Vous avez des ami-e-s ???

[0z0ne]

Oui mais en même temps, les femmes méritent aussi de combler leurs fantasmes. Faut pas porter autant de jugements.

Tout à l'heure, je parlais de la même chose, exactement, de la solitude devant l'ordi, sur un forum nt. Personne n'est si différent.

Chez nous, le rocker Arno aime dire : vous savez, j'ai aussi deux trous dans le nez comme vous.

[Urban Shaman]

De mon côté je ne connais personne, ni ami ni rien depuis un moment déjà.

Je suis dans la même situation. Je n'ai jamais su m'intégrer dans mes différentes classes donc je ne sais pas ce qu'est l'amitié en dehors de la définition du dictionnaire.

La seule fois ou quelqu'un est venu vers moi, c'était un garçon de ma classe de première. Cependant, il s'est avéré que ses motivations n'étaient que physiques. Ainsi, quand j'ai refusé de rentrer dans une relation intime avec lui, il m'a laissée seule. De cette expérience, j'en ai tiré deux conclusions: les "NT" ne sont pas intéressants pendant longtemps et les garçons ont tendance à voir les filles comme des objets de fantasmes. Ces constatations peuvent se retrouver dans les films d'ailleurs.

Il faut se garder de conclusion comme ça sur un seul cas. "Les NTs ne sont pas intérressants pendant longtemps " ....et les Teds? Certains sont intérressants d'autre non.
Ce garçon était peut être un obsédé et n'était intérressé que par le sex (je ne le connais pas, je n'en sais rien) mais peut être qu'en se voyant repoussé il a pu se dire que tu ne voudrfais plus lui parler, ou qu'il se sentais ridicul face à toi d'avoir été repoussé, ou encore que rester en "ami" avec quelqu'un pour qui il éprouvait un sentiment amoureux était trop dur pou lui.
Encore une fois je n'en sais rien, mais il y a plusieurs hypothèses possibles......

Après sur le fait que les garçons voient les filles commes des fantasmes, je serais tenté de dire et alors? Quoi de plus normal que d'avoir des fantasmes, c'est très saint.
Ce qui l'est moins c'est si le garçon considère les filles QUE comme ça (en gros si il pense qu'au sex tout le temps).

Je pense qu'il faut dédramatiser les attirances amoureuses. Quoi de plus normal d'avoir de l'attirance pour quelqu'un avec qui on se sent bien, qu'on trouve sympa, drôle, si en plus la personne nous plait.
Ce me dérange quand même en tant que garçon quand je lis des filles se plaindre que des garçons auraient voulu plus que de l'amitié avec elle.
Encore une fois je dis " Et alors?" Ce n'est pas un mal si la personne est sincère, voir amoureuse.
Si une fille qui ne me plaisait pas me disait que je lui plait, je ne serais pas obligé d'accepter, mais je trouverais ça flatteur. En tout cas je ne voudrais pas la vexer en lui faisant par de mon refus, et j'essayerais d'y mettre les formes.

Je pense être quelqu'un de sincère qui a toujours était respectueux avec les filles, ou les petites amies avec qui j'ai pu être, alors quand je lis ces "plaintes" sur ces garçons qui auraient le malheur d'éprouver de l'attirance pour une fille je me sens un peu ramener, en tant que garçon célibataire, à l'image d'un pervers en puissance, ce que je ne suis pas

[Hel]

Il faut se garder de conclusion comme ça sur un seul cas. "Les NTs ne sont pas intérressants pendant longtemps " ....et les Teds? Certains sont intérressants d'autre non.

Je ne connais aucun TED.

Ce garçon était peut être un obsédé et n'était intérressé que par le sex (je ne le connais pas, je n'en sais rien) mais peut être qu'en se voyant repoussé il a pu se dire que tu ne voudrfais plus lui parler, ou qu'il se sentais ridicul face à toi d'avoir été repoussé, ou encore que rester en "ami" avec quelqu'un pour qui il éprouvait un sentiment amoureux était trop dur pou lui.
Encore une fois je n'en sais rien, mais il y a plusieurs hypothèses possibles......
Je pense qu'il faut dédramatiser les attirances amoureuses. Quoi de plus normal d'avoir de l'attirance pour quelqu'un avec qui on se sent bien, qu'on trouve sympa, drôle, si en plus la personne nous plait.
Ce me dérange quand même en tant que garçon quand je lis des filles se plaindre que des garçons auraient voulu plus que de l'amitié avec elle.
Encore une fois je dis " Et alors?" Ce n'est pas un mal si la personne est sincère, voir amoureuse.

Peut être. Quelque soit la raison je ne lui en veut pas. Je ne fais qu'une simple constatation qui m'amène à certaines conclusions.
De plus, je parlais de fantasme dans un sens large, pas forcément des fantasmes sexuels.

[Toni]

Vous avez des ami-e-s ???
Non je n'ai pas d'ami(e)s. J'en avais en primaire mais on s'est perdu de vue. Je vois à l'extérieur les ami(e)s de mes parents et ça s'arrête là.
Je mange seul à la table des restos depuis que j'ai 16 ans, soit depuis 11 ans.
Manger seul alors que tous les autres sont en couple dans un restaurant 5 étoiles (célibataire donc plus de libertés) fait étrange. Je riais de ma nullité et de l'échec du modèle d'intégration français sur un type come moi. Je m'aperçois également que ça passe bien avec un ami de mes parents divorcé, lui aussi à mis les beaux principes du "vivre ensemble" au placard ...

Moi je pense à moi et aussi aux quelques diziaines de nts qui ne me posent pas problème ... Le reste je m'en fous royalement.

[dorry]

Mais je ne connais personne en vrai.
J'avais bien quelques amies ici et la mais on s'est un peu perdu de vue. Chacun fait sa vie.....

C'était comme ça à l'époque de mon primaire, en grande majorité des garçons. Plusieurs ont déménagés, et nous on avait déménagé aussi par après.

[Lotus]

Mais je ne connais personne en vrai.
J'avais bien quelques amies ici et la mais on s'est un peu perdu de vue. Chacun fait sa vie.....

C'était comme ça à l'époque de mon primaire, en grande majorité des garçons. Plusieurs ont déménagés, et nous on avait déménagé aussi par après.

Ben, j'étais pas fâché de déménager dans une autre école, j'avais des sérieux problemes alors ça a pas été une grosse perte. J'avais des ami(e)s mais pas beaucoup dans ces places la, par contre j'avais ben trop d'ennemis, alors j'avais sacré mon camps de la.

La seule perte la-dedans ça a été des amis qui restaient avec moi par contre, le reste c'était "bon débarras".

Quand j'avais recommencé a entendre parler de ceux qui me causaient bien des problemes, une bonne quantité étaient en prison en fait, le reste étaient dans des familles d'accueil ou des sections psychiatriques partout en ville, pendant ce temps la, moi je m'en étais sorti. Ça m'a fait rire d'entendre ça au sujet de ces ennemis a l'époque qui me harcelaient tant que ça a l'école.

Une belle gang de losers en effet.

J'te dirai une chose, connaitre des TED surtout des Aspergers c'est vraiment le fun, je m'entends tres bien avec eux en fait et en même temps, ils m'apprennent beaucoup sur moi même et ça m'apprends a mieux vivre avec le Syndrome Asperger, beaucoup de choses que je savais pas avant.

[Inconnu992]

Lotus:il se trouve que cette fille est aussi sur le forum.On a jamais couché ensemble purement et simplement parce qu'on a pas envie tout les deux.

Et bon maintenant elle est avec quelqu'un.Disons qu'on se voit et qu'on est de bon copains.Je sais pas si je peux dire que je sort avec elle.

L'avantage c'est que ca me fais bouger de ma petite province,et que ca me fait changer d'univers.

C'est un bon exerercice,parce que ca me montre que la vie qu'on mène n'est pas réduite à une seule région.

J'ai de très très mauvais souvennirs dans la région ou j'étudie.Et surtout qu'il y'a pas d'emplois.Je vais pas hésiter à changer de région.

Je me suis fais aussi pas mal d'ennemies.Je pense qu'ils font leur vies.EN tout cas ,plus personne que j'ai connu à mon enfance,mon adolescence veut me revoir.Je souhaite pas les revoir.

J'ai envie d'aller ailleurs,puis de m'habituer à la vie de las bas et de m'intégrer comme ça.Personne ne saura jamais l'avant.Non on retiendra que le maintenant.

[Toni]

Lotus, en France et chez moi ... Des parains et des grands frères, j'ai eu des nouvelles comme quoi beaucoup sont passés par la case prison. Les soeurs faisaient des études au même moment.
Mais regarde simplement le nombre de mineurs incarcérés aux Etats-Unis (Latinos et Caraïbéens souvent). Pour les soeurs c'est bien moins vrai, soit c'est les études soit hélas les réseaux de traficants d'êtres humains et de prostitution.

Tes énnemis Lotus ont fini en taule (prison en argot Français) parce que je les soupçonne d'être des gens qui s'amusent et ou se moquent de la soufrance des autres.

Pour les soeurs du gang qui éssaient de s'en tenir à l'écart et visitent un frère en prison, nous les occidentaux regardons cela avec indifférence en se disant que cela n'est pas notre problème. GROSSE ERREUR .... Nous n'y récolterons rien que du mépris et du déshonneur. La classe politique n'a pas bien compris cela en France.

[kikuta]

Jai peu damis.
2 amis denfance dont 1 que je considere un peu comme mon frere.
Aucune amies filles a part les petites amies des 2 personnes cites plus haut.
( donc ce sont plus des connaissances ou "ami" par obligation )

Je nai jamais accroche avec personne.
Rarement.
Et bizarrement les rares personnes qui mont attire socialement et avec qui je me sentais a laise etaient des cas:

un iranien homosexuel
un togolais super intellectuel
une artiste japonaise dont la personnalite mechape toujours
etc....

[nana]

Amis? Oui, j'en ai toujours eu 1 (qui d'office me protégeait moi, l'enfant gentille qui ne savait pas se défendre).

De 12 à 14 ans au lieu de m'intéresser au garçon, je découvrais le fait de vivre et de socialiser avec mon ami intime. Je m'ouvrais un peu à l'extérieur.
Mon ami intime était un garçon également d'origine étrangère mais européen. Il était détesté car très intellectuel (cérébral) et distant , froid extérieurement. Les camarades de classe le comparaient à un robot. Moi, j'étais bien avec lui, j'adorais être avec lui. Parallèlement dès 13 ans j'ai rencontré 2 autres copains dont 1 qui était gros. Désormais nous formions la Bande des 4, inséparables, rieurs à plein temps. Le sexe? on en plaisantait mais personne ne "trempait dedans". Cela nous était personnellement étranger. Moi, j'avais peur de cette réalité mais je n'en savais rien à l'époque. C'était une peur qui était tapie au fond de moi.


Bref, j'ai toujours eu une amie avec qui vivre de manière indépendante, plus tard. Sans elle, je n'aurais pas su prendre un appartement, je crois ou j'aurais eu peur. Puis, j'ai rencontré mon défunt compagnon avec qui j'ai vécu longtemps pour le meilleur et pour le pire (sans être conjoints d'un point de vue légal).

Aujourd'hui, j'ai quelques amis que j'ai connu sur internet. Qu'ils soient TED, NT, handicapés, vieillards ne constitue pas un frein à une amitié potentielle. J'exclus les gens qui sont dangereux pour moi, les gens dont l'univers ne répond pas au mien du tout Ce, pour une raison simple, on a qu'une vie et comme on n'est pas immortel il est plus avisé d'œuvrer là où on est bon, où ça marcherait.
Ces amis j'ai voulu les connaître ou les aider. Eux aussi, ils m'aident. Chacun, m'intéresse. J'ai à cœur qu'ils vivent bien car ils sont valeureux ou ils ont quelque chose de pur. J'en ai rencontré 2 dans la Vraie Vie.
Internet; la Vraie Vie? C'est pareil pour moi. La relation nous la construisons 2 à 2 dans le temps, que ce soit via les forums, les chats, les emails ou dans son prolongement: la Vraie Vie.

J'applique quelques règles pour cela:

a. pour socialiser
- ne pas m'isoler avec la personne aux 1ers rdv physiques,
- tout au long des échanges (internet + en vrai) analyser ce que dit la personne VS ce qu'elle fait, étudier son tempérament, ce qui la "porte" dans la vie etc.
b. pour s'associer
- le plus important étant de ne pas aller avec quelqu'un qui est éloigné dans le sens de dramatiquement opposé à ma manière d'opérer ou de percevoir la vie. De ce fait, dire la vérité, voir un minimum claire en soi ou accepter de voir aident à ce que la relation dure et grandisse ainsi que de parler de ce qu'on ne comprend pas/ de ce qui ne va pas.
c. pour tisser la relation, avancer
- suivre ce que l'on aime dans la vie, le partager avec l'autre; ce que l'on aime chez l'autre, le lui dire, poser des questions à ce sujet pour en savoir plus.
d. pour vivre plutot que de survivre
- avoir présent à l'esprit où est la limite (pour soi) à ne pas dépasser et en parler avec l'autre lorsqu'il/elle veut vous entraîner au delà.

nana