Bonjour.
Cela fait quelque temps maintenant que je me documente sur le sujet du syndrome d'asperger et que je traine, en pointillé, sur ce forum.
Cela fait plusieurs années maintenant que je me documente, plus ou moins assidument, sur le syndrome d'asperger et l'autisme de haut niveau. Plusieurs années que cette idée toute simple fait écho en moi : «Et si c'était ça ?», l'explication de toutes ces particularités qui me définissent (dans ces bons et ces mauvais aspects).
Il y as peu, une communauté dont je fait partis as connus un tragique évènement : Un suicide.
Pas d'explication laissé, le diagnostique d'un «Haut Potentiel Intellectuel», un profil atypique, génie de la technique à la communication délicate.
Un aspie qui mal dans ce monde as décidé de s'en extraire ? La réponse restera définitivement sans réponse.
Je me suis dit à ce moment qu'il était important pour moi de savoir. De ne pas rester dans le doute, les interrogations, l'incertitude. Et donc d'entreprendre la longue étape du diagnostique.
---
Aujourd'hui mon esprit bouillonne sous les questions, les détails, les peurs, …
La journée mondiale de l'autisme approche, et on trouve ici ou la certains document, plusieurs points me marquant dans mes lectures actuelles :
— Les nombreuses alertes sur le retard de la France dans le domaine de l'autisme.
—— Notamment l’incompétence supposée de certains CRA (comment savoir quels sont les mauvais élèves ?)
— La réaction des gens face à ce sujet. Ignorante ou Excessive, intolérante.
— L'abstraction du cas des adultes.
Si je me pose aujourd'hui la question de mon supposée coté Aspie, je suis aujourd'hui autonome, j'ai un travail dans le quel j'ai une expertise reconnu (même si j'y passe pour parfois pour un passionné allumé) et une vie de couple.
Dans le cas ou je serais effectivement Autiste de haut niveau, cela ferais il de moi une exception parmi les exceptions ?
Diagnostique ?
- manu
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- Enregistré le : 28 janv. 2010, 22:14
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Re: Diagnostique ?
Bonjour,
Je crois que chaque autiste est une exception parmi les exceptions.
Il existe plusieurs grilles de lectures des troubles, et l'une approche n'exclue pas l'autre :
Le truc des haut potentiel c'est nouveau et intéressant.
_ Le HPE, haut potentiel émotionnel, est hyper émotif et surtout l'exprime beaucoup, c'est pas très autiste ... encore que ... j'en connais dans une famille avec plusieurs diagnostiquées asperger ... il y a une parenté il me semble. Et puis l'hyper expression (ce qui est émis) sans hyper communication (ce qui est échangé) entre peut être dans le diagnostique HPE ce qui le rendrais compatible avec l'autisme... selon moi en tout cas.
_ Le HPI, haut potentiel intellectuel, canalise tout en raisonnement. A mon avis on est en plein dans l'expression que quelque chose qui peut être très proche de l'autisme voir en découler.
De mon point de vue un HPE est proche d'un autiste de haut niveau, hyper sensitif, et un HPI d'un asperger, hyper intellectualisant (pour canaliser une hypersensibilité faire une intégration logique, c'est proche tout ça).
La communication délicate de ce génie de la technique en fait pour moi un individu apparenté au spectre autistique qui n'est jamais qu'un ensemble de signe clinique pour identifier un trouble de la communication.
Après, les origines de ce trouble peuvent être dans le vécu, selon des dire anciens comme de Françoise Dolto, on aborde les sujets de l'hospitalisme, de la dépression anaclitique, de abandonnisme, de " l'angoisse de perte d'objet" ... autant de notion de refuse des assos d'autistes et certains CRA avec la dernière des énergie, car selon eux jamais au grand jamais le résulta d'un trauma ne peux être l'autisme, qui est le résulta exclusif de la génétique... Les scientifique eux dans leurs immense majorité disent toujours : multifactoriels.
Moi qui suis par exemple un traumatisé crânien de la prime enfance, donc en aucun cas un autiste selon cette discrimination, je voudrais enfin en raison du pseudo "slowbrain", cerveau lent en français, un truc hyper-typique des trauma crâniens, même légers, je voudrais donc parler de l'éventualité d'un trauma précoce, qu'il soit physique ou psychologique.
Perso j'ai manqué (de peu) d'être tué pour m'être exprimé (en pleurant) d'où mon point de vue très axé sur le possibilité d'exprimer, qui je crois est hyper transversale et relie le diagnostique de votre amis et votre potentiel syndrome d'asperger (Diag périmé au passage depuis les dernier classement, aujourd'hui c'est autiste pour pas avec une note dans l'expression/communication et une dans le restrictions des intérêts)
Il n'y a pas de bon et de mauvais CRA a mon humble avis, mais une diversité dans la définition de l'autisme qui se ressent a tous les étages, qui fait du sujet de l'autisme un champs de bataille dans lequel vous vous retrouvez forcement pris a partis dès que vous demandez un "jugement d'autisme".
Bon courage donc, mais n'oubliez pas que ce ne sont des des avis sur ce qui émane de vous. J'ai lu sur des forum des personne qui jubilait d'avoir enfin obtenu le "diag" en passant par un type qui le donnait a tout va, et dont on obtenait l'adresse par un autre forum (en payant!!!) et qui le brandissait comme preuve que tous les autres, fait par une myriade d'autres spécialiste, était de se fait rendu caduc.
Tout ça pour dire que rien n’aura jamais plus de valeur que votre ressentis sur vous, et le comparer à l'expression d'autres autistes sur eux même me semble toujours être un socle infiniment plus fiable que les inclusions ou exclusions établie selon le jugement d'autre en fonction d'ensemble dont les contours restent indéfinissable précisément.
Bon courage en tout cas, et tout ceci étant posé je crois que c'est néanmoins une bonne idée d'aller vers un CRA, car ça reste l'endroit où l'on utilise au plus près les critères de définition qui font référence, donc leurs diagnostique reste une indication relativement fiable malgré la possible diversité dans le positionnement intellectuels des uns et des autres dans les débats sur l'autisme. (même si à l'age adulte c'est infiniment plus complexe a déceler)
Je crois que chaque autiste est une exception parmi les exceptions.
Il existe plusieurs grilles de lectures des troubles, et l'une approche n'exclue pas l'autre :
Le truc des haut potentiel c'est nouveau et intéressant.
_ Le HPE, haut potentiel émotionnel, est hyper émotif et surtout l'exprime beaucoup, c'est pas très autiste ... encore que ... j'en connais dans une famille avec plusieurs diagnostiquées asperger ... il y a une parenté il me semble. Et puis l'hyper expression (ce qui est émis) sans hyper communication (ce qui est échangé) entre peut être dans le diagnostique HPE ce qui le rendrais compatible avec l'autisme... selon moi en tout cas.
_ Le HPI, haut potentiel intellectuel, canalise tout en raisonnement. A mon avis on est en plein dans l'expression que quelque chose qui peut être très proche de l'autisme voir en découler.
De mon point de vue un HPE est proche d'un autiste de haut niveau, hyper sensitif, et un HPI d'un asperger, hyper intellectualisant (pour canaliser une hypersensibilité faire une intégration logique, c'est proche tout ça).
La communication délicate de ce génie de la technique en fait pour moi un individu apparenté au spectre autistique qui n'est jamais qu'un ensemble de signe clinique pour identifier un trouble de la communication.
Après, les origines de ce trouble peuvent être dans le vécu, selon des dire anciens comme de Françoise Dolto, on aborde les sujets de l'hospitalisme, de la dépression anaclitique, de abandonnisme, de " l'angoisse de perte d'objet" ... autant de notion de refuse des assos d'autistes et certains CRA avec la dernière des énergie, car selon eux jamais au grand jamais le résulta d'un trauma ne peux être l'autisme, qui est le résulta exclusif de la génétique... Les scientifique eux dans leurs immense majorité disent toujours : multifactoriels.
Moi qui suis par exemple un traumatisé crânien de la prime enfance, donc en aucun cas un autiste selon cette discrimination, je voudrais enfin en raison du pseudo "slowbrain", cerveau lent en français, un truc hyper-typique des trauma crâniens, même légers, je voudrais donc parler de l'éventualité d'un trauma précoce, qu'il soit physique ou psychologique.
Perso j'ai manqué (de peu) d'être tué pour m'être exprimé (en pleurant) d'où mon point de vue très axé sur le possibilité d'exprimer, qui je crois est hyper transversale et relie le diagnostique de votre amis et votre potentiel syndrome d'asperger (Diag périmé au passage depuis les dernier classement, aujourd'hui c'est autiste pour pas avec une note dans l'expression/communication et une dans le restrictions des intérêts)
Il n'y a pas de bon et de mauvais CRA a mon humble avis, mais une diversité dans la définition de l'autisme qui se ressent a tous les étages, qui fait du sujet de l'autisme un champs de bataille dans lequel vous vous retrouvez forcement pris a partis dès que vous demandez un "jugement d'autisme".
Bon courage donc, mais n'oubliez pas que ce ne sont des des avis sur ce qui émane de vous. J'ai lu sur des forum des personne qui jubilait d'avoir enfin obtenu le "diag" en passant par un type qui le donnait a tout va, et dont on obtenait l'adresse par un autre forum (en payant!!!) et qui le brandissait comme preuve que tous les autres, fait par une myriade d'autres spécialiste, était de se fait rendu caduc.
Tout ça pour dire que rien n’aura jamais plus de valeur que votre ressentis sur vous, et le comparer à l'expression d'autres autistes sur eux même me semble toujours être un socle infiniment plus fiable que les inclusions ou exclusions établie selon le jugement d'autre en fonction d'ensemble dont les contours restent indéfinissable précisément.
Bon courage en tout cas, et tout ceci étant posé je crois que c'est néanmoins une bonne idée d'aller vers un CRA, car ça reste l'endroit où l'on utilise au plus près les critères de définition qui font référence, donc leurs diagnostique reste une indication relativement fiable malgré la possible diversité dans le positionnement intellectuels des uns et des autres dans les débats sur l'autisme. (même si à l'age adulte c'est infiniment plus complexe a déceler)
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- SAtedI passionnément
- Messages : 54
- Enregistré le : 11 janv. 2010, 00:16
- Localisation : Reims / France
Re: Diagnostique ?
Bonjour.
J'ai lu les explications que tu avais donné sur ton cas sur un autre sujet sur ce forum.
La personne dont je parle avais été diagnostiqué HPI, donc, suivant ton résonnement, proche d'un comportement Asperger.
J'ai déjà longuement étudié les événements significatifs de ma jeunesse qui aurrais pu troubler mon développement.
Mais je ne cherche pas aujourd'hui à trouver une responsabilité dans mon «êtat», je suis comme je suis.
Savoir que je ne suis pas seulement juste un original, trouver une explication pour mieux vivre avec moi même as un sens. Incriminer un responsable en as bien moins.
«SlowBrain» viens d'une certaine lenteur apparente (et dans les jeux vidéos en ligne). Mais ce n'est que la surface des choses, mon esprit bouillonne souvent, et quand il s'y met, sort 4 idée à la minutes, bien trop pour avoir le temps de les noter, voir même de les exprimer.
Aujourd'hui c'est avant tout pour moi même, pour savoir, que j'entreprend cette démarche.
Avoir un profesionnel qui accepte d'étudier cette posibilité sur moi, et qui tout à la fois ne la balaie pas d'un revert de main, et ne confirme pas haut et fort, jusque parque je lui ai soumis l'idée.
Je reste critique envers un professionnel qui me diagnostiquerais
Merci à toi de ta réponse.
J'ai lu les explications que tu avais donné sur ton cas sur un autre sujet sur ce forum.
La personne dont je parle avais été diagnostiqué HPI, donc, suivant ton résonnement, proche d'un comportement Asperger.
J'ai déjà longuement étudié les événements significatifs de ma jeunesse qui aurrais pu troubler mon développement.
Mais je ne cherche pas aujourd'hui à trouver une responsabilité dans mon «êtat», je suis comme je suis.
Savoir que je ne suis pas seulement juste un original, trouver une explication pour mieux vivre avec moi même as un sens. Incriminer un responsable en as bien moins.
«SlowBrain» viens d'une certaine lenteur apparente (et dans les jeux vidéos en ligne). Mais ce n'est que la surface des choses, mon esprit bouillonne souvent, et quand il s'y met, sort 4 idée à la minutes, bien trop pour avoir le temps de les noter, voir même de les exprimer.
Aujourd'hui c'est avant tout pour moi même, pour savoir, que j'entreprend cette démarche.
Avoir un profesionnel qui accepte d'étudier cette posibilité sur moi, et qui tout à la fois ne la balaie pas d'un revert de main, et ne confirme pas haut et fort, jusque parque je lui ai soumis l'idée.
Je reste critique envers un professionnel qui me diagnostiquerais
Merci à toi de ta réponse.
SlowBrain
Plus lent t'est a l'arrêt.
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