Au bout du compte, ce qui importe vraiment, c'est savoir qui on est vraiment au delà de l'ego est des mots. On pourrait parler d'introspection, d'acceptation, de vivre le moment présent, de pousser notre réflexion, de prendre du recul pour pas déborder et remplis nos batteries, de ne pas tenir compte des avis mais des faits... Quand on se connait soi même, on connait nos besoins réels, qui ne sont pas à confondre avec des désirs égoïstes ou aveugle, on sait ce pour quoi on est fait, ce qu'on peut apporter de bon à qui et quand. Mais, bon, c'est un "travail" constant car on apprend à se connaître au jour le jour, vu qu'on change un peu chaque jour, et aussi selon notre disposition due à: la fatigue, le bien être du moment, la maitrise q'uon à de soi à chaque moment, ce qu'on voit et vie, etc...Crépuscule a écrit :J'ai grandi dans le silence et l'absence totale de dialogue de tout ce qui importe dans la vie : la mort des gens, s'y préparer, en parler, les questions existentielles, la vie affective, l'amour, les sentiments, les problèmes sociaux, la solitude, l’exclusion, la vie en société, le sens de ce qu'on fait et du monde du travail, s'y préparer, etc
Sans jamais de démonstration d'affection ou de tendresse : on étaient sans doute au dessus de ça ^^
J'ai été très tôt fatigué du cynisme et des provocations faciles, des faux-semblants. Comme si ça suffisait pour se penser rebelles et se croire supérieurs.
Je me rends compte que c'est tout ce que je recherche encore actuellement, je cherche, je cherche, je creuse
J'aimerais idéalement que cela se fasse, sans rien forcer, que la magie de la vie opère comme on m'a dit
Mais comment ? C'est ce que je désire, que personne ne se sente forcé
J'aimerais tant que tout soit spontané et vivre de belles choses, un minimum vital, que j'ai parfois, parfois pas
Sans s'approprier qui que ce soit, qu'il se sente libre, et moi aussi
J'ai souvent attendu que cette magie opère, mais il n'y avait rien et que de la souffrance.
Profiter de la solitude que j'aime et dont j'ai besoin, ne pas la subir quand le besoin de lien avec des humains se fait sentir
Cela m'intéresse : qui ici, quel que soit son "handicap" peut se passer totalement de liens avec des humains sous quelque forme que ce soit, sans en souffrir ? Sans s'en sentir exclus ?
Qui trouve son compte et comment ?
Qui, pas du tout ?
Je vie comme un marginal, avec peu de contacts sociaux, par choix, et en dépit de pouvoir vivre mieux. Les querelles d'egos des gens, la bien pensance, la norme, tout ça, et ce n'est qu'un exemple, fait que je n'ai en rien besoin de m'approcher de la société et des autres. Cela ne fait que pomper mon énergie pour rien en retour, si ce n'est parfois jugement et mépris. Je ne peut me sentir exclus de ce qui ne m'est pas positif, mais la solitude est là, même accompagné parfois, mais moins maintenant, vu que je sélectionne mes contacts. Je trouverais mon compte dans d'autres circonstances, mais ce n'est pas possible pour le moment, due à ces mauvais côtés que trop présent et trop important pour en tirer du positif. Ce monde est mourant, oui, mais on peut y apporter de la vie de par ce qu'on apprend, nos choix et actes, le dialogue, l'écoute volontaire. Mais faudra être prêt à endurer et choisir un moment ou le faire, quand on en à l'énergie, savoir arrêter quand on déborde.