SAtedI

Je vois.... Donc le mieux c'est peut etre de parler du deficit d'attention plutot que du SA.

Au moins je passerai pour quelqu'un de tres distrait... Encore que je me demande dans le metier que je recherche si c'est un plus.

Alors comment expliquer le mi-temps imperatif a l'employeur, enfin au recruteur, qui recherche des personnes VOLONTAIRES et le mi-temps imperatif sans explication beton, provoquera la mefiance aupres de l'eventuel employeur qui mettra surement le CV du postulant a la corbeille.

Au moins je passerai pour quelqu'un de tres distrait

Dans le contexte précis de l emploi je ne suis pas certaine que paraitre distrait soit plus utile que dire j ai un problème avec le relationnel.

Pour un patron si tu ne fais pas un métier relationnel , il s en fout un peu que tu ais des problèmes du moment que tu es productif.
Par contre que tu sois distrait = moins performant .

A réfléchir.

Il faut peut-être trouver un moyen pour tourner ça à ton avantage. Par exemple, plutôt que dire "j'ai des problèmes relationnels" dire "ça ne me dérange pas de travailler seul, je suis très autonome" ?

Encore plus simple : j'ai besoin d'un mi-temps car mes enfants handicapés ont besoin de moi. Et c'est d'ailleurs pour ça que si vous aviez un télé-travail, ça m'arrangerait beaucoup.

Heu celle la c'est la mienne alors faut pas qu il me la pique .

D'ailleurs si tu as des pistes pour un télé-travail ou on te demande de faire de la PAO je prend les infos

Fais-toi intermittente. Tu trouves les clients à ton rythme, ton secrétariat social les facture et te verse un salaire en fonction de tes prestations.
En Belgique, il y a plusieurs organismes qui gèrent ça. Je suis inscrit chez smart asbl.

Je commence doucement à réfléchir à une auto-entreprise http://pme.service-public.fr/actualites ... eneur.html

Oui, ça peut être pas mal. Seulement tu as un comptabilité à tenir, des contrôles fiscaux possibles et un statut pas net.
Pour la comptabilité (j'ai seulement survolé), d'un côté ce n'est pas grave, un salarié doit aussi ranger ses papiers, il y a tout de même la TVA : même sans être assujetti, il faut la calculer et la signaler à payer par le co-contractant (le client). Faut voir si ça l'intéresse.
En cas de dépassement de ton chiffre (et ça c'est l'administration fiscale qui décide parfois de manière arbitraire lors d'un contrôle qui lui laisserait des doutes), tu passes d'un coup au statut de travailleur indépendant. D'où il faut jongler en fin d'exercice pour ne pas dépasser les montants permis. Mais qu'est-ce que tu ferais si un "bon" client te relançait en fin d'année ? Dire non, ou changer de statut ? Ça peut être dangereux.
Ma formule me laisserait (j'ai un peu laissé tomber les deux dernières années) le statut de "salarié", ce qui est plus confortable.