[aide] Le handicap n'a pas disparu
Posté : 02 mai 2010, 07:32
Bon....(respire très fort,pense à ce à quoi il va écrire)
Ce handicap c'est quoi? Je le dit tout de suite,il s'agit pas à proprement parler d'autisme ,de SA,de TED.A vraie dire c'est pas ce qui me motive à écrire.
Ce qui me motive à écrire:Variation d'humeur,hyper sensibilité nerveuse,vertiges,plus ou moins grosses fatigues quand y'a eut accumulation d'echecs divers,quand je suis pas allé plus loin que je voulais(j'ai du déjà le dire sur le topic dépression).Ca se manifeste toujours,j'ai beau user de psychologie,relaxation,sport,c'est plus fort que moi ca revient.Les conséquences dont je parle,c'est pas forcement tout ensemble,ca dépend des jours,ca dépend de la qualité de mon sommeil et de quoi j'ai rêver.
Les examens approchent.Quand j'étais au BAC,malgré les troubles j'avais quand même réussi à être serrein,avant les épreuves à bien réviser.Et ce qui change par rapport à ma prépa,c'est qu'au BAC,j'avais plus de temps pour travailler sur moi mettre en pratique.
En prépa,surtout à cette deuxième année,j'ai surtout consacré mon temps au travail.Et ces difficultés dont je parle ca a gâché un peu le tableau.Je cherche un moyen de les atténuer.Et je ne plaisante pas,ce que je vous dit est vraie.A de nombreux contrôle ou j'aurais pu avoir de très très bonnes notes,si bien sûr y'avait pas ces trouble,mon esprit ferait correctement son boulot.Hélas,il faut faire avec.
Même à prendre sur moi,à me forcer comme on dit à positiver,je suis vraiment désolé mais même les troubles sont encore là.
Le plus frustrant c'est que je constate que y'a presque rien qui est fait pour aider,à part l'écoute.l'écoute ne suffit plus malheuresement.On me dit de pratiquer,il me semble que jusqu'a présent j'ai fait tout les exercices possibles,même quand j'avais pas l'état d'esprit,ce qui fesais que je fesais mal.
Je travaille aussi sur des annales.Mais bon pareil,toujours pareil.
Et ce qui est navrant c'est que les rares personnes qui me conseillent ne me voit pas au quotidien.Ils me conseillent alors qu'ils ne m'observent jamais.
Mes parents,me connaissent bien,mais bon faut le dire avant c'était pas le même niveau intelectuelle,pas le même emploi du temps.Avant suffisait que le mercredi je fasse les devoirs de jeudi et vendredi,le week end ceux de lundi et mardi.Et sinon après c'était galère mais ca a marché.
Bon j'ai eut ma première année pour m'habituer au rythme.Y'a eut mon stage qui m'a donné plus de motivation.Mais les dificultés sont toujours là.
Alors il semble avéré,que je suis mis devant un dillème:je continue à plus ou moins ignorer mes troubles,je me dit que j'y arrive mais quand je pratique bah c'est quand même la galère.
Ou alors je les acceptent et je met en place quelque chose d'adapté.Que je n'ai plus le temps de réfléchir,que je fasse preuve de beaucoup de tolérance.Que j'accepte que même si je veux aller encore plus loin,ce n'est pas possible à faire en pratique,pour les raisons que j'ai déjà évoquer.
Pas de médicaments pour m'aider,pas de prise en charge spécifique.Je peux que compter sur moi même.
Enfin une bonne chose quand même:quelque ce soit l'épreuve,je tire davantage mon épingle du jeux,sur des questions purement théoriques,c'est moins évident quand c'est des calculs à faire.
Et j'en ai bouffer des applications pourtant.....
Ce handicap c'est quoi? Je le dit tout de suite,il s'agit pas à proprement parler d'autisme ,de SA,de TED.A vraie dire c'est pas ce qui me motive à écrire.
Ce qui me motive à écrire:Variation d'humeur,hyper sensibilité nerveuse,vertiges,plus ou moins grosses fatigues quand y'a eut accumulation d'echecs divers,quand je suis pas allé plus loin que je voulais(j'ai du déjà le dire sur le topic dépression).Ca se manifeste toujours,j'ai beau user de psychologie,relaxation,sport,c'est plus fort que moi ca revient.Les conséquences dont je parle,c'est pas forcement tout ensemble,ca dépend des jours,ca dépend de la qualité de mon sommeil et de quoi j'ai rêver.
Les examens approchent.Quand j'étais au BAC,malgré les troubles j'avais quand même réussi à être serrein,avant les épreuves à bien réviser.Et ce qui change par rapport à ma prépa,c'est qu'au BAC,j'avais plus de temps pour travailler sur moi mettre en pratique.
En prépa,surtout à cette deuxième année,j'ai surtout consacré mon temps au travail.Et ces difficultés dont je parle ca a gâché un peu le tableau.Je cherche un moyen de les atténuer.Et je ne plaisante pas,ce que je vous dit est vraie.A de nombreux contrôle ou j'aurais pu avoir de très très bonnes notes,si bien sûr y'avait pas ces trouble,mon esprit ferait correctement son boulot.Hélas,il faut faire avec.
Même à prendre sur moi,à me forcer comme on dit à positiver,je suis vraiment désolé mais même les troubles sont encore là.
Le plus frustrant c'est que je constate que y'a presque rien qui est fait pour aider,à part l'écoute.l'écoute ne suffit plus malheuresement.On me dit de pratiquer,il me semble que jusqu'a présent j'ai fait tout les exercices possibles,même quand j'avais pas l'état d'esprit,ce qui fesais que je fesais mal.
Je travaille aussi sur des annales.Mais bon pareil,toujours pareil.
Et ce qui est navrant c'est que les rares personnes qui me conseillent ne me voit pas au quotidien.Ils me conseillent alors qu'ils ne m'observent jamais.
Mes parents,me connaissent bien,mais bon faut le dire avant c'était pas le même niveau intelectuelle,pas le même emploi du temps.Avant suffisait que le mercredi je fasse les devoirs de jeudi et vendredi,le week end ceux de lundi et mardi.Et sinon après c'était galère mais ca a marché.
Bon j'ai eut ma première année pour m'habituer au rythme.Y'a eut mon stage qui m'a donné plus de motivation.Mais les dificultés sont toujours là.
Alors il semble avéré,que je suis mis devant un dillème:je continue à plus ou moins ignorer mes troubles,je me dit que j'y arrive mais quand je pratique bah c'est quand même la galère.
Ou alors je les acceptent et je met en place quelque chose d'adapté.Que je n'ai plus le temps de réfléchir,que je fasse preuve de beaucoup de tolérance.Que j'accepte que même si je veux aller encore plus loin,ce n'est pas possible à faire en pratique,pour les raisons que j'ai déjà évoquer.
Pas de médicaments pour m'aider,pas de prise en charge spécifique.Je peux que compter sur moi même.
Enfin une bonne chose quand même:quelque ce soit l'épreuve,je tire davantage mon épingle du jeux,sur des questions purement théoriques,c'est moins évident quand c'est des calculs à faire.
Et j'en ai bouffer des applications pourtant.....