SAtedI

Ha, oui faut un certain âge pour avoir connu ça
Même si au début le côté electro retro/amour m'a fait penser aux musiques gay des années 80 (genre Franky goes to Hollywood) en fait c'est très mélancolique.
Le refrein fait très triste je trouve....même si c'est qui le rend bien.
Je pensais mettre une musique pour danser un peu plus joyeuse....mais non. Restons sur du mélancolique
(surtout vu l'heure )

Ben, c'est de ma génération apres tout, j'étais juste un ado a cette époque, pas surprenant que j'aime bien ce style la.

Mais en attendant j'explore un peu la scene Italienne des années 80s, cette chanson est en fait Italienne.

Faudrait remonter ce sujet de conversation la plus souvent, vous trouvez pas ??

Une autre p'tite chanson, j'espere que vous aimerez, elle avait été arrangée par un fan cette fois la.

http://www.youtube.com/watch?v=Vufq0QLe8l0

J'avais trouvé ça vraiment bien celle-la.

J'avais pensé mettre une plus triste, mais bon:
Encore l'amour omniprésent ......et qui se danse s'il vous plait :
http://youtu.be/A24FR7LdwwE

Danse qui peut : http://www.youtube.com/watch?v=VrxLL69C718
Moi j'y arrivais. Le guitariste de la deuxième partie me rendait dingue.
C'est du jazz-rock.

Allé cette fois, LA jolie musique , et LA jolie danseuse en prime .............Et ce que ça donne en danse
(A force je vais bien arriver à les rattraper )
Enjoy: http://youtu.be/2kiKjAMWXAM

C'est ce qui s'appelle « valser du popotin ». Attention, risque aigu de mal de mer.

Une pensée pour toi, Emmanuel,

en musique avec

- amicalement:

Mots clefs à saisir Follow your heart Brett Dennen Youtube

- philosophiquement, Heaven:
(Cette chanson succède à la précédente sur Youtube.)

Tu as été un bon président pour SatedI.
En espérant que tu auras bientôt une autre opportunité.



Je te souhaite une bonne journée.

Respectueusement à toi.

Lyrics of Heaven

Beyond the rules of religion
The cloth of conviction
Above all the competition
Where fact and fiction meet
There's No color lines or casts or classes
There is no fooling the masses
Whatever faith you practice
Whatever you believe
Heaven. Heaven.
What the hell is Heaven?
Is there a home for the homeless?
Is there hope for the hopeless?
Throw away your myth misconceptions
There ain't no walls around heaven
There are no codes you gotta know to get in
No minutemen or border patrol
You must lose all earthly possession
Leave behind your weapon
You cannot buy your salvation
There is no pot of gold

(chorus)
Heaven ain't got no prisons
No government no business
No banks or politicians
No armies and No police
Castles and cathedrals crumble
Pyramids and pipelines tumble
The failure keeps you humble
Leads us closer to peace

There's No color lines or casts or classes
There is no fooling the masses
Whatever faith you practice
Whatever you believe
Heaven. Heaven.
What the hell is Heaven?
Is there a home for the homeless?
Is there hope for the hopeless?
Throw away your myth misconceptions
There ain't no walls around heaven
There are no codes you gotta know to get in
No minutemen or border patrol
You must lose all earthly possession
Leave behind your weapon
You cannot buy your salvation
There is no pot of gold

(chorus)
Heaven ain't got no prisons
No government no business
No banks or politicians
No armies and No police
Castles and cathedrals crumble
Pyramids and pipelines tumble
The failure keeps you humble
Leads us closer to peace

Nana

0z0ne a écrit :C'est ce qui s'appelle « valser du popotin ». Attention, risque aigu de mal de mer.

Mal de mer je ne sais pas, mais qui ne voudrait pas embarquer dans un si beau navire?
.....
Tout dans le déhanché, sans compter la précision des pas. Dis toi qu'il y a une tension permanente entre les deux danseurs pour qu'il l'a mène comme ça avec autant de finesse. C'est délicat, féminin pas vulgaire........la classe

Mouais, tout de même, c'est très macho. Elle remue vraiment des fesses pour la galerie. C'est tellement la houle que chacun en a l'œil rincé jusqu'à plus soif. Ça provoque le mâle amer.
M'enfin, mieux vaut voir ça que d'être sourd.

Ça me fait fort penser à Baudelaire cette discussion.