SAtedI

La relation ? Mais quelle relation ?
Je n'ai jamais eu comme but d'avoir une relation avec la trop jeune serveuse de snack qui m'a fait rire (franchement, je ne sais pas si elle a trouvé ça comique, et je m'en fiche).
De même, je n'ai jamais cherché à avoir une relation avec cette femme qui me montrait les photos de sa maison.
Du moins, nous avons (eu) des relations, oui, mais soit distantes, soit plus ou moins amicales, sans plus.

Est-ce qu'il n'y a pas un risque de voir « la » femme directement comme si on devait « avoir une relation » ?
J'ai beau être célibataire, je ne place pas ça comme une priorité dans mes relations à une personne. Je ne vais pas me voiler la face, je suis bel et bien un mec, et je peux y penser, mais je ne peux pas me focaliser sur cette éventualité. Il faut tout de même avoir plus d'atomes crochus (et de disponibilité) que seulement une attirance physique. Ou alors, juste pour un one-shoot, mais j'en ai vécu et c'est chaque fois très frustrant. Non, « la » relation avec une femme, c'est une chose qui se construit et ça prend beaucoup plus qu'une nuit. Le but c'est même, idéalement, que ça prenne la vie, non ?

Oui sûrement à 50 ans, on ne cherche pas les mêmes choses en général suivant l'âge que l'on a. Mais les jeunes femmes de cette génération il faut être d'avantage sûr de soi et savoir ce que l'on veut. Beaucoup d'entre elles jugent dès le début. C'est la galère.
Et puis dire ça quand justement on a déjà eu des coups d'un soir c'est une chose, surtout après des années et des années, mais quand on est incapable
d'avoir la moindre relation, bof.

Urban Shaman a écrit :… Beaucoup d'entre elles jugent dès le début. C'est la galère.
…

D'office, les idiotes n'ont rien d'intéressant, non ? Ou alors juste leur blondeur et leurs rotoplos…
Les one-shoot farouches, c'est bien une fois, mais qu'en reste-t-il ? Pour moi, juste un peu de colère, voire une tristesse. Avec le recul, j'aurais préféré m'en passer. M'enfin bon, on se construit sur nos expériences malheureuses aussi.

Oui et il est facil de juger après coup qu'on en avait pas réellement besoin.....une fois qu'on en a "profité" c'est plus facil à dire
Même si la fin est mauvaise ça fait de l'expérience et du bon temps passé quoi qu'on en dise. C'est mieux que.....RIEN.

Oui.
Et non.

Ce qui était un bon coup peut se muer en douleur incommensurable. C'est cher payer le bon coup.

Mais il ne m'appartient pas de dire à la jeunesse de ne pas faire toutes les bêtises que j'ai faites.

Il y a quelques jours, je suis sorti près de la Pyramide du Louvre et aux Jardins des Tuileries, dans l'espoir d'engager une conversation avec une fille. A chaque fois, je n'y arrive pas, j'ai peur (même si j'en attends une)... Et aussi, il y a beaucoup de filles qui sortent avec leur compagnon... C'était une galère, et pour vous, je ne pense pas que ce soit la méthode adaptée. L'année dernière, j'ai vécu une mauvaise expérience avec une fille dans le métro en retournant dans mon ancien collège.

Mon éducatrice du SAMSAH va m'aider à travailler sur les relations affectives, mais elle m'a conseillé de rencontrer des filles qui ont les mêmes difficultés que moi, ça s'entend par fille autiste. Mon père est du même avis qu'elle, et je suis frustré... Pourquoi ? Il est question de statistique : sur 65 millions de français (et bientôt 70 millions), il y en a 640 000 autistes environ (1 % de la population française), et l'autisme touche 4 à 5 garçons pour une fille (donc entre 15 et 20 % des filles autistes), donc seulement 0.15 % environ de la population française.

Donc se limiter aux filles autistes pour les relations affectives, c'est extrêmement restrictif, car ça me laisse moins de choix. A cela s'ajoute le fait qu'il y ait des femmes autistes beaucoup plus âgées que moi, et celles qui n'habitent pas en région parisienne.

Bien sûr que je n'exclus absolument pas les filles autistes, mais ça ne doit pas se limiter uniquement à cette catégorie.

Qu'en pensez-vous ?

Evidemment, déjà que c'est la galère la ça le sera encore plus.
C'est la bonne conscience de certains, les "autistes" avec les autistes Manière polie de maquiller un tabou.

Je dirais de trouver une partenaire autonome et non pas une miss sous curatelle dépendante du bon vouloir des parents pour le choix du conjoint .

Clarifier les attentes et se laisser respirer...

Sinon ça peux coûter cher ....

Mercredi, près de mon lieu de travail à la pause déjeuner, à la cafétéria, j'ai voulu discuter avec une fille qui me plaisait, mais elle m'a dit "gentiment" de la laisser déjeuner tranquille et de discuter avec son amie. C'était déjà le cas précédemment avec une autre cliente du self.

C'est un comportement problématique puisque les filles ne sont généralement pas disponibles. Par contre, quand une fille est au téléphone, je ne la dérange pas.

On m'a dit que les filles qui se trouve face à un garçon qui veut discuter avec elle, pensent que celui-ci veut les draguer, alors que je n'ai nullement l'intention de faire ça.

asdetrefle94 a écrit :Mercredi, près de mon lieu de travail à la pause déjeuner, à la cafétéria, j'ai voulu discuter avec une fille qui me plaisait, mais elle m'a dit "gentiment" de la laisser déjeuner tranquille et de discuter avec son amie. C'était déjà le cas précédemment avec une autre cliente du self.

C'est un comportement problématique puisque les filles ne sont généralement pas disponibles. Par contre, quand une fille est au téléphone, je ne la dérange pas.

On m'a dit que les filles qui se trouve face à un garçon qui veut discuter avec elle, pensent que celui-ci veut les draguer, alors que je n'ai nullement l'intention de faire ça.

Tout dépend de comment elle est abordée. Elle était entrain de parler avec une amie et si elle est dérangée, évidemment elle ne va pas être coopérative.
Disons que "les filles" sont disponibles mais pas pour tout le monde.