connaisance de soi
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- SAtedI pour toujours
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connaisance de soi
J'ouvre un chapître "se connaitre", "se découvrir", "conscience de soi".
Suite aux discussions sur qui est / comment etre le vrai moi? que nous avons entamées dans les forums Couples TED/NT + Empathie ...
Je commence en soumettant la réflexion et la situation qui me déchire actuellement.
J'identifie clairement ces moments où je suis un obstacle à moi-même.
J'explique: c'est quand je dois faire une chose qui est soit très difficile soit inconfortable et que je pars d'un point d'appuie qui est adverse.
En clair, à moins d'être ultra motivée j'ai peu de chance de faire la chose que je vise. D'abord, parce que je dois vaincre quelque chose qui est en moi-même ensuite parce que je dois agir à partir de circontances ou d'un environnement qui sont obstrués. Cette double difficulté à souvent pour conséquence le fait que je prétexte que la situation extérieure est trop compliquée pour que je me bouge et atteigne mon objectif.
Ceci dit, il faut quand même que je trouve le moyen d'avancer, d'entreprendre ce que je vise car je le veux, j'en ai besoin.
Si je n'ai pas de quoi débloquer la configuration à ce stade, en revanche je sais que les jours s'écoulant, je vais progressivement dériver et me perdre totalement au final à faire des choses qui n'apportent rien, qui "divertissent" (dans le sens de dévier) mon esprit tout en me rendant de plus en plus captive.
C'est ainsi que se développe un schéma de dépendance à quelque chose ç-à-d que je deviens accroc, circonstanciellement, à quelque chose.
Pour résumé, je peux dire que lorsque je me fixe pour mission de changer quelque chose de structurel à ma condition et que pour le faire je dois dépasser des obstacles qui sont
- matériels ( dûs à un manque de confort physique) et
-mentaux (me convaincre d'agir et visualiser comment),
je me retrouve en conflit avec moi-même.
Parallèlement, cela augmente le risque que je me retrouve en situation de faire, à la place, quelque chose qui me tienne occupée mais également qui installe une forme de dépendance chez moi.
nana
Suite aux discussions sur qui est / comment etre le vrai moi? que nous avons entamées dans les forums Couples TED/NT + Empathie ...
Je commence en soumettant la réflexion et la situation qui me déchire actuellement.
J'identifie clairement ces moments où je suis un obstacle à moi-même.
J'explique: c'est quand je dois faire une chose qui est soit très difficile soit inconfortable et que je pars d'un point d'appuie qui est adverse.
En clair, à moins d'être ultra motivée j'ai peu de chance de faire la chose que je vise. D'abord, parce que je dois vaincre quelque chose qui est en moi-même ensuite parce que je dois agir à partir de circontances ou d'un environnement qui sont obstrués. Cette double difficulté à souvent pour conséquence le fait que je prétexte que la situation extérieure est trop compliquée pour que je me bouge et atteigne mon objectif.
Ceci dit, il faut quand même que je trouve le moyen d'avancer, d'entreprendre ce que je vise car je le veux, j'en ai besoin.
Si je n'ai pas de quoi débloquer la configuration à ce stade, en revanche je sais que les jours s'écoulant, je vais progressivement dériver et me perdre totalement au final à faire des choses qui n'apportent rien, qui "divertissent" (dans le sens de dévier) mon esprit tout en me rendant de plus en plus captive.
C'est ainsi que se développe un schéma de dépendance à quelque chose ç-à-d que je deviens accroc, circonstanciellement, à quelque chose.
Pour résumé, je peux dire que lorsque je me fixe pour mission de changer quelque chose de structurel à ma condition et que pour le faire je dois dépasser des obstacles qui sont
- matériels ( dûs à un manque de confort physique) et
-mentaux (me convaincre d'agir et visualiser comment),
je me retrouve en conflit avec moi-même.
Parallèlement, cela augmente le risque que je me retrouve en situation de faire, à la place, quelque chose qui me tienne occupée mais également qui installe une forme de dépendance chez moi.
nana
Re: connaisance de soi
je me reconnais bien la.nana a écrit : Si je n'ai pas de quoi débloquer la configuration à ce stade, en revanche je sais que les jours s'écoulant, je vais progressivement dériver et me perdre totalement au final à faire des choses qui n'apportent rien, qui "divertissent" (dans le sens de dévier) mon esprit tout en me rendant de plus en plus captive.
C'est ainsi que se développe un schéma de dépendance à quelque chose ç-à-d que je deviens accroc, circonstanciellement, à quelque chose.
jai pas limpression davoir atteinds mes buts... je fais du surplace.
dans le passage de toi, que jai cite, fais tu reference aussi a ce "pouvoir " que la passion, qui devient obscession, chez les TED?
sinon continue ca minteresse
Se connaître devrait être un impératif.Mieux se connaitre ene xperimentant,oui.
Je dit ça,étant quelqu'un de pugnace,un peu masochiste.
Je dit,l'ayant expérimenté que mieux je me connaît,mieux c'est.Et quand j'applique justement ce que je decouvre,et bien je send ce qu'on appele vraiment la puissance de l'esprit.Que j'hésite plus,que c'est limpide,que je suis moins angoissé.
Je pense que cette situation à plusieurs origines:
-L'habitude du dénit:je constate que j'y arrive pas,je le pense très fort qu'il faut me connaître mais je l'ignore,je le fait pas.Je continu de croire que on peut faire sans,que la démarche ne va rien changer,ca va foirer.
-Mauvaise approche par les autres:le fait d'être incompris,de manière permanente,amène souvent à ce genre de refus de se connaître,de difficultés.C'est d'autant amplifié quand les personnes qui le font ne changent absolument pas leur regard,malgré vos tentatives,même bennines,d'efforts.
-les échecs à répitions.On se fait réprimander,on se sent trahis,déshonnorer.Alors on fuit,on veux pas se poser de questions parce qu'on est persuadé que le fait de remettre sur la table ce qu'on croit responsable de nos maux,va faire empirer.
Bien sûr,y'a aussi le fait de ne pas avoir de suivi adapté,je pense à tout ceux et toutes celles qui ont été diagnosticés tardivement et sont encore dans les méandres d'une psychanalyse insolente, hardit,mais très destructrice.Le fait d'avoir connu une longue période ou on vous a setiquetté,que ca vous ai empêché d'être finallement vous même.
La notion de vous même,justement est floue.Trop pour être ressortit tel qu'elle,se limiter à se manger des concepts très théoriques et ne pas faire de travail de recherche spécifique.
Je dit ça,étant quelqu'un de pugnace,un peu masochiste.
Je dit,l'ayant expérimenté que mieux je me connaît,mieux c'est.Et quand j'applique justement ce que je decouvre,et bien je send ce qu'on appele vraiment la puissance de l'esprit.Que j'hésite plus,que c'est limpide,que je suis moins angoissé.
Je pense que cette situation à plusieurs origines:
-L'habitude du dénit:je constate que j'y arrive pas,je le pense très fort qu'il faut me connaître mais je l'ignore,je le fait pas.Je continu de croire que on peut faire sans,que la démarche ne va rien changer,ca va foirer.
-Mauvaise approche par les autres:le fait d'être incompris,de manière permanente,amène souvent à ce genre de refus de se connaître,de difficultés.C'est d'autant amplifié quand les personnes qui le font ne changent absolument pas leur regard,malgré vos tentatives,même bennines,d'efforts.
-les échecs à répitions.On se fait réprimander,on se sent trahis,déshonnorer.Alors on fuit,on veux pas se poser de questions parce qu'on est persuadé que le fait de remettre sur la table ce qu'on croit responsable de nos maux,va faire empirer.
Bien sûr,y'a aussi le fait de ne pas avoir de suivi adapté,je pense à tout ceux et toutes celles qui ont été diagnosticés tardivement et sont encore dans les méandres d'une psychanalyse insolente, hardit,mais très destructrice.Le fait d'avoir connu une longue période ou on vous a setiquetté,que ca vous ai empêché d'être finallement vous même.
La notion de vous même,justement est floue.Trop pour être ressortit tel qu'elle,se limiter à se manger des concepts très théoriques et ne pas faire de travail de recherche spécifique.
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passion VS obsession TED
Merci, dorry.
UB : " fais tu reference aussi a ce "pouvoir " que la passion, qui devient obscession, chez les TED? à propos du passage que tu cites:
"Si je n'ai pas de quoi débloquer la configuration à ce stade, en revanche je sais que les jours s'écoulant, je vais progressivement dériver et me perdre totalement au final à faire des choses qui n'apportent rien, qui "divertissent" (dans le sens de dévier) mon esprit tout en me rendant de plus en plus captive.
C'est ainsi que se développe un schéma de dépendance à quelque chose ç-à-d que je deviens accroc, circonstanciellement, à quelque chose."
nana : Je ne saurais dire. Non, je ne pensais pas à cela.
La question de la passion des TED pour une chose, une activité, est motrice et auto suffisante, complète (dans le sens d'une poursuite active + immersion totale dans ce qu'on fait).
Autrement dit, le TED ne s'adonne pas à ce qui le passionne comme si c'était un *dérivatif. Je crois, mais à d'autres à le confirmer ou à l'infirmer, que c'est un mouvement qui est intrinsèquement vécu donc légitime. Je veux dire que c'est quelque chose de positif, me semble t-il.
Peut-être, arrive t-il que par découragement pour une réalité de vie la personne TED se réfugie dans ce qu'elle aime, sait faire , et qui réconforte mais je ne pense pas que ce soit le motif premier. (j'évite le chiffre impair pour ticha).
Ceci dit, il y a peut-être une ressemblance dans le schéma mais c'est intuitivement que je dis: cela doit s'nalyser à un autre niveau (la ressemblance). Bref, c'est proche mais pas en fonction de quels facteurs ou notions clefs?
En effet, c'est quand je suis impuissante, que je n'obtiens plus aucun plaisir à évoluer là ou je suis forcée d'évoluer, que mon organisme se détourne tout entier de la situation. Pour chercher du plaisir (qui me manque) ailleurs. Graduellement, le plaisir qui est censé être - comment dire- une conséquence indirecte (offspring, en anglais) d'une activité voulue devient le but en soi.
Dans ce cas de figure, tu noteras, UB, que je ne suis plus dans le sujet posé au début: atteindre un but et réaliser que c'est trop dur depuis le point de départ qui est le mien; pour cause de tensions contraires trop difficiles à dépasser.
Je suis plutôt dans la phase précédente: situation dont le lit est inconfortable au point que je me décide à changer quelque chose.
J'espère ne pas avoir fait de hors sujet et avoir répondu à ta question.
Toujours est il que de passer du Pouvoir des personnes TED qu'est leur Passion à l'Obession, qui en est le revers (?) est un lien intéressant.
A creuser...
&&&&&&&&&&&&
Dernier point:
Je te cite, UB : "La notion de vous même,justement est floue.Trop pour être ressortit tel qu'elle..."
Je suis totalement d'accord d'où la difficulté de s'exprimer juste. As tu remarqué à ce propos que chaque fois qu'on a recourt à un cliché ou à une généralité on annule la valeur de ce que pourrait avoir ce qu'on veut dire (notre pensée originale)?
En général ça se produit quand on dit:
Soyez vous-même!
Affirmez vous!
Le vrai moi.
Et je citerai même l'expression "Conscience de Soi" qui bien qu'elle ait un sens, ce que l'on voit en l'entendant énoncée est vide. En ce qui me concerne en tout cas. C'est pourquoi j'ai préféré intitulé mon texte "Connaissance de soi". Toutefois, cela n'a pas la même signification.
J'en garde un peu pour une autre fois sinon. Ton 2ème message est renversant pour moi car il me fait penser à ce qui arrive à mon compagnon vis-à-vis de moi dans notre situation matérielle et psychologique actuelle. J'y reviendrai plus tard.
nana
PS:
*Definition (source , dictionnaire Larousse.fr)
dérivatifnom masculin
Ce qui permet de détourner l'esprit de ses préoccupations : Le travail servit de dérivatif à son chagrin.
Du verbe dériver.
UB : " fais tu reference aussi a ce "pouvoir " que la passion, qui devient obscession, chez les TED? à propos du passage que tu cites:
"Si je n'ai pas de quoi débloquer la configuration à ce stade, en revanche je sais que les jours s'écoulant, je vais progressivement dériver et me perdre totalement au final à faire des choses qui n'apportent rien, qui "divertissent" (dans le sens de dévier) mon esprit tout en me rendant de plus en plus captive.
C'est ainsi que se développe un schéma de dépendance à quelque chose ç-à-d que je deviens accroc, circonstanciellement, à quelque chose."
nana : Je ne saurais dire. Non, je ne pensais pas à cela.
La question de la passion des TED pour une chose, une activité, est motrice et auto suffisante, complète (dans le sens d'une poursuite active + immersion totale dans ce qu'on fait).
Autrement dit, le TED ne s'adonne pas à ce qui le passionne comme si c'était un *dérivatif. Je crois, mais à d'autres à le confirmer ou à l'infirmer, que c'est un mouvement qui est intrinsèquement vécu donc légitime. Je veux dire que c'est quelque chose de positif, me semble t-il.
Peut-être, arrive t-il que par découragement pour une réalité de vie la personne TED se réfugie dans ce qu'elle aime, sait faire , et qui réconforte mais je ne pense pas que ce soit le motif premier. (j'évite le chiffre impair pour ticha).
Ceci dit, il y a peut-être une ressemblance dans le schéma mais c'est intuitivement que je dis: cela doit s'nalyser à un autre niveau (la ressemblance). Bref, c'est proche mais pas en fonction de quels facteurs ou notions clefs?
En effet, c'est quand je suis impuissante, que je n'obtiens plus aucun plaisir à évoluer là ou je suis forcée d'évoluer, que mon organisme se détourne tout entier de la situation. Pour chercher du plaisir (qui me manque) ailleurs. Graduellement, le plaisir qui est censé être - comment dire- une conséquence indirecte (offspring, en anglais) d'une activité voulue devient le but en soi.
Dans ce cas de figure, tu noteras, UB, que je ne suis plus dans le sujet posé au début: atteindre un but et réaliser que c'est trop dur depuis le point de départ qui est le mien; pour cause de tensions contraires trop difficiles à dépasser.
Je suis plutôt dans la phase précédente: situation dont le lit est inconfortable au point que je me décide à changer quelque chose.
J'espère ne pas avoir fait de hors sujet et avoir répondu à ta question.
Toujours est il que de passer du Pouvoir des personnes TED qu'est leur Passion à l'Obession, qui en est le revers (?) est un lien intéressant.
A creuser...
&&&&&&&&&&&&
Dernier point:
Je te cite, UB : "La notion de vous même,justement est floue.Trop pour être ressortit tel qu'elle..."
Je suis totalement d'accord d'où la difficulté de s'exprimer juste. As tu remarqué à ce propos que chaque fois qu'on a recourt à un cliché ou à une généralité on annule la valeur de ce que pourrait avoir ce qu'on veut dire (notre pensée originale)?
En général ça se produit quand on dit:
Soyez vous-même!
Affirmez vous!
Le vrai moi.
Et je citerai même l'expression "Conscience de Soi" qui bien qu'elle ait un sens, ce que l'on voit en l'entendant énoncée est vide. En ce qui me concerne en tout cas. C'est pourquoi j'ai préféré intitulé mon texte "Connaissance de soi". Toutefois, cela n'a pas la même signification.
J'en garde un peu pour une autre fois sinon. Ton 2ème message est renversant pour moi car il me fait penser à ce qui arrive à mon compagnon vis-à-vis de moi dans notre situation matérielle et psychologique actuelle. J'y reviendrai plus tard.
nana
PS:
*Definition (source , dictionnaire Larousse.fr)
dérivatifnom masculin
Ce qui permet de détourner l'esprit de ses préoccupations : Le travail servit de dérivatif à son chagrin.
Du verbe dériver.
justement.... totues ces notions de "soyez vous meme", "etre soit" , "liberer son esprit" cest flou. Alors si cest possible davoir par ecrit la "la pensee originelle" ca maiderait beaucoup.
Jai donc teste aujourdhui "la liberation de lesprit".
Alors dans un sens, je me suis trouve moins stresse, plus sociable, meme si je racontais nimporte quoi et que la moitie de ce que je disais jy reflechissais meme pas. Mais en quelque sorte, ca ma liberer au niveau des autres.
Jai recu ce soir des sourires, des "comprehensions".
Apres jespere juste arriver a me sociabliser de maniere plus coherente en atteignat certains buts de facon naturelles.
Jai donc teste aujourdhui "la liberation de lesprit".
Alors dans un sens, je me suis trouve moins stresse, plus sociable, meme si je racontais nimporte quoi et que la moitie de ce que je disais jy reflechissais meme pas. Mais en quelque sorte, ca ma liberer au niveau des autres.
Jai recu ce soir des sourires, des "comprehensions".
Apres jespere juste arriver a me sociabliser de maniere plus coherente en atteignat certains buts de facon naturelles.
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- SAtedI tous les jours
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- Enregistré le : 31 mars 2010, 21:23
ah.............................
jai laisser faire, et jai "accepte" quon me juge.
aujourdhui jai pas reussi par contre.
Surtout que mes superieurs au travail mon bien detruit a midi.
Jai limpression de passer pour un naif a qui lon peut demander nimporte quoi.
Certaines personnes imbus delles meme ne savent pas a quel point elles peuvent etre meprisables...
jai laisser faire, et jai "accepte" quon me juge.
aujourdhui jai pas reussi par contre.
Surtout que mes superieurs au travail mon bien detruit a midi.
Jai limpression de passer pour un naif a qui lon peut demander nimporte quoi.
Certaines personnes imbus delles meme ne savent pas a quel point elles peuvent etre meprisables...
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- SAtedI tous les jours
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- Enregistré le : 31 mars 2010, 21:23
je pense qu'il faut néanmoins rester sur ta lignée meme si ce midi tes supérieurs ont été méprisants et méprisables, (comme je dis toujours un ane reste ane, on ne peut pas changer un ane en cheval de course toi t'as pas de chance tu bosses avec une floppée d'anes )
tu progresses quand meme je crois, car si tu ne tentais pas d'appliquer "la libération de l'esprit" peut etre aurais tu simplement été résigné face à leur comportement, peut etre celà t'aurait il renvoyer une fois de plus à une image négative de toi, sans que tu prennes la peine de les remettre eux en question, tu serais décourager sans faire le constat de leur imbécilité par rapport à toi.
d'ordinnaire dans tes posts tu te remets souvent en question, tu es souvent dans l'introspection mais tu incrimines rarement les autres, aujourd'hui tu constates leur comportement déplorable mais pour autant tu ne te remets pas toi en question en ce sens il me semble que tu progresses et que malgré tout tu fais un pas vers l'affirmation de toi et tu peux donc etre fier de celà il me semble
ne te décourage pas kikuta laisses les cons pour ce qu'ils sont joues toi de leur ignorance et de leur betise pour en faire ta force, en leur montrant que leur comportement stupide ne t'atteint pas, que tu t'es fixé un but et que ça n'est pas leur betise qui suffira à te déstabiliser.
courage courage !!
tu progresses quand meme je crois, car si tu ne tentais pas d'appliquer "la libération de l'esprit" peut etre aurais tu simplement été résigné face à leur comportement, peut etre celà t'aurait il renvoyer une fois de plus à une image négative de toi, sans que tu prennes la peine de les remettre eux en question, tu serais décourager sans faire le constat de leur imbécilité par rapport à toi.
d'ordinnaire dans tes posts tu te remets souvent en question, tu es souvent dans l'introspection mais tu incrimines rarement les autres, aujourd'hui tu constates leur comportement déplorable mais pour autant tu ne te remets pas toi en question en ce sens il me semble que tu progresses et que malgré tout tu fais un pas vers l'affirmation de toi et tu peux donc etre fier de celà il me semble
ne te décourage pas kikuta laisses les cons pour ce qu'ils sont joues toi de leur ignorance et de leur betise pour en faire ta force, en leur montrant que leur comportement stupide ne t'atteint pas, que tu t'es fixé un but et que ça n'est pas leur betise qui suffira à te déstabiliser.
courage courage !!