
"L'autisme au-delà des apparences"
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Bye !
Johanne
L’autisme est difficile à saisir. On a tous en tête beaucoup de clichés: depuis Rain Man surdoué jusqu’à l’enfant «fermé» qui se tape la tête contre les murs… Où se situe la réalité? Comment vous, qui êtes autiste, définissez-vous l’autisme?
Qu’entendez-vous par cerveau «non social»?
Le cerveau autiste est aussi plus visuel, dit-on. Qu’est-ce que cela signifie?
«Manuellement»?
Mais vous arrivez à contrôler tout cela, à fonctionner en apparence «normalement»…
Avant d’agir auprès des autistes, vous étiez travailleuse sociale. Cela paraît en opposition avec l’image qu’on se fait des autistes. Qu’est-ce qui vous a attirée dans ce métier?
En parlant de don pour la musique, est-ce vrai que la perception sensorielle chez les autistes est plus aiguisée, plus performante que chez les autres?
Est-ce ce sentiment d’agression qui empêche les autistes d’aller facilement vers les autres?
Les autistes donnent parfois l’impression de ne pas aimer être touchés. Est-ce votre cas?
Vous avez reçu le diagnostic d’autisme à l’âge adulte, à 38 ans. Comment avez-vous réagi?
L’étiquette d’autisme fait très peur aux parents. Qu’avez-vous envie de dire à ceux dont l’enfant vient d’être diagnostiqué?
Quelles sont les priorités, selon vous, pour assurer le bien-être des personnes autistes?
-L’angoisse des parents et les signes avant-coureursEn conclusion, Brigitte Harrisson croit que lorsque les gens comprendront ce qui appartient aux autistes – les manifestations autistiques externes (la face apparente du trouble) reliées aux effets autistiques internes (la face cachée) – quand ces signaux, avec leur fonction, seront mieux connus, il y aura moins de confusion et très peu de troubles graves du comportement comme on en voit aujourd’hui.