Ne jamais voir de psychiatres ! Ce sont de mon point des tortionnaires de l'âme. C'est de l'extermination pure et simple. Un geste, un mot, est immédiatement pathologique. Avec ces gens aucunes chances de vivre. Ils cassent au nom de leur dogme c'est tout. Le plus grave c'est que tout leur dogme, repose sur un cocaïnomane, atteint d'un cancer de la mâchoire, nommé Freud. Dire qu'au XXIe siècle la "science" mentale repose sur un tel personnage - c'est tout simplement un scandale humanitaire. Mais un scandale qui ne sera jamais remis en cause puisque ce scandale permet aux entreprises pharmaceutiques de poursuivre leur recherche, leur expérimentation et la commercialisation de leur produit de synthèse supposé formater l'esprit humain selon les normes établies par un patriarcat désuet.Updating-Boy a écrit :En première année au 1er semestre,quand je me suis rendu compte que j'avais ma vie gâché à cause d'un ras le bol dont j'ignorais le pourquoi du comment,que je ne comprennais pas pourquoi je me renvoyait systématiquement à mon passé,j'ai pleuré.En disant aussi "non,non je veux pas,non p*****,non",c'était une crise.J'ai même failli être interné à l'hopital psy de limoges.
Y'en a un qu'est allé las bas,bah je vous dit pas dans quel état il est aujourd'hui à dix ans,enfermé avec les adultes malades,sans suivi,sans surveillance,enfermé,gavé de médicaments.Une belle extermination sociale.
Capacité/incapacité à pleurer
Re: Capacité/incapacité à pleurer
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Re: Capacité/incapacité à pleurer
Ouais bon, faut pas généraliser. Freud, ce n'est pas toute la psychiatrie, ça date. Mon fils a commencé à évoluer à partir du moment où il a été valablement suivi dans un service psychiatrique de jour (loin de l'idée que le cinéma nous donne des cliniques psychiatriques). Ensuite il a passé 3 ans dans une clinique comme interne. OK, il y a de bonnes et de moins bonnes choses dans ce genre d'endroits, mais sans passer par là, je me demande où il en serait ?
Aujourd'hui qu'il est suivi par une bonne psychologue comportementale, il est en très bonne voie et pas plus tard que ce midi, j'ai reçu des félicitations de son institutrice spécialisée pour son évolution dans les études (il est en examens).
Aujourd'hui qu'il est suivi par une bonne psychologue comportementale, il est en très bonne voie et pas plus tard que ce midi, j'ai reçu des félicitations de son institutrice spécialisée pour son évolution dans les études (il est en examens).
Re: Capacité/incapacité à pleurer
Chez vous en belgique,l'autisme est bien connu.Vous vous conformez au mouvement anglo saxon.Peut être que si ton fils aurait été suivi dès le départ correctement,jamais tu l'aurais mi en psychatrie.Ouais bon, faut pas généraliser. Freud, ce n'est pas toute la psychiatrie, ça date. Mon fils a commencé à évoluer à partir du moment où il a été valablement suivi dans un service psychiatrique de jour (loin de l'idée que le cinéma nous donne des cliniques psychiatriques). Ensuite il a passé 3 ans dans une clinique comme interne. OK, il y a de bonnes et de moins bonnes choses dans ce genre d'endroits, mais sans passer par là, je me demande où il en serait ?
Je suis désolé,c'est pas en psychatrie qu'on apprend à un enfant autiste la vie en société,les autres.Je suis pas sûr du tout qu'on valorise d'une quelconque manière ses points forts,travaille sur ses points faibles.
Chez nous,l'autisme est encore classifié comme maladie mentale;Et les maladies mentales,d'office c'est psychatrie.
certes,c'est aps bon de mettre tout le monde dans le même sac mais faut bien dire quels hospitaux déconnent,non?
Ton fils ozone,aurait tu accepté d'avoir eut aucun suivi médicale,aucun compte rendu,aucun droit de regard,au moindre questionnement des réponses vagues?
Non je ne pense pas.J'ose même affirmer que tu serais prêt à t'exiler de belgique pour les USA,le royaume uni.
Chez nous,on peut pas dénnoncer un établissement fautif comme celui d'esquirolles à limoges.On peut pas dire haut et fort leur tords,leur violation du code de santé publique,du protocole de la HAS.
J'ai lu la lettre ecrite par les parents de tristan:esquirolles l'a éliminé.
Bon aujourd'hui,il ne se trouve plus dans cette hospital psy.mais les gens qui ont dirigés ces traitements,fait culpabilisé les parents,devraient être en train de rendre des comptes en justice,rendre des comptes au minsitère ,rendre des comptes envers la société pour avoir utiliser l'argent public pour de la maltraitance,de l'élimination sociale.Ces gens devraient être interdits d'exercer,cités en justice devant le parquet de limoges,subir le réquisitoire du procureur de la république,subir les accusations de l'avocat des parents de tristan.Et croupir en prison,même passer devant la cours européenne des droits de l'homme.
Seulement les parents veulent pas dénnoncer.Moi je peux pas parce que je risque ma futur réputation et de perdre à vie toute crédibilité professionnelle.
Comme l'a dit nouvelle,ces personnes bénéficient d'une immunité médicale et pénale complète.Tant qu'on osera pas dire la vérité,tant que la presse ne s'en mêlera pas,ne fera pas chialer l'opinion publique,ces gens seront toujours là dans leur bureau,sans avoir payer pour leur crimes.
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Re: Capacité/incapacité à pleurer
Et qui aurait établi le diagnostic en dehors d'un service psychiatrique universitaire ? Il n'était pas évident de penser à quelque chose de neurologique. Et je vais te dire, mon fils a énormément de chance d'avoir une mère médecin spécialiste (même si comme mère je suis loin de l'approuver).Updating-Boy a écrit :Peut être que si ton fils aurait été suivi dès le départ correctement,jamais tu l'aurais mi en psychatrie.
Je n'aurais jamais eu les moyens de m'exiler où que ce soit.
Re: Capacité/incapacité à pleurer
Il ne faut pas confondre la psychiatrie qui est une branche de la médecine, la psychologie qui est une science humaine et la psychanalyse dont la pratique n'est pas encadrée. En effet, les psychiatres, pour exercer dans les hôpitaux ou les cliniques doivent obtenir leur diplôme qui se passe dans les facultés de médecine alors que les psychologues, eux, étudient dans les universités de psychologie. Seuls les premiers sont autorisés à prescrire des médicaments. En ce qui concerne la psychanalyse, il n'y a pas de diplôme et tout le monde peut devenir psychanalyste si il le souhaite donc, souvent, ce sont des charlatans qui ont trouvé un moyen de se faire de l'argent facilement. En ce qui concerne Sigmund Freud, il a énormément apporté à la psychanalyse et à la psychologie, mais pas à la psychiatrie (car il ne s'y est pas intéressé). Toutes ses théories ne sont pas exactes, c'est certain, mais ses travaux méritent le respect qu'ils reçoivent. Récemment, un auteur a écrit un livre qui rabaissé S. Freud (un peu comme dans la réponse citée) mais j'ai cru comprendre que face à la vive réaction qu'a suscité cette publication, le livre n'a pas été publié en grand nombre...Nouvelle a écrit :Ne jamais voir de psychiatres ! Ce sont de mon point des tortionnaires de l'âme. C'est de l'extermination pure et simple. Un geste, un mot, est immédiatement pathologique. Avec ces gens aucunes chances de vivre. Ils cassent au nom de leur dogme c'est tout. Le plus grave c'est que tout leur dogme, repose sur un cocaïnomane, atteint d'un cancer de la mâchoire, nommé Freud. Dire qu'au XXIe siècle la "science" mentale repose sur un tel personnage - c'est tout simplement un scandale humanitaire. Mais un scandale qui ne sera jamais remis en cause puisque ce scandale permet aux entreprises pharmaceutiques de poursuivre leur recherche, leur expérimentation et la commercialisation de leur produit de synthèse supposé formater l'esprit humain selon les normes établies par un patriarcat désuet.
Je ne pense pas que cela soit très intelligent de dire de telles absurdités sur un sujet tel que celui la.
Pour en revenir au sujet original, j'ai moi même une relation particulière avec la tristesse. Souvent, je ne sais pas que je suis triste et encore moins la raison (c'est pareil avec tous les sentiments). Enfant, je ne savais pas pleurer donc j'imitais mes frères mais comme il n'y avait pas de larmes donc mes parents pensaient que je faisais cela pour les manipuler (ce qui était vrai certaines fois). Maintenant, il m'arrive de pleurer dans mon appartement, le soir, car c'est un moyen de libérer toute l'angoisse et l'énervement accumulé. Néanmoins, je ne pleure pas en société. Aussi, je ne souris que très peu et ne ris jamais, souvent mes parents pensent que je "fais la g*****", selon leur expression (ce qui est rarement le cas).
"Sick, sad world."
Re: Capacité/incapacité à pleurer
J'ai eut des débuts de pleurs:les larmes,la gorge qui se bloque.Je suis allé dehors faire mes courses,achetés mes billets de train.Et puis dans la rue,à regarder les gens,les choses,y'a un truc qui m'a émut:le fait que je me sente comme simple mortel,oui simple mortel.Que y'a des trucs dont j'aurais jamais l'utilité,que jamais je pourrais aller dans le mouvement si compétitif et frénétique du consumerisme.je consomme mais pas comme voudrait la norme.Souvent, je ne sais pas que je suis triste et encore moins la raison (c'est pareil avec tous les sentiments). Enfant, je ne savais pas pleurer donc j'imitais mes frères mais comme il n'y avait pas de larmes donc mes parents pensaient que je faisais cela pour les manipuler (ce qui était vrai certaines fois). Maintenant, il m'arrive de pleurer dans mon appartement, le soir, car c'est un moyen de libérer toute l'angoisse et l'énervement accumulé. Néanmoins, je ne pleure pas en société. Aussi, je ne souris que très peu et ne ris jamais, souvent mes parents pensent que je "fais la g*****", selon leur expression (ce qui est rarement le cas).
J'étais dans le bureau,en train d'attendre mon tour.J'ai fixé les objets,et aussi une juene femme que je connais bien.Elle est toujours aimable,gentille,souriante.J'ai acheté des billets,en même temps j'avais des larmes qui coulait.Elle a rien dit du tout et puis ca c'est finis gentilment.Y'a pas eut de réponse sèche,pour casser ma pensée.
J'aime pas ça d'ailleurs quand une tierce personne me casse brutallement de "mon nuage";je sais plus ou je vais,je doit passer un certain temps à reconfigurer toutes mes priorités,ce que je doit faire,ect...
Je me souviens aussi d'une période ou je pleurais à cause de filles.Déchu parce que j'avais fait temps d'effort pour correspondre à la norme et ca ne passait pas,j'étais refusé.Et quand je voulais oublier,bah fallait enr ajouter une couche,j'aimais pas ça.
Je pleure plus quand j'échoue face aux filles mais je me send encore torturé,déstabillisé.Personne m'a encore donné d'idées,de trucs pour que ca aille mieux,personne.
Au final,je veux pas aller sur doctissimo.J'ai plus de jus,ici ca va.Sur docti,faut faire des efforts de rédaction,lire les sujets,changer parfois un message trop excessif.
Et y'a aussi le fait de supporter que des membres pigent pas du tout ce que dit,comprennent une partie et jugent tout,sans avoir compris l'ensemble.J'aime pas non plus,ca m'énerve.
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Re: Capacité/incapacité à pleurer
Ouh, ce n'est pas la forme, non ? L'hiver est là, ça se sent…
Mais faut bien dire que s'il doit avoir le sentiment qu'on ne le comprend pas, c'est peut-être aussi qu'il a du mal à s'exprimer de manière à être compréhensible, à capter ce qu'on lui répond.
C'est bien triste…
Alors, faisons un break.
Parlons un instant de notre capacité à rire.
Exercice pratique :
Dans un forum comme celui-ci, ça doit arriver tout le temps, non ? Je n'ose même pas imaginer ce que doit se dire Toni en ce moment…Updating-Boy a écrit :Et y'a aussi le fait de supporter que des membres pigent pas du tout ce que dit,comprennent une partie et jugent tout,sans avoir compris l'ensemble.
Mais faut bien dire que s'il doit avoir le sentiment qu'on ne le comprend pas, c'est peut-être aussi qu'il a du mal à s'exprimer de manière à être compréhensible, à capter ce qu'on lui répond.
C'est bien triste…
Alors, faisons un break.
Parlons un instant de notre capacité à rire.
Exercice pratique :
- Un jeune gars entre dans un bar…
- - Patron, sept pastis !
- Voilà, voilà…
Et hop, pareil pour le deuxième.
Il se saisit du troisième…
- - Holà, holà… C'est pour quoi tout ces pastis ?
- Ben, aujourd'hui c'était ma première pipe…
- Ha, évidemment, ça s'arrose. Je vous offre un huitième…
- Non, non. Si le septième n'arrive pas à faire passer le goût, pas la peine…
- - Patron, sept pastis !
Re: Capacité/incapacité à pleurer
Rien compris
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Re: Capacité/incapacité à pleurer
Oups, c'est vrai ?! C'est bien délicat.
Tu n'as jamais entendu parler d'une "pipe" ? Une fellation. C'était la première fois qu'il faisait une fellation à quelqu'un et il n'a pas aimé le goût.
C'est dur pour toi, là. Je comprends. Je suis désolé de t'avoir fait ça.
Tu n'as jamais entendu parler d'une "pipe" ? Une fellation. C'était la première fois qu'il faisait une fellation à quelqu'un et il n'a pas aimé le goût.
C'est dur pour toi, là. Je comprends. Je suis désolé de t'avoir fait ça.
Re: Capacité/incapacité à pleurer
Merci pour l'explication.0z0ne a écrit :Oups, c'est vrai ?! C'est bien délicat. Tu n'as jamais entendu parler d'une "pipe" ? Une fellation. C'était la première fois qu'il faisait une fellation à quelqu'un et il n'a pas aimé le goût.
C'est dur pour toi, là. Je comprends. Je suis désolé de t'avoir fait ça.
"On construit tant de murs et si peu de ponts" Isaac Newton