Êtrisme
Posté : 11 déc. 2017, 12:31
Bonjour à tous, j'ai trouvé, pour moi ça sera l'Êtrisme !
L'Êtrisme c'est la force de l'être intérieur.
C'est l'Art d'être au monde à partir de soi.
C'est tout sauf un concept nouveau, c'est le truc le plus évident du monde, celui sur lequel le plus de choses ont déjà été écrites, celui que vise la transe et la méditation, le mysticisme et la spiritualité en sont les enfants.
L'Êtrisme c'est aussi la force des Autistes.
Voilà pourquoi j'en parle ici. Mais c'est pas l'autisme, l'autisme est un mot qui désigne un ensemble de difficultés, de troubles.
Alors que l'Êtrisme c'est la capacité humaine, profondément humaine, que l'on retrouve si souvent et si fortement développé chez des autistes pour peu qu'il en aient eut la possibilité.
C'est le sens de soi dont le monde entier semble en manque et que nous vendent des millions de papiers plus ou moins approximatifs sur le développement personnel.
[ Petite parenthèse à ce niveau, vous connaissez Amma?
Amma resta prostré face a l'ampleur des ce qu'elle percevais, c'était trop pour elle, et au lieu d'être médicalisé comme je suppose qu'elle aurait pu l'être en europe, et j'imagine même diagnostiqué autiste, un vieux sage déclara qu'elle était dans un état de transe avancé que seul connaissent les plus haut mystique de sa culture. C'est une transcription approximative et de mémoire d'un passage a la télévision française (nul part ailleurs, il y a bien longtemps, si vous retrouvez la vidéo il y aura sûrement a rectifier dans ce propos).
Cet exemple vise surtout à exprimer mon ressentis :
L'autisme à souvent comme effet, secondaire ou direct je ne sais pas, un développement de la capacité à être soi même.
Mais attention, l'inverse est tout aussi possible, le coté trouble s'il n'est que combattu me semble aussi pouvoir aboutir à la destruction de cette capacité au "profit" d'une hyper urgence perpétuelle d'adaptation destructrice ... jusqu'à l'auto-mutilation qui, il me semble, exprime à la face du monde ce combat contre soi-même qui a, bien souvent je le crains, été imposé ! ]
Donc voilà un mot, qui en vaut un autre, et qui exprime une chose tellement évidente que toute explication semble créer de la complexité là où il n'y en avait pas.
Alors je préciserais surtout l'objectif d'en faire un mot :
Êtrisme, pointe directement une force, sans aucun encombrement de trouble, une force humaine et partageable, et c'est là que je veux en venir.
L'Êtrisme peut servir à ré-harmoniser les autistes dont la singularité a été combattu pour tenter de les adapter au monde.
L'Êtrisme peut servir à employer des autistes à diffuser leur capacité d'auto-écoute envers un publique demandeur de "développement personnel".
L'Êtrisme vaut aussi bien entre autiste et entre non autiste.
L'Êtrisme c'est juste une force, un des rares mots en -isme qui ne soit pas sectaire, qui parle de l'ouverture au monde et aux autre oui, mais à partir de soi même, donc le contraire de l'individualisme qui est un enfermement sur soi qui n'implique pas se percevoir soi-même.
Voilà, c'est tout, j'espère que l'idée vous plaira comme elle me plais à moi.
N'hésitez pas à critiquer, où a dire là où c'est déjà mis en pratique, car si c'est bien comme je le pense une évidence, il est certains que le sujet a déjà été exploré de milles façons avant que je ne le saisisse.
Au plaisir de vous lire en retour.
PS :
Ca fait longtemps que je déplore de ne pouvoir parler que du handicap avec le mot autisme alors que moi ce qui m'intéresse c'est la capacité singulière associé mais qui n'est pas propre à l'autisme et qui n'est jamais aussi mal nommé que par le mot autisme issue de la désignation de trouble. La partie trouble a été bafoué par quelques hurluberlu qui on essayé de se faire croire, dans la suite d'une culture populaire déformante, qu'il suffisait d'endosser le costume d'Aspi pour avoir l'aire génial ... triste et vaste c******* ... la vérité, enfin telle qu'elle apparaît a mes yeux, chacun jugera, c'est que c'est cette extraordinaire force d'être par soi même qui est en eux, par chaque individu, autiste ou pas. Et la singularité étant plus développé chez les autistes qui vivent aussi les difficultés et les troubles fait aussi un effet loupe sur cette force à être soi même quant ils ont su la trouver.
Mais ne nous y trompons pas, cette force là, elle n'est pas autistique, elle est humaine. Partageons là, et par là apprenons à aimer chacune des singularités individuelles.
L'Êtrisme c'est la force de l'être intérieur.
C'est l'Art d'être au monde à partir de soi.
C'est tout sauf un concept nouveau, c'est le truc le plus évident du monde, celui sur lequel le plus de choses ont déjà été écrites, celui que vise la transe et la méditation, le mysticisme et la spiritualité en sont les enfants.
L'Êtrisme c'est aussi la force des Autistes.
Voilà pourquoi j'en parle ici. Mais c'est pas l'autisme, l'autisme est un mot qui désigne un ensemble de difficultés, de troubles.
Alors que l'Êtrisme c'est la capacité humaine, profondément humaine, que l'on retrouve si souvent et si fortement développé chez des autistes pour peu qu'il en aient eut la possibilité.
C'est le sens de soi dont le monde entier semble en manque et que nous vendent des millions de papiers plus ou moins approximatifs sur le développement personnel.
[ Petite parenthèse à ce niveau, vous connaissez Amma?
Amma resta prostré face a l'ampleur des ce qu'elle percevais, c'était trop pour elle, et au lieu d'être médicalisé comme je suppose qu'elle aurait pu l'être en europe, et j'imagine même diagnostiqué autiste, un vieux sage déclara qu'elle était dans un état de transe avancé que seul connaissent les plus haut mystique de sa culture. C'est une transcription approximative et de mémoire d'un passage a la télévision française (nul part ailleurs, il y a bien longtemps, si vous retrouvez la vidéo il y aura sûrement a rectifier dans ce propos).
Cet exemple vise surtout à exprimer mon ressentis :
L'autisme à souvent comme effet, secondaire ou direct je ne sais pas, un développement de la capacité à être soi même.
Mais attention, l'inverse est tout aussi possible, le coté trouble s'il n'est que combattu me semble aussi pouvoir aboutir à la destruction de cette capacité au "profit" d'une hyper urgence perpétuelle d'adaptation destructrice ... jusqu'à l'auto-mutilation qui, il me semble, exprime à la face du monde ce combat contre soi-même qui a, bien souvent je le crains, été imposé ! ]
Donc voilà un mot, qui en vaut un autre, et qui exprime une chose tellement évidente que toute explication semble créer de la complexité là où il n'y en avait pas.
Alors je préciserais surtout l'objectif d'en faire un mot :
Êtrisme, pointe directement une force, sans aucun encombrement de trouble, une force humaine et partageable, et c'est là que je veux en venir.
L'Êtrisme peut servir à ré-harmoniser les autistes dont la singularité a été combattu pour tenter de les adapter au monde.
L'Êtrisme peut servir à employer des autistes à diffuser leur capacité d'auto-écoute envers un publique demandeur de "développement personnel".
L'Êtrisme vaut aussi bien entre autiste et entre non autiste.
L'Êtrisme c'est juste une force, un des rares mots en -isme qui ne soit pas sectaire, qui parle de l'ouverture au monde et aux autre oui, mais à partir de soi même, donc le contraire de l'individualisme qui est un enfermement sur soi qui n'implique pas se percevoir soi-même.
Voilà, c'est tout, j'espère que l'idée vous plaira comme elle me plais à moi.
N'hésitez pas à critiquer, où a dire là où c'est déjà mis en pratique, car si c'est bien comme je le pense une évidence, il est certains que le sujet a déjà été exploré de milles façons avant que je ne le saisisse.
Au plaisir de vous lire en retour.
PS :
Ca fait longtemps que je déplore de ne pouvoir parler que du handicap avec le mot autisme alors que moi ce qui m'intéresse c'est la capacité singulière associé mais qui n'est pas propre à l'autisme et qui n'est jamais aussi mal nommé que par le mot autisme issue de la désignation de trouble. La partie trouble a été bafoué par quelques hurluberlu qui on essayé de se faire croire, dans la suite d'une culture populaire déformante, qu'il suffisait d'endosser le costume d'Aspi pour avoir l'aire génial ... triste et vaste c******* ... la vérité, enfin telle qu'elle apparaît a mes yeux, chacun jugera, c'est que c'est cette extraordinaire force d'être par soi même qui est en eux, par chaque individu, autiste ou pas. Et la singularité étant plus développé chez les autistes qui vivent aussi les difficultés et les troubles fait aussi un effet loupe sur cette force à être soi même quant ils ont su la trouver.
Mais ne nous y trompons pas, cette force là, elle n'est pas autistique, elle est humaine. Partageons là, et par là apprenons à aimer chacune des singularités individuelles.