Posté : 19 juil. 2009, 02:34
L’année passé, j’avais catégorisé les types de malaises sous forme de causes :
1) L’incompréhension des propos d’une personne,
2) L’incompréhension d’un comportement d’une personne
3) Un malentendu
4) Des idées noires qui viennent à l’esprit soudainement.
Aujourd’hui, j’ai été capable de les catégorisé en terme d’orientations :
1) Malaise dirigé vers soi-même
2) Malaise dirigé vers l’autre
3) Malaise dirigé vers les autres
J’ai été capable de situer les trois orientations par rapport à la pyramide SACCADE :
1er étage : Sensoriel
2e étage : Perception
3e étage : Émotion et estime de soi
4e étage : Interaction (Moi et l’autre)
5e étage : Socialisation (Moi et les autres)
6e étage : Réalisation (Moi avec les autres)
Tout d’abord, je situe le malaise orienté vers soi au troisième étage de la pyramide. Lorsque je vois les autres en train de discuter de leurs compétences que je sais ou que je ne pense pas avoir, je me mets à tout les ramener sur moi et je me mets à vivre de la tristesse et de l’envie pour d’autres personnes. Je considère que c’est un exemple de malaise orienté vers moi-même parce qu’il se rapporte à l’estime de moi-même. Cette situation me mène à l’isolement, c’est-à-dire que chaque fois que j’anticipe en entendre parler, je décide de quitter la pièce pour m’empêcher de ressentir ces émotions inconfortables à l’intérieur. Depuis que je suis un cours de psychologie intitulé «Émotion et adaptation», j’ai su faire la distinction entre une émotion et un sentiment. Un sentiment est une conscience plus ou moins diffuse d’éléments affectifs. Son rôle est d’aviser qu’une émotion va surgir. Une émotion est un état affectif qui a un commencement précis et qui a une durée brève. En fait, une émotion, c’est plus précis qu’un sentiment. Maintenant, je peux vous affirmer qu’il m’arrive de ressentir un malaise sans le vivre. Puisque je sais qu’il arrive souvent qu’une pensée peut germer une autre pensée, j’anticipe que les gens vont jaser des compétences des autres lorsque je les entends parler d’un sujet pouvant être une orientation vers la discussion. Je vis un sentiment car je sens que je vais ressentir un malaise si cela nous amène vers le sujet. Donc, en anticipant, je me retire de la conversation pour m’empêcher d’abaisser l’estime de moi-même et d’en vivre les émotions.
Ensuite, je situe le malaise dirigé vers l’autre au quatrième étage de la pyramide. Je le considère comme l’embarras de communiquer avec l’autre directement.
Enfin, je situe le malaise orienté vers les autres au cinquième étage de la pyramide. Je le considère comme la souffrance de voir l’autre discuter avec une ou d’autres personnes. Par exemple, si je veux m’intégrer dans un groupe et je me fais rejeter, mon malaise ne s’oriente pas avec une personne particulière. C’est sûr que si j’ai l’intérêt de me socialiser et si je ne me fais pas accepter, cela peut me faire souffrir. Comme autre exemple, je suis consciente qu’un individu peut préférer parler d’un sujet avec une personne plutôt qu’avec une autre. Dans ma cognition, j’ai constaté que je peux trouver difficile de respecter le choix de l’autre si j’ai une prédilection pour le sujet. Sur le plan affectif, j’ai pris conscience de ma sensibilité face aux émotions que je peux vivre si la situation se produit. Là, il s’agit d’un sentiment car je ne vis pas l’émotion, je ne fais rien que sentir à l’intérieur ce que je pense vivre. En effet, je considère que c’est autre exemple de l’intériorisation car j’ai ramené ce que j’ai perçu de l’extérieur vers l’intérieur. Si la situation se produit, cela ne m’occasionnera pas nécessairement de malaise en communiquant avec l’autre, mais le fait de la voir discuter avec quelqu’un d’autre d’un sujet qui me passionne sans que je fasse partie de la conversation pourrait me faire souffrir. Alors, mon malaise s’oriente vers plus d’une personne. Dans mon propre cas, il peut très bien m’arriver de me sentir plus à l’aise en discutant avec la personne plutôt de la voir converser avec quelqu’un d’autre.
Noémie
1) L’incompréhension des propos d’une personne,
2) L’incompréhension d’un comportement d’une personne
3) Un malentendu
4) Des idées noires qui viennent à l’esprit soudainement.
Aujourd’hui, j’ai été capable de les catégorisé en terme d’orientations :
1) Malaise dirigé vers soi-même
2) Malaise dirigé vers l’autre
3) Malaise dirigé vers les autres
J’ai été capable de situer les trois orientations par rapport à la pyramide SACCADE :
1er étage : Sensoriel
2e étage : Perception
3e étage : Émotion et estime de soi
4e étage : Interaction (Moi et l’autre)
5e étage : Socialisation (Moi et les autres)
6e étage : Réalisation (Moi avec les autres)
Tout d’abord, je situe le malaise orienté vers soi au troisième étage de la pyramide. Lorsque je vois les autres en train de discuter de leurs compétences que je sais ou que je ne pense pas avoir, je me mets à tout les ramener sur moi et je me mets à vivre de la tristesse et de l’envie pour d’autres personnes. Je considère que c’est un exemple de malaise orienté vers moi-même parce qu’il se rapporte à l’estime de moi-même. Cette situation me mène à l’isolement, c’est-à-dire que chaque fois que j’anticipe en entendre parler, je décide de quitter la pièce pour m’empêcher de ressentir ces émotions inconfortables à l’intérieur. Depuis que je suis un cours de psychologie intitulé «Émotion et adaptation», j’ai su faire la distinction entre une émotion et un sentiment. Un sentiment est une conscience plus ou moins diffuse d’éléments affectifs. Son rôle est d’aviser qu’une émotion va surgir. Une émotion est un état affectif qui a un commencement précis et qui a une durée brève. En fait, une émotion, c’est plus précis qu’un sentiment. Maintenant, je peux vous affirmer qu’il m’arrive de ressentir un malaise sans le vivre. Puisque je sais qu’il arrive souvent qu’une pensée peut germer une autre pensée, j’anticipe que les gens vont jaser des compétences des autres lorsque je les entends parler d’un sujet pouvant être une orientation vers la discussion. Je vis un sentiment car je sens que je vais ressentir un malaise si cela nous amène vers le sujet. Donc, en anticipant, je me retire de la conversation pour m’empêcher d’abaisser l’estime de moi-même et d’en vivre les émotions.
Ensuite, je situe le malaise dirigé vers l’autre au quatrième étage de la pyramide. Je le considère comme l’embarras de communiquer avec l’autre directement.
Enfin, je situe le malaise orienté vers les autres au cinquième étage de la pyramide. Je le considère comme la souffrance de voir l’autre discuter avec une ou d’autres personnes. Par exemple, si je veux m’intégrer dans un groupe et je me fais rejeter, mon malaise ne s’oriente pas avec une personne particulière. C’est sûr que si j’ai l’intérêt de me socialiser et si je ne me fais pas accepter, cela peut me faire souffrir. Comme autre exemple, je suis consciente qu’un individu peut préférer parler d’un sujet avec une personne plutôt qu’avec une autre. Dans ma cognition, j’ai constaté que je peux trouver difficile de respecter le choix de l’autre si j’ai une prédilection pour le sujet. Sur le plan affectif, j’ai pris conscience de ma sensibilité face aux émotions que je peux vivre si la situation se produit. Là, il s’agit d’un sentiment car je ne vis pas l’émotion, je ne fais rien que sentir à l’intérieur ce que je pense vivre. En effet, je considère que c’est autre exemple de l’intériorisation car j’ai ramené ce que j’ai perçu de l’extérieur vers l’intérieur. Si la situation se produit, cela ne m’occasionnera pas nécessairement de malaise en communiquant avec l’autre, mais le fait de la voir discuter avec quelqu’un d’autre d’un sujet qui me passionne sans que je fasse partie de la conversation pourrait me faire souffrir. Alors, mon malaise s’oriente vers plus d’une personne. Dans mon propre cas, il peut très bien m’arriver de me sentir plus à l’aise en discutant avec la personne plutôt de la voir converser avec quelqu’un d’autre.
Noémie