Diagnostique ?
Posté : 28 mars 2016, 17:30
Bonjour.
Cela fait quelque temps maintenant que je me documente sur le sujet du syndrome d'asperger et que je traine, en pointillé, sur ce forum.
Cela fait plusieurs années maintenant que je me documente, plus ou moins assidument, sur le syndrome d'asperger et l'autisme de haut niveau. Plusieurs années que cette idée toute simple fait écho en moi : «Et si c'était ça ?», l'explication de toutes ces particularités qui me définissent (dans ces bons et ces mauvais aspects).
Il y as peu, une communauté dont je fait partis as connus un tragique évènement : Un suicide.
Pas d'explication laissé, le diagnostique d'un «Haut Potentiel Intellectuel», un profil atypique, génie de la technique à la communication délicate.
Un aspie qui mal dans ce monde as décidé de s'en extraire ? La réponse restera définitivement sans réponse.
Je me suis dit à ce moment qu'il était important pour moi de savoir. De ne pas rester dans le doute, les interrogations, l'incertitude. Et donc d'entreprendre la longue étape du diagnostique.
---
Aujourd'hui mon esprit bouillonne sous les questions, les détails, les peurs, …
La journée mondiale de l'autisme approche, et on trouve ici ou la certains document, plusieurs points me marquant dans mes lectures actuelles :
— Les nombreuses alertes sur le retard de la France dans le domaine de l'autisme.
—— Notamment l’incompétence supposée de certains CRA (comment savoir quels sont les mauvais élèves ?)
— La réaction des gens face à ce sujet. Ignorante ou Excessive, intolérante.
— L'abstraction du cas des adultes.
Si je me pose aujourd'hui la question de mon supposée coté Aspie, je suis aujourd'hui autonome, j'ai un travail dans le quel j'ai une expertise reconnu (même si j'y passe pour parfois pour un passionné allumé) et une vie de couple.
Dans le cas ou je serais effectivement Autiste de haut niveau, cela ferais il de moi une exception parmi les exceptions ?
Cela fait quelque temps maintenant que je me documente sur le sujet du syndrome d'asperger et que je traine, en pointillé, sur ce forum.
Cela fait plusieurs années maintenant que je me documente, plus ou moins assidument, sur le syndrome d'asperger et l'autisme de haut niveau. Plusieurs années que cette idée toute simple fait écho en moi : «Et si c'était ça ?», l'explication de toutes ces particularités qui me définissent (dans ces bons et ces mauvais aspects).
Il y as peu, une communauté dont je fait partis as connus un tragique évènement : Un suicide.
Pas d'explication laissé, le diagnostique d'un «Haut Potentiel Intellectuel», un profil atypique, génie de la technique à la communication délicate.
Un aspie qui mal dans ce monde as décidé de s'en extraire ? La réponse restera définitivement sans réponse.
Je me suis dit à ce moment qu'il était important pour moi de savoir. De ne pas rester dans le doute, les interrogations, l'incertitude. Et donc d'entreprendre la longue étape du diagnostique.
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Aujourd'hui mon esprit bouillonne sous les questions, les détails, les peurs, …
La journée mondiale de l'autisme approche, et on trouve ici ou la certains document, plusieurs points me marquant dans mes lectures actuelles :
— Les nombreuses alertes sur le retard de la France dans le domaine de l'autisme.
—— Notamment l’incompétence supposée de certains CRA (comment savoir quels sont les mauvais élèves ?)
— La réaction des gens face à ce sujet. Ignorante ou Excessive, intolérante.
— L'abstraction du cas des adultes.
Si je me pose aujourd'hui la question de mon supposée coté Aspie, je suis aujourd'hui autonome, j'ai un travail dans le quel j'ai une expertise reconnu (même si j'y passe pour parfois pour un passionné allumé) et une vie de couple.
Dans le cas ou je serais effectivement Autiste de haut niveau, cela ferais il de moi une exception parmi les exceptions ?