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Posté : 28 mars 2010, 18:04
par Inconnu992
J'ai fait une démarche auprès de la medecin scoalire référente à l'éducation nationale.Preuve à l'appui avec le diagnostique du CRA.
Le tiers temps est un des nombreux droits qui m'est accordé ,en vertu de la loi sur le handicap de 2005.
es ce que ca répond à ta question?
Posté : 29 mars 2010, 11:12
par nana
oui, merci.
Posté : 02 avr. 2010, 14:35
par cinnammonflower
moi ça m'a apaisé ... je sais maintenant pourquoi je suis différente...et même si les autres ne me comprennent pas je suis plus cool
j'ai 55 ans et je suis en cours de diagnostic ; ça a pris plusieurs mois mais bon à mon âge.... vu que mes orientations éducatives sont loin ... y a plus d'urgence !
Posté : 03 avr. 2010, 13:52
par yoyo
lol j'ai eu le tier temps pour le bep compta que j'ai fait et reussi sans avoir a m'en servir.
J'en avais pas fait la demande au bac et la ca m'aurait ete utile car je n'ai pas eu le temps de finir certaines epreuves...
Mais bon ca ne m'a pas empecher de l'avoir avec mention (13/20 assez bien)
Mais bon voila quoi j'aurai peut etre pu avoir un peu plus ou ca n'aurai rien change, je l'ignore, mais c'est frustrant de ne pas avoir pu finir un truc
pas assez de temps pour finir un devoir
Posté : 04 avr. 2010, 04:46
par nana
la frustration de ne pas avoir pu finir et de donner un travail inachevé: j'ai bien connu.
le pire fut en deug anglais en 1ère année quand j'ai eu remis un brouillon.
rien que d'y repenser
nana
Re:Diagnostiquer un TED à l'age adulte?Questions usuelles US
Posté : 22 avr. 2010, 15:12
par nana
momisette a écrit :Bonjour,
Je vous écris car je me pose de nombreuses questions. J'ai 30 ans et mon fils vient d'être diagnostiqué TED. En faisant des recherches sur l'autisme et ses symptômes je me suis retrouvée sur de nombreux points (pas tellement sur des problèmes de communication mais surtout sur des soucis dans la relation sociale et des comportements stéréotypés).
A votre avis, est-ce que ça vaut le coup de faire un test?
Quelqu'un parmi vous a-t-il découvert un TED à l'âge adulte? Est-ce que ça aide à vivre mieux? Qu'est-ce que ça change? Est-ce que ça permet de diminuer nos obsessions? nos manies?
Merci d'avance de vos réponses
&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&&
Raifrissement de l'info ou aperçu d'un point de vue américain.
Comment fait on aux US quand on est adulte et Asperger, aujourd'hui?
RDV à la newsletter du jour de
Craig Kendall (
aspergersociety.org).
Voici le lien traitant du sujet:
Intitulé:
Answers to Common Questions about Adults with AS
http://www.aspergerssociety.org/articles/41.htm
nana
Re: Diagnostiquer un TED à l'age adulte?
Posté : 17 oct. 2010, 23:57
par 0z0ne
Je déterre le sujet car j'ai trouvé ça :
http://pages.infinit.net/frelyne/aspi/A ... Index.html après avoir parlé à des parents d'un aspie de l'école de mon fils (enseignement dédié). En fait, ils m'ont fait découvrir car je me posais des questions à la lecture des symptômes. En plus, j'ai l'impression que je retrouve des signes chez de nombreux membres de ma famille proche : mon fils diagnostiqué, mon frère (49 ans), ma sœur (57 ans), mon neveu…
Pour le premier test, j'ai 27/50 (je l'ai fait deux fois pour le même résultat), les 3 autres sont plus significatifs encore.
Je crois que je devrais me faire diagnostiquer même s'il me semble évident que j'ai des tendances tout aussi évidentes.
Ça ne peut m'apporter qu'une chose, une meilleure compréhension de moi mais ce serait déjà ça.
Quelqu'un a un avis sur la question ?
Re: Diagnostiquer un TED à l'age adulte?
Posté : 18 oct. 2010, 11:29
par Nouvelle
0z0ne a écrit :Je déterre le sujet car j'ai trouvé ça :
http://pages.infinit.net/frelyne/aspi/A ... Index.html après avoir parlé à des parents d'un aspie de l'école de mon fils (enseignement dédié). En fait, ils m'ont fait découvrir car je me posais des questions à la lecture des symptômes. En plus, j'ai l'impression que je retrouve des signes chez de nombreux membres de ma famille proche : mon fils diagnostiqué, mon frère (49 ans), ma sœur (57 ans), mon neveu…
Pour le premier test, j'ai 27/50 (je l'ai fait deux fois pour le même résultat), les 3 autres sont plus significatifs encore.
Je crois que je devrais me faire diagnostiquer même s'il me semble évident que j'ai des tendances tout aussi évidentes.
Ça ne peut m'apporter qu'une chose, une meilleure compréhension de moi mais ce serait déjà ça.
Quelqu'un a un avis sur la question ?
Ben moi je suis diagnostiquée depuis l'âge de 15 ans. Mais avec une prise en charge antérieure car dans ma famille il y avait des gens qui travaillaient dans la médecine et l'éducation spécialisée (ça a été une chance pour moi).
Mais maintenant, adulte, je peux dire une chose, avec ou sans diag, ma vie n'a absolument pas changé.
Je dois toujours lutter pour survivre. Je n'ai pas toujours de quoi payer mes factures à la fin du mois.
Mes efforts pour continuer de faire des efforts pour m'intégrer, m'améliorer dans mes contacts sociaux ne cessent jamais.
Je suis toujours déroutée devant les émotions des gens et je ne sais jamais répondre ce qu'il faudrait pour faire juste.
Je me suis suradaptée pour continuer d'avancer, de progresser et maintenant je pense qu'il est temps de cesser de faire des efforts.
Mon avis, c'est que si il n'y a pas de souffrance gigantesques qui empêche de vivre autant ne pas s'en rajouter.
Re: Diagnostiquer un TED à l'age adulte?
Posté : 18 oct. 2010, 13:40
par 0z0ne
Oh, je ne souffre pas, j'ai surtout en ce moment de grosses difficultés avec la mère de mon fils, lui aussi d'ailleurs en a avec elle et son beau-père. Je dois retourner la semaine prochaine devant le tribunal de la jeunesse pour tenter de résoudre ça.
Pas de souffrance à proprement parler, mais j'en ai eu beaucoup par le passé. J'ai suivi pas mal de thérapies analytiques pour tenter de trouver ce qui n'allait pas chez moi, avec comme conséquences que chaque fois que ça allait mieux, vraiment mieux, je cessais.
Je vis seul, sauf qu'en ce moment mon fils choisit de plus en plus d'être chez moi (quand ses psys ne demandent pas à sa mère de se laisser souffler en me l'envoyant, ou qu'elle le mette dehors car elle ne le supporte que difficilement, ou qu'il fugue), ce qui me convient bien puisque je l'ai conçu avec comme objectif de l'aimer. OK, je ne pouvais pas me douter qu'il serait différent, ni me douter que je pourrais l'être aussi, mais ça ne me dérange pas, nous sommes vraiment très proches.
Je n'ai pas de travail depuis des lustres. Heureusement, je jouis de la législation sociale belge, assez tolérante. Je n'ai jamais travaillé que pour ma famille. Le peu que je l'ai fait pour des tiers, je ne les supportais pas.
Dans tous les cas, je n'ai jamais apprécié d'être sous employé, que mes idées concernant le travail soient rejetées.
Surtout, je n'apprécie pas le train-train. Ma meilleure constance, c'est d'emmagasiner des connaissances, de comprendre comment fonctionnent les choses, pas de les faire. J'ai besoin de m'amuser, de repousser toujours plus loin les limites. Or si justement on me limite, je me sens très mal, je démissionne.
Les dernières années, j'ai découvert l'informatique qui me donnait la sensation d'accorder mes deux hémisphères cérébraux.
Surtout, elle se développe tellement vite, que son apprentissage n'a jamais de fin.
J'ai vraiment la sensation d'être « entre deux », ni nt, ni ted. D'ailleurs c'est simple, je crois qu'il n'existe rien d'absolu.
À lire les symptômes de la pathologie, je dois avouer qu'ils sont nombreux à me correspondre, pourtant à fréquenter Satedi, je note avec les autres intervenants de sérieux écarts.
Les gens les plus négatifs, principalement la mère de mon fils, et la famille, me trouvent doué en tout, mais terriblement fainéant.
Je ne pense pas être fainéant, je suis très actif sur l'ordinateur, que ce soit pour participer à de nombreux sites, principalement pour Mac, pour « hacker » dans le sens premier pas au niveau du piratage des données, il m'arrive à traduire des logiciels en français, rien que car en anglais, même si je les comprends, ils me perturbent. Par exemple, j'ai suivi des cours du soir de PAO il y a quelques années, en même temps je suivais des formations la journée, et quand je rentrais c'était pour enfin me mettre à mon ordi personnel. J'y consacrais facilement 16 heures /jour. Pas franchement de la fainéantise. Et j'ai fini mes cours premier de chaque branche, chaque année. Ça ne m'était jamais arrivé, avant les cours ne m'intéressaient que peu.
Lorsque je travaillais, je voulais me documenter sur la législation commerciale et sociale, j'aurais voulu être capable de gérer une entreprise de A à Z.
Je n'aime pas laisser de petites erreurs dans ce que j'entreprends, j'ai toujours eu le sens du détail « cosmétique ». Par exemple, comme modérateur d'un gros forum (75 000 membres), j'allais jusqu'à rectifier l'orthographe des autres. Ici, je n'aime pas que les logos ne soient pas très précis. Je suis redoutable en typographie.
Je considère plus important pour moi que le travail soit parfait, plutôt que d'avoir un salaire. Ça demande trop de constance, trop de temps, trop de responsabilité pour que je me lance seul dans une activité, j'ai toujours préféré le travail de groupe, mais alors bien organisé, chacun avec des tâches très précises. Ce travail, j'apprécie de le gérer, c'est ce que j'apprécie le mieux, mais je n'aime pas qu'on me mette des bâtons dans les roues.
Du point de vue amoureux, je vis seul depuis 12 ans. Cet aspect a toujours été très sporadique. En ce moment, je n'ai pas de demande particulière, je ne suis pas amoureux. Je déteste qu'on trahisse l'engagement commun car si j'ai donné ma parole, plus simplement si je me suis donné, je m'y tiens.
J'ai toujours eu peu d'amis mais quand je faisais une rencontre positive j'y allais à fond, peut-être trop pour ce que les gens sont capables de supporter. Ce qui fait que pour mieux respecter mes amis, je ne les vois pas trop, peut-être carrément trop peu.
Re: Diagnostiquer un TED à l'age adulte?
Posté : 19 oct. 2010, 03:31
par Urban Shaman
0z0ne a écrit :
Les gens les plus négatifs, principalement la mère de mon fils, et la famille, me trouvent doué en tout, mais terriblement fainéant.
Oui je crois voir. Tu n'est pas fénéant, mais paresseux. Pas pareil. Un fénéant est un parasite qui ne sait rien faire et ne tente rien.
Un paresseux c'est quelqu'un qui fait ce qu'il a à faire, mais le fait en se fatiguant le moins possible.....................et le cas échéant peut se bouger
beaucoup pour un truc qui le passionne.
J'étais un peu comme toi plus petit. Je m'intérressé à un peu tout, et me documenté beaucoup, jusqu'à ce que la dépression s'installe, ayant beaucoup de mal
à rester concentré sur quelque chose longtemps.