Ce qui n'est vraiment pas pareil, c'est que l'alcool est institutionnalisé, que les dealers ne sont pas les mêmes, que nos états se financent sur le compte de ses victimes.
Au delà de ça, si l'héroïne était aussi réglementée et industrialisée (d'une "qualité" constante sans additifs encore plus dangereux [strychnine & lactose]), elle ne poserait pas plus de problèmes, notamment en matière de sécurité routière, que l'alcool.
Seulement voilà, elle n'est pas produite par les vignerons bordelais. Son interdiction est clairement du protectionnisme car une chose est certaine : l'alcool tue plus sous nos contrées que l'héroïne.
Maintenant, OK, autant ne pas y rajouter une dose.

Ce que Amy Winehouse n'avait pas fait.