipe française l’hôpital de la Pitié Salpêtrière (Paris) vient de mettre en évidence comment cette faculté socialement importante s’exerce au niveau cérébral. Les structures médianes joueraient un rôle clef, en particulier le cortex préfrontal ventromédian.
Toute l’originalité de ce travail tient à ce que Nicolas Danziger et coll (INSERM U713) ont choisi de mener leur étude chez des sujets atteints du syndrome rare d’insensibilité congénitale à la douleur. L’équipe avait déjà travaillé à l’aide de ce modèle par le passé. Ils avaient montré que si ces sujets sous-estimaient globalement la douleur ressentie par autrui, il existait des différences de jugement interindividuelles. Ceux dont l’évaluation était la plus juste présentaient une plus forte capacité d’empathie, telle que mesurée par un questionnaire. Les sujets empathiques seraient donc capables d’imaginer une douleur sans en avoir d’expérience personnelle.
Des photographies de douleur physique.
L’équipe a réalisé des clichés d’IRM fonctionnelle tout en montrant des photographies de douleur physique (doigt coincé dans une porte ou frappé par un marteau) et de visages exprimant la souffrance. Les chercheurs ont ainsi observé que certaines activations cérébrales étaient spécifiques aux sujets insensibles à la douleur outre celles retrouvées en commun chez les sujets sains (insula, cortex singulaire antérieur). Le cortex préfrontal ventromédian, une région cérébrale connue pour avoir un rôle essentiel dans la compréhension des émotions d’autrui, était activé en réponse à une représentation somatosensorielle douloureuse (doigt coincé). Le cortex cingulaire postérieur l’était également, mais en réponse à une représentation émotionnelle douloureuse (visage).
Encore plus intéressant, ces activations cérébrales spécifiques étaient corrélées aux scores d’empathie mesurés par questionnaire. Plus les sujets étaient capables d’empathie, plus ces régions étaient activées, probablement pour compenser leur manque de « résonance émotionnelle automatique ». Il se pourrait que ce processus nous permette d’imaginer et de partager avec autrui des affects liés à une expérience non vécue.
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1 Department of Clinical Neurophysiology, CHU Pitié-Salpêtrière, AP-HP, 75013 Paris, France
2 Pain Center, CHU Pitié-Salpêtrière, AP-HP, 75013 Paris, France
3 INSERM U713, CHU Pitié-Salpêtrière, AP-HP, 75013 Paris, France
4 Department of Neurology, CHU Saint-Etienne, 42100 France
5 Pain Center, CHU Saint-Etienne, 42100 France
6 INSERM 342 F-69003 UCB Lyon1 University, 69003 Lyon, France
7 INSERM 342 F42000 and UJM St-Etienne University, 42000 St Etienne, France
8 CERMEP, 69003 Lyon, France
Corresponding author
Summary
Theories of empathy differ regarding the relative contributiohttp://www.cell.com/neuron/abstract/S0896-6273(08)01016-7ns of automatic resonance and perspective taking in understanding others' emotions. Patients with the rare syndrome of congenital insensitivity to pain cannot rely on mirror matching (i.e., resonance) mechanisms to understand the pain of others. Nevertheless, they showed normal fMRI responses to observed pain in anterior mid-cingulate cortex and anterior insula, two key regions of the so-called shared circuits for self and other pain. In these patients (but not in healthy controls), empathy trait predicted ventromedial prefrontal responses to somatosensory representations of others' pain and posterior cingulate responses to emotional representations of others' pain. These findings underline the major role of midline structures in emotional perspective taking and understanding someone else's feeling despite the lack of any previous personal experience of itan empathic challenge frequently raised during human social interactions.
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lili
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Toute l’originalité de ce travail tient à ce que Nicolas Danziger et coll (INSERM U713) ont choisi de mener leur étude chez des sujets atteints du syndrome rare d’insensibilité congénitale à la douleur. L’équipe avait déjà travaillé à l’aide de ce modèle par le passé. Ils avaient montré que si ces sujets sous-estimaient globalement la douleur ressentie par autrui, il existait des différences de jugement interindividuelles. Ceux dont l’évaluation était la plus juste présentaient une plus forte capacité d’empathie, telle que mesurée par un questionnaire. Les sujets empathiques seraient donc capables d’imaginer une douleur sans en avoir d’expérience personnelle.
Des photographies de douleur physique.
L’équipe a réalisé des clichés d’IRM fonctionnelle tout en montrant des photographies de douleur physique (doigt coincé dans une porte ou frappé par un marteau) et de visages exprimant la souffrance. Les chercheurs ont ainsi observé que certaines activations cérébrales étaient spécifiques aux sujets insensibles à la douleur outre celles retrouvées en commun chez les sujets sains (insula, cortex singulaire antérieur). Le cortex préfrontal ventromédian, une région cérébrale connue pour avoir un rôle essentiel dans la compréhension des émotions d’autrui, était activé en réponse à une représentation somatosensorielle douloureuse (doigt coincé). Le cortex cingulaire postérieur l’était également, mais en réponse à une représentation émotionnelle douloureuse (visage).
Encore plus intéressant, ces activations cérébrales spécifiques étaient corrélées aux scores d’empathie mesurés par questionnaire. Plus les sujets étaient capables d’empathie, plus ces régions étaient activées, probablement pour compenser leur manque de « résonance émotionnelle automatique ». Il se pourrait que ce processus nous permette d’imaginer et de partager avec autrui des affects liés à une expérience non vécue.
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Theories of empathy differ regarding the relative contributiohttp://www.cell.com/neuron/abstract/S0896-6273(08)01016-7ns of automatic resonance and perspective taking in understanding others' emotions. Patients with the rare syndrome of congenital insensitivity to pain cannot rely on mirror matching (i.e., resonance) mechanisms to understand the pain of others. Nevertheless, they showed normal fMRI responses to observed pain in anterior mid-cingulate cortex and anterior insula, two key regions of the so-called shared circuits for self and other pain. In these patients (but not in healthy controls), empathy trait predicted ventromedial prefrontal responses to somatosensory representations of others' pain and posterior cingulate responses to emotional representations of others' pain. These findings underline the major role of midline structures in emotional perspective taking and understanding someone else's feeling despite the lack of any previous personal experience of itan empathic challenge frequently raised during human social interactions.
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Morgane est trés compatissante envers ses amies et Sam l autre jour a croisé m a dit en croisant un sdf " je n aime pas voir ces gens ils sont si tristes ".C’EST DE MANIÈRE immédiate et intuitive que nous compatissons à une douleur que nous avons endurée.
Morgane réagit à la vue de certaines photographies , Sam beaucoup moins.
Morgane regarde beaucoup de Manga et elle a du observer les expressions faciales des sentiments pour pouvoir les dessiner ensuite , elle commence a exceller à cela , elle est capable de dire avec un mouvement de sourcil que la personne a changé d expressivité de sentiment
Les gens qui voient Sam vivre pourraient penser qu il est " méchant" mais ce n est pas le cas . Il y a 2 hivers nous avons autorisé un sdf a dormir dans le couloir et je lui ai expliqué qu il n avait pas de maison , je pense que sa reflexion citée plus haut provient de cette expérience.
Bonjour à tous,
J'ai trouvé une autre théorie intéressante sur l'empathie. Je sais qu'il est très important d'être empathique envers les autres. J'ai sur wikipedia qu'il est aussi important de l'être envers soi-même. Je vous cite ce passage.
Noémie
J'ai trouvé une autre théorie intéressante sur l'empathie. Je sais qu'il est très important d'être empathique envers les autres. J'ai sur wikipedia qu'il est aussi important de l'être envers soi-même. Je vous cite ce passage.
L'empathie envers les autres réside dans la compréhension intellectuelle et dans la sensibilité aux émotions, aux sentiments et aux besoins d'autrui. Ce que je vois aussi dans l'empathie envers soi-même, c'est d'être compréhensif et d'être sensible à ses propres émotions, sentiments et besoins.Chose étonnante de l'empathie, il est toujours plus facile d'en avoir envers les autres qu'envers soi-même. Pourtant, l'empathie envers soi est la première condition qui fera en sorte qu'une personne pourra trouver la voie de la sortie. L'empathie envers soi est un anti-culpabilisant : c'est la faculté d'admettre que l'on ne peut plus gérer seul un problème psychologique. Le développement de cette empathie envers nous-même est quelque part antinomique avec les exigences que nous impose la société dans un monde où survivre est un combat. Encore une fois, nous sommes souvent faces à un défaut de culture psychologique. Il est donc nécessaire de développer cette empathie envers nous-mêmes avant de l'éprouver envers les autres, d'accepter que notre côté intellectuel soit beaucoup plus adaptable et rapide que notre côté affectif.
Ainsi, éprouver de l'empathie envers soi-même aide à accepter la sortie des zones de tourments culpabilisants au travers de l'intervention d'une tierce personne neutre. Bien entendu, l'intervention de toute personne actrice dans le problème ou liée par un sentiment d'affectation est très compliqué. Car souvent, en voulant faire le bien, c'est à un point de rupture que l'on arrive avec la personne normale psychologiquement en état de malaise psychologique.
Noémie
J'ai lu sur wikipedia les causes qui entraînent un manque d'empathie envers les autres:
-l'égoïsme
-la brutalité verbale ou physique
-un excès d'introversion ou d'extraversion
-des raisonnements froids et calculateurs
-une volonté d'attirer l'attention, de séduire et de devenir le centre du monde
À partir de tous les facteurs entraînant un manque d’empathie envers les autres, j'ai réfléchi aux ingrédients de l'empathie envers les autres:
1) Le respect
2) L'introspection
3) L'interaction
4) La sensibilité
5) La rationalité
Respect : Pour être empathique envers les autres, il est important d'être respectueux envers les sentiments et les émotions des autres quand ils expriment leurs besoins ou leurs limites. On ne peut pas être empathique envers les autres si on comprend leurs états affectifs sans toutefois les respecter.
Introspection : Pour être empathique envers les autres, il est important de regarder à l’intérieur de soi comment on se sentirait si on était à la place de l’autre. De plus, il faut avoir une attitude posée et réfléchie et ce deuxième ingrédient favorise la capacité de réfléchir avant d’agir.
Interaction : Pour être empathique envers les autres, il faut savoir se tourner vers eux. S’ils demandent conseil, il faut être en mesure de lui proposer des moyens pour les aider. S’ils demandent de faire quelque chose pour eux, il faut être en mesure de le faire.
Sensibilité : Pour être empathique envers les autres, il faut savoir ouvrir son cœur et être compréhensif envers leurs émotions et leurs sentiments.
Rationalité : Contrairement à la sympathie, l’empathie consiste à exprimer notre sensibilité de façon rationnelle et de comprendre intellectuellement les émotions et les sentiments des autres.
Dans les ingrédients de la sympathie, je mettrais les mêmes que l’empathie sauf que je remplacerais la rationalité par l’émotivité. Il est difficile de comprendre la distinction entre la sensibilité et l’émotivité car elles proviennent tous les deux du cœur. La sensibilité est la facilité à comprendre et à ressentir ses propres émotions et sentiments et ceux d’autrui et permet une ouverture du cœur. L’émotivité, quant à elle, signifie le fait d’être agité (e)par des émotions et des sentiments. En fait, on peut être capable de comprendre et de décoder nos états affectifs et ceux d’autrui (sensibilité) sans toutefois y réagir extérieurement ou intérieurement (émotivité).
Noémie
-l'égoïsme
-la brutalité verbale ou physique
-un excès d'introversion ou d'extraversion
-des raisonnements froids et calculateurs
-une volonté d'attirer l'attention, de séduire et de devenir le centre du monde
À partir de tous les facteurs entraînant un manque d’empathie envers les autres, j'ai réfléchi aux ingrédients de l'empathie envers les autres:
1) Le respect
2) L'introspection
3) L'interaction
4) La sensibilité
5) La rationalité
Respect : Pour être empathique envers les autres, il est important d'être respectueux envers les sentiments et les émotions des autres quand ils expriment leurs besoins ou leurs limites. On ne peut pas être empathique envers les autres si on comprend leurs états affectifs sans toutefois les respecter.
Introspection : Pour être empathique envers les autres, il est important de regarder à l’intérieur de soi comment on se sentirait si on était à la place de l’autre. De plus, il faut avoir une attitude posée et réfléchie et ce deuxième ingrédient favorise la capacité de réfléchir avant d’agir.
Interaction : Pour être empathique envers les autres, il faut savoir se tourner vers eux. S’ils demandent conseil, il faut être en mesure de lui proposer des moyens pour les aider. S’ils demandent de faire quelque chose pour eux, il faut être en mesure de le faire.
Sensibilité : Pour être empathique envers les autres, il faut savoir ouvrir son cœur et être compréhensif envers leurs émotions et leurs sentiments.
Rationalité : Contrairement à la sympathie, l’empathie consiste à exprimer notre sensibilité de façon rationnelle et de comprendre intellectuellement les émotions et les sentiments des autres.
Dans les ingrédients de la sympathie, je mettrais les mêmes que l’empathie sauf que je remplacerais la rationalité par l’émotivité. Il est difficile de comprendre la distinction entre la sensibilité et l’émotivité car elles proviennent tous les deux du cœur. La sensibilité est la facilité à comprendre et à ressentir ses propres émotions et sentiments et ceux d’autrui et permet une ouverture du cœur. L’émotivité, quant à elle, signifie le fait d’être agité (e)par des émotions et des sentiments. En fait, on peut être capable de comprendre et de décoder nos états affectifs et ceux d’autrui (sensibilité) sans toutefois y réagir extérieurement ou intérieurement (émotivité).
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