SAtedI

Non Lotus si la fille est assez folle pour se mettre dans cet état et qu'en plus le reste de la troupe pense que t'es un pas bon avec les filles et
bien moi je décampe ailleurs et je laisse le reste de la troupe gérer la fille alcoolisée.
La fille et ce qui se passe ensuite n'est pas mon problème.

Maintenant si la fille vient te voir complètement alcoolisée ... Ma fois qu'elle désaoule avant.

Dèrnier point, si les filles nts se défoncent se gèlent comme je les ai vues se geler, c'est qu'au fond d'elles mêmes elles ne sont pas heureuse de leur vie actuelle.
Je présume que des gens qui bievent comme ça ne sont pas heureux dans la vie, qu'ils aient ou non de l'argent.

Pour la "drogue du viol", si dans une soirée je vois circuler des nanannes genre pilule rose avec un papillon, je téléphone aux flics de la lutte anti drogue,
ces trucs là c'est du poison.

Je ne vais plus trop dans ce genre de soirées, voir les nts se mettre dans cet état (surtout les filles) me met des sueurs froides.
Je vais aux soirée où je connais un maximum de gens et où il y a un service de sécurité pas loin et miracle ça se passe beaucoup mieux.

Jouer à voile et à vapeur avec les nts ayant des problèmes psys, là ce n'était pas lors de soirées mais parce qu'on était entre nous et que les adultes étaient ailleurs.
Quand t'es enfant tu peux te permettre à un moment donné de faire ce que tu veux faire avec le ou la nt peu importe ... dans l'ombre. Bien entendu tu lui demandes si il ou elle est d'accord,
ce que j'ai toujours fait.

"pas heureuses" et "boivent", je corrige mes fautes de grammaire étant un peu fatigué et éteint à la lecture de ce sujet.
Quoiqu'il arrive il est éssentiel de respecter l'autre tant dans l'étape initial où vous cherchez les ressemblances que dans
l'étape finale où vous vous "amusez" à jouer à "voile ou à vapeur" avec votre partenair(e), bien entendu l'instant est fordimable si il ou
elle est d'accord pour assouvir les mêmes fantasmes.
Pendant ce temps là, oui finalement je reconnais m'être "laissé faire" comme le disait yoyo et m'être bien torché les pieds sur le morale public.
C'est plus tard quand j'ai grandi (collège et lycée) que ma façon de faire à viré au désastre et que j'ai été mis à l'écart.

Maintenant j'éssaie juste de retrouver un semblant de vie normale parce que l'horloge de la vie tourne pour moi aussi et tu finis par t'user avec ce type de sujet.

Toni a écrit :Non Lotus si la fille est assez folle pour se mettre dans cet état et qu'en plus le reste de la troupe pense que t'es un pas bon avec les filles et
bien moi je décampe ailleurs et je laisse le reste de la troupe gérer la fille alcoolisée.
La fille et ce qui se passe ensuite n'est pas mon problème.

Maintenant si la fille vient te voir complètement alcoolisée ... Ma fois qu'elle désaoule avant.

Dèrnier point, si les filles nts se défoncent se gèlent comme je les ai vues se geler, c'est qu'au fond d'elles mêmes elles ne sont pas heureuse de leur vie actuelle.
Je présume que des gens qui bievent comme ça ne sont pas heureux dans la vie, qu'ils aient ou non de l'argent.

Pour la "drogue du viol", si dans une soirée je vois circuler des nanannes genre pilule rose avec un papillon, je téléphone aux flics de la lutte anti drogue,
ces trucs là c'est du poison.

Ok, si tu l'as pas fait, j'aime mieux ça quand même, de toutes manieres, les filles faciles tu sais, c'est pas intéressant, juste un trip de sexe et apres elle sacre son camps et tu la revois plus jamais, par contre il y a bien des chances qu'elle te laisse une maladie vénérienne comme cadeaux d'adieu, le sida par exemple.

Ok, si tu l'as pas fait, j'aime mieux ça quand même, de toutes manieres, les filles faciles tu sais, c'est pas intéressant, juste un trip de sexe et apres elle sacre son camps et tu la revois plus jamais, par contre il y a bien des chances qu'elle te laisse une maladie vénérienne comme cadeaux d'adieu, le sida par exemple.

La capote ca existe, perso les plans "sexes" ne m'interressent pas, je dois faire partie des 0.000000001% qui n'arrivent a rien sans sentiments.... lol

Je me demande quel style de vie je vais choisir.
Celui de vivre errant en camping en Espagne avec 35 à 40 ans d'espérance.
Ou celui avec une fille et une belle famille qui vont me faire ch*er 40 ans avec des principes à la c*n de liberté égalité fraternité à la Française.

Il n'y a pas un matin du 1er Janvier au 31 Décembre où je dis: "p*tain fais ch*er quel purge ce pays ... Toujours entendre les mêmes co**eries depuis la maternelle". Bon je ne suis pas sorti de polytechnique mais je présume qu'une fille choisira plus un mec qui sourit le matin que un mec comme moi qui jure quasiment tous les matins en parlant bas. Deuxième petit problème, je ne vais pas enseigner à des mioches "liberté, égalité, fraternité" à la Française, je n'y crois pas moi même ...Les mioches, ils vont s'apercevoir que je me mens à moi même. Ensuite UrbanShaman a très bien expliqué que ma façon de parler doir transparaître dans ma façon de me comporter.
Bref je pense que déjà pour aborder convenablement le sujet de nana, il faut être dans un registre ou un état d'esprit "acceptation" au plus profond de son coeur de la nation Française.
Ce n'est pas mon cas, je souhaite donc par conséquent prendre mes distances avec ce sujet car je ne vais rien y apporter de bon.

Pour ma part la vie de campeur errant à 1200 kms de son pays m'apparaît plus attrayante que de se purger la vie avec conjoint, gosses et belle famille.
Je pense ça depuis que je suis à la maternelle n'ayant jamais vraiment compris ce qu'un individu comme moi fou*ait en France.
Les nts me disent que dans une vie de famille, avec ta femme et tes gosses ... c'est super il y a de la joie. Navré pour les nts je ne détecte pas de joie là dedans, mais plus que des e**erdements moi étant ted avec un gosse ted. Oui j'avoue que le style de vie de Yoyo ne m'attire pas vraiment.

Non mais sérieux??? il faut éprouver de la joie quand vous même ted vous savez que vous prenez le risque d'être parent d'un enfant ted ???!!!
Mais plutôt se jeter du sommet de l'empire state building de new-york que d'entendre les gens raconter des ann*ries de ce genre au réveillon.

Pardon, mais pour bien revenir au sujet ... être ted et futur parent d'un enfant ted ... Moi je vois ça comme une grosse prise de risques et de très gros ennuis en perspective.
Franchement je n'éprouverais pas de joie de me retrouver dans ce cas là.
Sans parler de ça, avoir des marmots qui braillent tous mes matins, ce n'est pas non plus vraiment mon truc, je sais pas ce que les filles aiment là dedans ... Je n'ai jamais vraiment compris.

Toni a écrit :
Bref je pense que déjà pour aborder convenablement le sujet de nana, il faut être dans un registre ou un état d'esprit "acceptation" au plus profond de son coeur de la nation Française.

Non rassures toi. Aucun liens.
Mais en acceptation de soi, ce qui ne semble pas ton cas comme tu nous l'a expliqué.

Bonjour,

Toni, nous avons un problème de communication.
Tu jettes des mots comme "à voile et à vapeur"; "filles gelées"; "faire ce que tu veux" un peu comme au loto national quand les boules tournent dans la sphère transparente.
Par exemple, "marcher à voile et à vapeur" signifie être bisexuel. As t-on le droit de dire d'un enfant ou même d'un ado qu'il est bisexuel et si oui, cela doit il être moralement condamné?
Saouler une fille (même si elle se laisse faire) pour parvenir à parler avec elle (voire plus) est il le seul ou le meilleur moyen de se rapprocher d'elle, de partager?

Lotus, il n'est pas le seul, a compris le contraire de ce que tu disais ç-à-d que tu utilisais "la pilule du violeur". Ceci, parce que tu parles à mots couverts (par allusion) et que le contexte que tu décris correspond à celui de la fête où la fille sera abusée.
En somme, tu n'es pas clair dans tes propos.

Ensuite, tu confonds les époques et les temps: l'enfance, l'adolescence, l'âge adulte. Au final, tu attribues des intentions adultes à l'enfant ou pré-ado que tu étais (= tu juges tes actes infantiles comme un adulte juge un autre adulte).

D'un autre côté, même dans un soucis de clarté je ne te demande pas de dire exactement ce que tu as fait, ça ne nous regarde pas, c'est privé.Ici, c'est un lieu public.

Ce que je lis, c'est
- qu'il y a une certaine confusion en toi au sujet de la découverte du corps et des sentiments,
- que tu as vécu des évènements qui t'ont marqué et auxquels tu accordes une valeur chargée négativement (peut-être n'est-ce pas fondé?). Si tu en es affecté, tu mérites d'être aidé seulement, je doute que ce Fil ou que ce Forum soit approprié. Dans ce cas, tu pourrais t'épancher sur le sujet auprès d'un ami, de quelqu'un de proche et en qui tu as confiance ou alors avec un thérapeute avec lequel tu aurais décidé de discuter.

Sinon, quels repères as tu?
Sais tu , par exemple, comment un enfant devient un homme ou une femme?
Comment la société et les parents/les tuteurs éduque l'enfant pour qu'il intègre la norme?
La norme est utile, cela permet de se situer par rapport à l'autre et par rapport à un groupe majoritaire d'individus dans la société.

Après avoir les 4 dernières pages, je demande à tous:

a. Comment cela se passe t-il pour vous dans une fête/lors d'une sortie en groupe?

b. Avez vous reçu une éducation sexuelle ou Qu'est-ce-qui vous à aidé dans l'approche de l'autre (physiquement, sentimentalement, sexuellement) ?

nana

Les fêtes, ça fait longtemps qu'on ne m'y invite plus. Même pas à des soirées entre amis. Ou alors extrêmement rarement.

Je ne suis pas danseur, la plupart du temps, je vibre pour des musiques trop particulières, trop disparates. Mais aussi, je n'éprouve pas le besoin d'une émulation de groupe pour entrer en transe musicale. Ça m'arrive plus facilement seul, sur un truc canon qui me correspond, qui correspond à un état d'esprit du moment.

Pour ce dont je me souviens de soirées, j'aime voir les gens s'amuser, j'aime voir les chorégraphies que les gens utilisent, mais il m'est impossible de participer.

Trop souvent, le niveau sonore rend impossible un autre type de relation que la danse. En plus, je deviens sourd avec en particulier un problème dans les aiguës. Alors vivre la musique rien qu'en basses m'est assez pénible.

Les fêtes ne sont pas la place pour la discussion, sauf en cas de repas entre amis. Mais pour ça il faut en avoir et ce n'est pas évident si on ne sort pas beaucoup.
____________________________________

Oui, j'ai reçu une éducation sexuelle de base à l'école. Mais je ne pense pas que ça ait été très utile. Par exemple, voir un accouchement sur grand écran (toutes proportions gardées) ne permet pas vraiment de se faire une idée de ce qu'est la sexualité.

J'ai eu un livre acheté par hasard en solde, bien fait, très explicatif, j'ai parfaitement compris les cycles de la femme, et tout.
Ça m'a servi un moment de mode contraceptif avec ma première copine.

Ça m'a aussi servi à faire mon fils du premier coup.

Pour le reste, l'expérience s'éloigne parfois énormément de ce qui est expliqué. Je ne sais pas s'il existe par exemple de livre où est expliqué comment donner un baiser (pour rester soft).
Je n'ai jamais vu ni lu ce que peuvent être les préliminaires sexuels, par exemple. Ça, ça vient avec la pratique ou dans des ouvrages, hum… Avec des dérives particulières, parfois. Et en fait souvent (toujours) : le monde du hard n'a pas de limites.

Je l'ai déjà dit auparavant, ce qui rapproche le plus sentimentalement, c'est d'être vrai et ouvert à l'autre.
Physiquement, c'est pareil. C'est une question de look, d'attirance pour un style. Tous les goûts sont dans la nature, il n'y a pas de règles.
Sexuellement, c'est pareil. Il faut être soi-même pour être capable de dire ce qu'on a envie de recevoir, il faut être ouvert pour pouvoir offrir ce que l'autre attend.
Dans tous les cas il n'y a rien d'obligatoire, il n'est pas nécessaire de réussir à s'unir. Il vaut mieux ne pas subir de frustrations ni imposer de malaise. On peut bien accepter certaines concessions, mais il faut que les rapports restent équilibrés et consentis.