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Re: SOCIALISER AMOUR

Posté : 20 oct. 2010, 13:20
par Toni
Le fun, c'est quand les filles sont gelées. Pour pas être défoncé soit-même, limitez votre consommation d'alcool à un verre par heure.
Quand les filles nts sont gelées, elles font quasiment n'importe quoi ... Pour les mecs c'est la que la soirée commence à être intéréssante.

Hélas, avant de pouvoir organiser le prochain Spring Break, il faut attendre fin Mai 2010. Les Canadiens iront à Punta Cana, ou au camping si soleil il y a.
Les Français descendent à cette époque plein sud en direction de l'Ardèche ou de la Haute-Loire si la météo le permet.
Si je vois qu'une fille est vraiment ivre, je ne profiterai pas de la situation même si elle me fait des avances. [-X Et je ne suis pas le genre de gars qui fait boire les autres pour obtenir leurs faveurs.

Re: SOCIALISER AMOUR

Posté : 21 oct. 2010, 01:04
par nana
Bonsoir Toni,

Tout fil de discussion (y compris celui sur Socialiser) comprend des digressions.
A moins que j'ai loupé le lien, je n'ai pas trouvé de lien entre ton post de 19h07 ainsi que ce qui suit (et qui répond à tes posts) et le sujet de Socialiser.

Veux, tu, stp, me dire quel est le lien car je n'aime pas être perdue dans la discussion?

Au cas où il n'y aurait pas eu de lien, dis le moi, ça me rassurera également.

A part cela, tu pourrais consigner sur Ton Fil ton orientation passée, ton histoire (si tu en éprouves le besoin; attention, cet espace est sur internet donc public!).
Ce qui serait enrichissant, Toni, serait qu'en sachant comment tu as vécu avant, tu réfléchisses et écrives, ici, à propos de comment tu aimerais vivre aujourd'hui en incluant les autres.
Cela implique que tu aies une vision d'où tu en est et de ce que tu aimes.

Pour te faire une confidence, j'en suis à ce stade: de savoir où j'en suis, quels sont les objectifs que je vise, puis de voir avec quoi je pourrais les atteindre.

Comme toi, certains évènements de mon passé m'habitent, la question de la culpabilité ou moins fortement de la responsabilité (ce qui se fait VS ce qui ne se fait pas et leurs conséquences dans mon présent) m'occupent mentalement. Me défaire de certaines habitudes, en acquérir qui soit "positives" et propulsives, comment y parvenir? sont autant de questionnements, qui, parfois, me paralysent dans l'action. Sans compter le moral qui est alors plombé!

Tout ce conflit intérieur, ou cheminement de vie intérieure, je le conduis avec mon journal papier, ou je choisis un aspect que je traite avec un e-friend (ami sur internet), ou avec ma thérapeute. Peut-être que toi, tu procèdes par blog?

Pour finir, je voudrais qu'à propos de ce fil de discussion tu te poses avant de rédiger ton post.
Note le sujet principal du post précédent, écrit après avoir rédigé ton post quel aspect du sujet sur socialiser/amour tu viens d'aborder. Puis valide ton post.

Pour réagir aux derniers posts (Toni, 0z0ne, Urban Shaman):

On a tous fait une erreur grave ou agis d'une manière qui restera dans le Livre de la Société.
Pardonner/Oublier ne se vit pas de la même façon selon si c'est moi qui est l'auteur du préjudice causé à autrui ou si c'est moi qui l'a subi.

Comme dit Yoyo , Urban Shaman, ne pas oublier ou s'accepter est indispensable pour poser de nouvelles bases assainies dans la relation à l'autre (et à soi-même). Il faut donc savoir ce qu'on a fait, s'en souvenir puis aller outre pour le mieux.

Comme dit 0z0ne, (je le dis différemment): on a tous droit à une 2ème chance.
Cette 2ème "chance" en est une à condition que
-l'on, que je me pardonne; d'une part pour ce que j'ai fait qui était mal
-je garde en mémoire, d'autre part, comment j'ai eu mal agis et le résultat que cela a eu sur moi et les autres.

Bonne nuit.

nana

Re: SOCIALISER AMOUR La Fête Le Sexe

Posté : 21 oct. 2010, 14:18
par nana
Je cite:
Ce que j'ai fait avec la voile et la vapeur, je n'ai jamais été cruel avec l'autre. En ce sens respectez toujours votre partenaire et demandez lui ce qu'il attend exactement.(Toni hier 10:14)

Si je vois qu'une fille est vraiment ivre, je ne profiterai pas de la situation même si elle me fait des avances. Et je ne suis pas le genre de gars qui fait boire les autres pour obtenir leurs faveurs. (Toni, hier 13:14)
Sujet:
Pratiques sexuelles avec l'autre.
Contexte:
Fêtes. (= lieu social et de socialisation)
Comportement-conseil:
Respecter l'autre=
Ne pas faire ce que je veux avec lui/elle sans lui avoir demandé s'il/elle était d'accord puis d'avoir écouté sa réponse; enfin, de ne pas imposer un rapport physiquement ou spatialement (sexuel ou flirt) s'il/elle a dit ne pas vouloir ou s'il/elle montre ne pas être d'accord.

>>>>Pré-requis:
Pour parler de ça avec l'autre et pour être en mesure de tenir compte de sa réponse implique d'être en condition pour faire preuve de discernement et de contrôle sur soi.
Problème n°1:
Tu es défoncé à l'alcool, c'est, à priori incompatible avec « savoir se contrôler » (Arrêter quand il faut).
Problème n°2:
Soit toi soit ton interlocuteur soit les 2 êtes défoncés ou ivres, comment savoir dans ce cas ce que vous voulez puisque vous n'êtes plus conscients? Autrement dit, avoir une conversation de mise au point avant de « sexer » avec la personne DANS CES CONDITIONS ne permet pas de discerner donc n'autorise pas Le Respect de l'Autre.

Conclusion:
On peut être un garçon bien (= qui a des principes moraux) et agir mal (à l'opposé de ses principes moraux) dans certaines circonstances.
Comment?
En s'exposant à vivre des situations qui, de facto, posent un cadre dans lequel tu vas évoluer vers un état où ce dont tu as besoin pour penser justement est impossible, absent.

Dis autrement, c'est comme si tu avais des principes moraux (« je respecte les autres ») quand tu es à jeun mais que tu n'en avais plus quand tu es torché ou ivre. Conclusion: tu ne peux pas dire que tu respectes l'autre. Ce qui n'empêche pas que tu as des principes.

Généralisation:
Une fille apprends (comme un garçon) à se méfier (=à ne pas entrer dans) d'une situation qui est dangereuse socialement ou relationnellement.
Ne pas y entrer est le moyen le plus sûr de ne pas devoir manœuvrer pour se tirer d'affaire une fois qu'on y est dans le pétrin. C'est aussi le moyen le plus radical d'être assuré qu'on n'agira pas comme un « criminel » (hors la loi socialement, juridiquement, moralement...) ou qu'on ne sera pas victime d'un crime (commis par un autre).
A défaut de prévenir l'avenir, il est important et utile socialement, relationnellement, d'identifier les conditions, les circonstances qui amènent à un danger potentiel. Cela signifie de savoir évaluer le niveau de prise de risque.

L'exemple cité est le lieu de la fête.
Il ya fêtes et fêtes.
- Un club privé, soit un lieu où il y a des pratiques échangistes ou des pratiques « orgiaques » est connu à l'avance. Dans le cas où on vous y entraîne en vous ayant dupé , sachez qu'il vous appartient de quitter les lieux immédiatement dès que vous apprenez de quoi il s'agit si vous n'êtes pas d'accord ou d'appeler la police ou à l'aide si on vous retient de force. Vous pouvez être trompé à un autre niveau: on refuse de vous informer sur l'endroit où vous allez festoyer, à ce moment, libre à vous de refuser d'y aller tant que vous n'aurez pas d'info satisfaisantes.
A priori, un club privé est une zone « safe » ( sûre), car ceux qui y viennent en sont informés et ils y vont parce qu'ils recherchent ce que propose le club.

- Pour les fêtes publiques , c'est une autre histoire.
Il faut déterminer au cas par cas:
*le degré de « dangerosité » (niveau d'exposition au risque)
*sa capacité à réagir en cas de problème sur place (quelle voie de sortie effective et pas seulement théorique?)
*au cas où on y va parce que, par exemple, on connait bien au moins une personne et on lui fait confiance, se tenir à une conduite qui n'entraînera pas du danger (boire, fumer des joints, se faire offrir une boisson par un violeur (qui n'en a jamais la tête ni l'attitude) qui aura prémédité son coup, ne pas s'isoler avec quelqu'un, rentrer par soi-même, avoir un moyen de communiquer avec l'extérieur en état de fonctionner, etc.)

Réflexion personnelle, élargissement
:
Indépendamment de cela, beaucoup de gens ne savent pas s'amuser sans avoir bu au préalable.
Personnellement, sachant cela, j'ai trouvé des alternatives à faire la fête pour m'amuser. On peut se faire plaisir avec un autre, quelques autres autrement.
Dans le cas où je suis allée à des fêtes, je savais dans quoi j'allais me retrouver et je ne me suis jamais forcée une fois sur place à agir contre ma volonté ou contre mon intérêt vital. Ce que je veux dire, c'est
- qu'on est pas obligé d'accepter ce qui est mauvais pour soi, même dans un lieu social,
- que l'autre est second par rapport à notre besoin vital, à ce qui conditionne notre survie ou notre intégrité.
Qu'être dans un lieux social comme une fête ou être avec l'autre implique que moi comme l'autre devront s'accorder pour permettre la prise de plaisir par chacun ou pour que chacun soit satisfait suffisamment.

Nana.

Re: SOCIALISER AMOUR

Posté : 21 oct. 2010, 19:51
par Inconnu992
J'ai fait plusieurs soirées d'intégration.La première en première année,je me suis fais mettre de côté au placard.On me parlait mais c'était juste pour se donner genre,y'avais pas d'intérêt réciproque.J'avais bu quelques bières,+ un ou deux verres avec du malibu et de la grenadine.Presque personne venait parler avec moi ou délirer.C'est ca que j'aime pas dans ce genre de soirées:t'es censé te mélanger,pas rester dans ton petit cercle.Je me forçais pour danser.

La deuxième,en 2ème année.Je suis resté,je me suis bien forcé pour faire comme tout le monde.Mais là aussi je me retrouvais à l'écart.Et surtout que mes ainés voulaient jamais me parler,comme quand j'étais en L1.Pas un bonjour,pas de discut possible.Je leur parle pas de réponses.j'ai jamais su ce que j'avais fait.

Avec du recul,ce genre d'évènement met davantage à l'épreuve mon système nerveux,je suis fatigué de la même manière qu'en millieu/fin de journée.

Quand j'étais plus jeune,j'essayais d'aller avec mon club mais pareil,je me lachais trop et ca plaisait pas.Et en plus quelques uns allait dans mon dos tout raconter à ma soeur.A force d'échouer,je suis plus aller avec ce groupe,qu'était néfaste.

Ah oui,c'était aussi lors du vin d'honneur de l'AGO de mon club de judo.J'ai croisé deux personnes que je connaissais.Alors bon je voulais essayer d'engager la discution.Et puis je pensais que je pourrais revenir à des bases saines mais non.je me suis fait viré limite ,c'est un miracle que je me soit pas fait sortir.C'était des gens que j'avais connu dans mon 1er lycée,qui supportait pas mon comportement,qui m'avait pris en grippe.C'était moi le fautif pas elles.

Cette année,je vais pas à la soirée d'intégration prévu samedi après midi.Elle coutaît cher,organisé dans un camping.J'ai pas eut envie d'y aller,je vais pas quelque part de festif pour me fatiguer encore plus nerveusement.Et surtout que le lundi,j'ai rendez vous avec mon maître de stage,et le soir avec GM.pour mon honneur,je veux pas qu'ils me voient complètement zombifié.

Je préfère à la limite aller courir la nuit:au moins c'est utile. :wink:

Re: SOCIALISER AMOUR

Posté : 21 oct. 2010, 20:53
par Toni
Les soirées d'intégration sont normalement faites pour mettre en pratique le sujet de Nana.
Moi c'est dans ce genre de soirées que j'ai appris à fumer et consommer des alcools forts à 55°C.
Fontionner à "voile et à vapeur", je me suis débrouillé tout seul avec des nts ayant des problèmes psychatriques.

Tu n'as à mon avis pas été assez patient dans ces soirées Updating-Boy, essaie de distrubuer de l'alcool aux filles ...
Toi ne bois qu'un verre par heure, mais éssaie de servir des cocktails où l'on ne détecte pas le goût de l'alcool à ces demoiselles.
Bref soit patient et sers leur del'alcool et quand ces demoiselles sont gelées, elles font n'importe quoi ... ça marche pas à tous les coups, mais quand ça marche ...
ça vaut au moins une médaille d'argent.

Si une de ces demoiselles est vraiment gelée, beh dans ce cas tout le monde te dit que t'es nul, et ben tu la laisses dégobiller ses tripes par terre et tu regardes de loin.
Volà comment il faut fonctionner dans ce genre de soirées.

Re: SOCIALISER AMOUR

Posté : 21 oct. 2010, 20:59
par Toni
Moi une de ces soirées où soit disant on socialise,
je me suis réveillé à 2H00 du matin dans les bois ... Bigre heureusement que c'était fin Mai.
j'avais un peu forcé sur la vodka pour soit disant "socialiser en amour".
Comme on était dans les bois, personne ne s'est aperçu de rien.

Après 10 ans à ce rythme, au final j'ai l'impression que l'alcool et le tabac finissent par rendre c*n et zombi.

Re: SOCIALISER AMOUR

Posté : 21 oct. 2010, 21:12
par Toni
Nana, moi à 7/8 ans je suis allé ... on va dire faire des trucs pas très chrétiens avec des nts ayant des soucis (garçons et filles), un peu ce qu'a fait Clinton avec Monica Lewinski.
En ce sens on peut dire que je suis allé faire des trucs que la morale public réprouve.
Cela se paie très cher psychologiquement car le fait de faire de cela te donne une version barbare de "socialiser en amour".

Après un ou une nt reste un être humain et maintenant je me sens coupable de m'être comporté de cette façon, j'éssaie juste de retrouver un semblant de normalité et de mettre de l'ordre dans mes neurones.

Le truc est que souvent nous les teds n'épouvons pas d'émotions outre mesure, enfant et pré ado je ne me suis pas rendu compte de la gravité de mon geste. Pour moi d'ailleurs c'est juste grave d'un point de vue de nts,
perso je vais pas aller dénoncer les nts avec qui j'ai fonctionné à voile et à vapeur.

Voilà comment je me torche les pieds les pieds sur la justice Française ... en même temps que j'éssaie d'en apprendre plus sur ton sujet.

Re: SOCIALISER AMOUR

Posté : 21 oct. 2010, 21:18
par Lotus
Toni a écrit : Tu n'as à mon avis pas été assez patient dans ces soirées Updating-Boy, essaie de distrubuer de l'alcool aux filles ...
Toi ne bois qu'un verre par heure, mais éssaie de servir des cocktails où l'on ne détecte pas le goût de l'alcool à ces demoiselles.
Bref soit patient et sers leur del'alcool et quand ces demoiselles sont gelées, elles font n'importe quoi ... ça marche pas à tous les coups, mais quand ça marche ...
ça vaut au moins une médaille d'argent.

Si une de ces demoiselles est vraiment gelée, beh dans ce cas tout le monde te dit que t'es nul, et ben tu la laisses dégobiller ses tripes par terre et tu regardes de loin.
Volà comment il faut fonctionner dans ce genre de soirées.
Heureusement que t'es pas au Québec, ici c'est associé au viol, évidemment on parle que c'est une offense criminelle et une fois en prison, on en mange toute une de la part des autres détenus et des gardes. :? :?

Ton truc, ça serait pas lié avec le truc qu'on appelle au Québec la "drogue du viol" ?? :? :?

Peux tu expliquer pourquoi tu fais ça en fait ??

Re: SOCIALISER AMOUR

Posté : 21 oct. 2010, 21:22
par Inconnu992
j'ai eut suffisament de patience pour faire des efforts et faire comme tout le monde.

j'ai eut suffisament de patience pour rentrer à 1h du matin,déglingé,fatigué épuisé,enragé nerveusement,j'en voulais à tout le monde de m'avoir troubler,alors que j'en avais marre.

Re: SOCIALISER AMOUR

Posté : 21 oct. 2010, 21:32
par Lotus
Peut-être et on peut comprendre, mais ça arrange pas les choses de violer une fille juste pour ça, si elle porte plainte tu risque pas mal la prison et avoir un casier judiciaire, sans parler du traitement que tu auras probablement une fois en taules.

Surtout si elle avait rien a voir avec tes problemes qui ont l'air d'être vraiment sérieux.

J'te vois pas comme un violeur pis j'suis sur que t'es un bon gars en réalité, mais ça excuse pas ce genre de truc, c'est vraiment trop extreme. :( :(