Textes/poemes
Textes/poemes
05/11/2003
KILL YOURSELF
S'en vouloir de penser
Des choses insensées
Ne plus vouloir penser
Commencer à s'autodétruire
Toutes ces illusions
De bonheur et de joie
Deviennent insupportables
Il faut presser l'inévitable
LA SEULE ALTERNATIVE
A CETTE VIE PERFIDE
QUE POURTANT TU ESQUIVES
RESTERA LE SUICIDE
Vivre dans la souffrance
Ne rien pouvoir y faire
Sentir la délivrance
Du temps qui accélère
Sentir des gens qui m'aiment
Ne pas savoir pourquoi
Jeter contre eux ma haine
Leur faire du mal à chaque fois
LA SEULE ALTERNATIVE
A CETTE VIE PERFIDE
QUE POURTANT TU ESQUIVES
RESTERA LE SUICIDE
Aimer de tout son coeur
Ne jamais le montrer
Provoquer la douleur
Et toujours culpabiliser
Ignorer les efforts
Prendre goût à la mort
Ignorer le bonheur
Il me faut partir avant l'heure
LA SEULE ALTERNATIVE
A CETTE VIE PERFIDE
QUE POURTANT TU ESQUIVES
RESTERA LE SUICIDE
Renoncer à l'envie
Renoncer à la vie
Renoncez à vos pleurs
Quand j'irai vers un monde meilleur
KILL YOURSELF
S'en vouloir de penser
Des choses insensées
Ne plus vouloir penser
Commencer à s'autodétruire
Toutes ces illusions
De bonheur et de joie
Deviennent insupportables
Il faut presser l'inévitable
LA SEULE ALTERNATIVE
A CETTE VIE PERFIDE
QUE POURTANT TU ESQUIVES
RESTERA LE SUICIDE
Vivre dans la souffrance
Ne rien pouvoir y faire
Sentir la délivrance
Du temps qui accélère
Sentir des gens qui m'aiment
Ne pas savoir pourquoi
Jeter contre eux ma haine
Leur faire du mal à chaque fois
LA SEULE ALTERNATIVE
A CETTE VIE PERFIDE
QUE POURTANT TU ESQUIVES
RESTERA LE SUICIDE
Aimer de tout son coeur
Ne jamais le montrer
Provoquer la douleur
Et toujours culpabiliser
Ignorer les efforts
Prendre goût à la mort
Ignorer le bonheur
Il me faut partir avant l'heure
LA SEULE ALTERNATIVE
A CETTE VIE PERFIDE
QUE POURTANT TU ESQUIVES
RESTERA LE SUICIDE
Renoncer à l'envie
Renoncer à la vie
Renoncez à vos pleurs
Quand j'irai vers un monde meilleur
29/05/2004
Conscience
Là où la simplicité est le maître mot
Là où paix et bonheur vivent en harmonie
Là où l'on ne connait pas le son des sanglots
L'homme a échoué et échouera à l'infini
Océan si immense, Océan si profond
Dont on ne voit pourtant qu'une infime surface
S'écoule tranquillement sans émettre aucun son
Au fur et a mesure que mes pensées s'effacent
Un jour je ne serai plus que poussière d'étoile
Je serai la lumière qui brille dans le noir
Mais jamais n'atteindrai pureté de cristal
Malgré tous mes efforts, malgré tout mon espoir
Peu à peu le temps passe et les fleurs se meurent
L'heure de tout oublier se rapproche à grands pas
Je me dis qu'il ne faut surtout pas que j'ai peur
Pour un dernier instant une dernière joie
Se réveiller, sachant qu'un jour il faut mourir
Réfléchir un moment avant de s'endormir
Chercher toute sa vie quel est son devenir
Et n'avoir que la mort pour dernier souvenir.
Ces mots, juste pour toi un instant de bonheur
Un oiseau qui s'envole, une abeille qui butine
Profiter de la vie dans toute sa splendeur
Est possible si l'on pense au prénom Marine.
Conscience
Là où la simplicité est le maître mot
Là où paix et bonheur vivent en harmonie
Là où l'on ne connait pas le son des sanglots
L'homme a échoué et échouera à l'infini
Océan si immense, Océan si profond
Dont on ne voit pourtant qu'une infime surface
S'écoule tranquillement sans émettre aucun son
Au fur et a mesure que mes pensées s'effacent
Un jour je ne serai plus que poussière d'étoile
Je serai la lumière qui brille dans le noir
Mais jamais n'atteindrai pureté de cristal
Malgré tous mes efforts, malgré tout mon espoir
Peu à peu le temps passe et les fleurs se meurent
L'heure de tout oublier se rapproche à grands pas
Je me dis qu'il ne faut surtout pas que j'ai peur
Pour un dernier instant une dernière joie
Se réveiller, sachant qu'un jour il faut mourir
Réfléchir un moment avant de s'endormir
Chercher toute sa vie quel est son devenir
Et n'avoir que la mort pour dernier souvenir.
Ces mots, juste pour toi un instant de bonheur
Un oiseau qui s'envole, une abeille qui butine
Profiter de la vie dans toute sa splendeur
Est possible si l'on pense au prénom Marine.
Modifié en dernier par -Pika- le 20 déc. 2009, 06:47, modifié 1 fois.
13/10/2004
Le temps
Aussi vite passe le temps
Qu'après un drâme_passent les pleurs
Le ciel virant du noir au blanc
Tout en nuançant les couleurs
Un jour il me faudra partir
Dix-neuf ans, j'ai encor le temps
Je sais que je vais vite_vieillir
Que je n'aurai plus de présent
Passés sont tous mes souvenirs
Mais encor présents dans ma tête
J'aimerai pouvoir revenir
Au temps où je faisais la fête
Au temps où proches et amis
S'amusaient lors de grands repas
Tous ceux que j'aimais réunis
même table sous même toit
Comment pouvoir réaliser
Qu'hier j'étais encore en vie
Aujourd'hui je vous ai quitté
Je suis devenu l'infini
Le temps
Aussi vite passe le temps
Qu'après un drâme_passent les pleurs
Le ciel virant du noir au blanc
Tout en nuançant les couleurs
Un jour il me faudra partir
Dix-neuf ans, j'ai encor le temps
Je sais que je vais vite_vieillir
Que je n'aurai plus de présent
Passés sont tous mes souvenirs
Mais encor présents dans ma tête
J'aimerai pouvoir revenir
Au temps où je faisais la fête
Au temps où proches et amis
S'amusaient lors de grands repas
Tous ceux que j'aimais réunis
même table sous même toit
Comment pouvoir réaliser
Qu'hier j'étais encore en vie
Aujourd'hui je vous ai quitté
Je suis devenu l'infini
Nous avons fait l'amour, nous sommes dit "je t'aime"
Avons privilégié la douceur à la haine,
Voulions tout partager, les joies comme les peines
Aussi je t'ai promis que ma vie serai tienne
Je n'ai jamais voulu te voir un jour souffrir
Toujours cru au meilleur et délaissé le pire
Mais désormais n'étant pour toi qu'un souvenir
Je n'ai plus d'autre choix que celui de mourir
S'il te plait, je t'en prie, comprends que j'ai fait ca
Continues d'avancer et ne me juge pas
C'est bien mieux pour nous deux, bien mieux pour toi et moi
J'ai tenu ma promesse alors vite oublie moi
Avons privilégié la douceur à la haine,
Voulions tout partager, les joies comme les peines
Aussi je t'ai promis que ma vie serai tienne
Je n'ai jamais voulu te voir un jour souffrir
Toujours cru au meilleur et délaissé le pire
Mais désormais n'étant pour toi qu'un souvenir
Je n'ai plus d'autre choix que celui de mourir
S'il te plait, je t'en prie, comprends que j'ai fait ca
Continues d'avancer et ne me juge pas
C'est bien mieux pour nous deux, bien mieux pour toi et moi
J'ai tenu ma promesse alors vite oublie moi
Freestyle
Là où le sadisme, la cruauté, le mal
Et la haine ont acquis une place royale
Je laisserai mon corps répandre l'infernal
Et mon âme à jamais restera Saint Graal.
Ce qui s'assemble et ne fait qu'un je briserai
Rien ne fera cesser cet ultime massacre
Cette flamme qui brille en chacun j'éteindrai
A droite de Satan je recevrai le sacre.
Au contraire de la lune je reflète l'obscur
Au contraire de la vie je reflète l'espoir
Au-delà de la vie mon coeur restera pur
L'au-delà de la mort restera illusoir.
La vision de la vie chez l'homme n'est que nuances
Chacune différente, par la vie sont reliées
Nul ne peut devinner ce que les autres pensent
La mort pacifiste nous empêche de penser.
Prisonniers de mon coeur sont ceux que j'ai aimé,
Que j'aime et qui un jour partiront en silence
Je vis comme je nacquis et comme je mourrai
Dominé par les cris présageant la souffrance.
Heureux vivra l'inculte, embelissant la vie,
priant des forces encore inconnues selon lui,
Espérant un jour accéder au paradis,
a la gauche du père, droite du saint esprit.
Là où le sadisme, la cruauté, le mal
Et la haine ont acquis une place royale
Je laisserai mon corps répandre l'infernal
Et mon âme à jamais restera Saint Graal.
Ce qui s'assemble et ne fait qu'un je briserai
Rien ne fera cesser cet ultime massacre
Cette flamme qui brille en chacun j'éteindrai
A droite de Satan je recevrai le sacre.
Au contraire de la lune je reflète l'obscur
Au contraire de la vie je reflète l'espoir
Au-delà de la vie mon coeur restera pur
L'au-delà de la mort restera illusoir.
La vision de la vie chez l'homme n'est que nuances
Chacune différente, par la vie sont reliées
Nul ne peut devinner ce que les autres pensent
La mort pacifiste nous empêche de penser.
Prisonniers de mon coeur sont ceux que j'ai aimé,
Que j'aime et qui un jour partiront en silence
Je vis comme je nacquis et comme je mourrai
Dominé par les cris présageant la souffrance.
Heureux vivra l'inculte, embelissant la vie,
priant des forces encore inconnues selon lui,
Espérant un jour accéder au paradis,
a la gauche du père, droite du saint esprit.
Onze heures moins cinq.
Jamais je n'aurai cru pouvoir ressentir autant de douleur psychique.
Comme si l'univers arrêtait d'exister et que j'étais seul à survivre,
si du moins survivre je pûs.
La douleur physique, on peut en jouer, on peut la forcer, l'atténuer...
On peut se crâmer les bras avec des clopes, claquer son poing contre
un mur jusqu'à en saigner, on peut se faire mal au foie jusqu'à en gerber,
se faire mal au coeur jusqu'à en crever,
Mais la détresse morale, on n'y peut rien, ou presque. Que la vie est moche,
on le sait dès le départ, ou presque.
Presque, parce que quand on nait, on ne sait rien. On prend comme ca vient, on
prend... Puis on apprend...
Ce qu'on n'apprend pas, c'est que tout ce réseau qu'on se crée, en pensant
qu'il est réel, pire encore, en sachant que c'est la seule chose réelle,
ces liens qu'on noue avec nos proches, nos amis, notre famille...
Ce qu'on n'apprend pas, c'est que ces liens ne font qu'empirer la vie, sauf
si on s'y attache à tel point qu'on en vient à en créer d'autres, à procréer
d'autres, auquel cas on arrive à faire en sorte que la personne qui souffre
ne soit plus nous-même, mais l'autre si à son tour il ne transmet pas cette
"vie".
Une vie, égoiste,sans penser à personne,
Une vie optimiste, le bonheur qui raisonne,
Une vie conciliant et les autres et soi-même
Une vie où l'on peut dire que des gens nous aiment
Ne jamais savoir quel choix est le bon
Ne jamais pouvoir affirmer que l'on
sait quel choix faire, quelle attitude adopter
Ou de quelle manière les choses doivent se passer.
Ne jamais rien savoir de tout ce qui nous entoure,
Ne jamais vraiment comprendre ce qu'est l'amour,
Ne pas être capable de supporter un paradoxe,
Ne rien savoir faire d'autre que répendre l'intox.
Dire à ses proches qu'on les déteste alors qu'en fait
Ce sont les personnes qui comptent le plus pour nous, c'est un fait.
Dire à ceux qu'on aime qu'on les déteste alors que pour de vrai,
Pour rien au monde on ne les échangerai, ni les abandonnerai.
Essayer de vivre avec un fardeau dont on ne peut rien
Vivre avec un fardeau qu'on estime ne pas être le sien,
Résister à la tentation de f***** en l'air le peu qui reste,
Vivre avec la conviction qu'un jour on ne sera plus "celui qui leste"
Ne plus paraitre comme un poids, pour soi-même ou pour sa famille,
Ne pas savoir qu'on a le choix, tout faire pour que ca parte en vrille
Etre déboussolé au point qu'on ne sait plus que faire vraiment
Etre persuadé qu'au bonheur on ne peut être prétendant.
Essayer de se faire oublier, sans en percevoir l'intérêt
Se dire que si l'on doit partir, c'est maintenant ou jamais,
En avoir assez de faire souffrir, ne jamais réussir à faire plaisir
En avoir plus que ras-le-bol de voir en rêve les gens mourir.
Savoir qu'au bout du compte la seule issue est la coupure.
Forcer a contre-coeur un scénario paraissant déja écrit,
Être conscient que briser les liens créera une déchirure
Et pourtant rompre tous les liens, que ce soit famille ou amis.
En avoir assez de débattre des sujets n'amenant à rien,
Tenter tant bien que mal d'exprimer la raison de nos actes,
Ne pas savoir annoncer qu'il vaut mieux pour tout le monde que l'on soit loin,
Avoir du mal à digérer ne plus avoir aucun contact.
Ne pas pouvoir se résoudre, espérer toujours que ça s'arrange,
En sachant que si ca arrive, le premier pas sera des autres.
Attendre, chasser de sa mémoire ce qui dans la vérité dérange,
Attendre, chasser de sa mémoire les atrocités qui sont nôtres.
Ce poême, juste pour faire part de ce que je ressens,
sans en compter les vers, sans chercher le pardon.
Juste pour que vous sachiez, que si contact je ne reprends,
ce n'est pas pour autant que nous ne vous aimons.
Oui, nous, car multiples sont certainement mes personnalités,
pour parler sous l'alcool ou sous la sobriété,
pour vous dire adieu ce soir, sachant que je le regretterai demain,
Pour ne pas vous dire que tout ce temps avec vous j'étais bien.
Jamais je n'aurai cru pouvoir ressentir autant de douleur psychique.
Comme si l'univers arrêtait d'exister et que j'étais seul à survivre,
si du moins survivre je pûs.
La douleur physique, on peut en jouer, on peut la forcer, l'atténuer...
On peut se crâmer les bras avec des clopes, claquer son poing contre
un mur jusqu'à en saigner, on peut se faire mal au foie jusqu'à en gerber,
se faire mal au coeur jusqu'à en crever,
Mais la détresse morale, on n'y peut rien, ou presque. Que la vie est moche,
on le sait dès le départ, ou presque.
Presque, parce que quand on nait, on ne sait rien. On prend comme ca vient, on
prend... Puis on apprend...
Ce qu'on n'apprend pas, c'est que tout ce réseau qu'on se crée, en pensant
qu'il est réel, pire encore, en sachant que c'est la seule chose réelle,
ces liens qu'on noue avec nos proches, nos amis, notre famille...
Ce qu'on n'apprend pas, c'est que ces liens ne font qu'empirer la vie, sauf
si on s'y attache à tel point qu'on en vient à en créer d'autres, à procréer
d'autres, auquel cas on arrive à faire en sorte que la personne qui souffre
ne soit plus nous-même, mais l'autre si à son tour il ne transmet pas cette
"vie".
Une vie, égoiste,sans penser à personne,
Une vie optimiste, le bonheur qui raisonne,
Une vie conciliant et les autres et soi-même
Une vie où l'on peut dire que des gens nous aiment
Ne jamais savoir quel choix est le bon
Ne jamais pouvoir affirmer que l'on
sait quel choix faire, quelle attitude adopter
Ou de quelle manière les choses doivent se passer.
Ne jamais rien savoir de tout ce qui nous entoure,
Ne jamais vraiment comprendre ce qu'est l'amour,
Ne pas être capable de supporter un paradoxe,
Ne rien savoir faire d'autre que répendre l'intox.
Dire à ses proches qu'on les déteste alors qu'en fait
Ce sont les personnes qui comptent le plus pour nous, c'est un fait.
Dire à ceux qu'on aime qu'on les déteste alors que pour de vrai,
Pour rien au monde on ne les échangerai, ni les abandonnerai.
Essayer de vivre avec un fardeau dont on ne peut rien
Vivre avec un fardeau qu'on estime ne pas être le sien,
Résister à la tentation de f***** en l'air le peu qui reste,
Vivre avec la conviction qu'un jour on ne sera plus "celui qui leste"
Ne plus paraitre comme un poids, pour soi-même ou pour sa famille,
Ne pas savoir qu'on a le choix, tout faire pour que ca parte en vrille
Etre déboussolé au point qu'on ne sait plus que faire vraiment
Etre persuadé qu'au bonheur on ne peut être prétendant.
Essayer de se faire oublier, sans en percevoir l'intérêt
Se dire que si l'on doit partir, c'est maintenant ou jamais,
En avoir assez de faire souffrir, ne jamais réussir à faire plaisir
En avoir plus que ras-le-bol de voir en rêve les gens mourir.
Savoir qu'au bout du compte la seule issue est la coupure.
Forcer a contre-coeur un scénario paraissant déja écrit,
Être conscient que briser les liens créera une déchirure
Et pourtant rompre tous les liens, que ce soit famille ou amis.
En avoir assez de débattre des sujets n'amenant à rien,
Tenter tant bien que mal d'exprimer la raison de nos actes,
Ne pas savoir annoncer qu'il vaut mieux pour tout le monde que l'on soit loin,
Avoir du mal à digérer ne plus avoir aucun contact.
Ne pas pouvoir se résoudre, espérer toujours que ça s'arrange,
En sachant que si ca arrive, le premier pas sera des autres.
Attendre, chasser de sa mémoire ce qui dans la vérité dérange,
Attendre, chasser de sa mémoire les atrocités qui sont nôtres.
Ce poême, juste pour faire part de ce que je ressens,
sans en compter les vers, sans chercher le pardon.
Juste pour que vous sachiez, que si contact je ne reprends,
ce n'est pas pour autant que nous ne vous aimons.
Oui, nous, car multiples sont certainement mes personnalités,
pour parler sous l'alcool ou sous la sobriété,
pour vous dire adieu ce soir, sachant que je le regretterai demain,
Pour ne pas vous dire que tout ce temps avec vous j'étais bien.
vouloir partir avant les autres,
vouloir rester le plus longtemps,
vouloir déconnecter.
ne pas pouvoir sauter.
Vouloir pour eux le plus grand bien,
vouloir pour soi la joie des siens,
vouloir l'éternité.
Pouvoir se demander
pourquoi devoir tous y passer,
pourquoi toujours se questionner,
au lieu de profiter
de l'éphémérité.
La vie est simple et compliquée
car joies et peines y sont liées,
Le temps mets longtemps à passer
mais n'est plus, une fois expiré,
Cette période si vite arrivée
appellée le temps des regrets
nous plonge dans l'envie du passé,
l'envie de tout recommencer,
Aussi longtemps qu'il le faudra,
Tant que la terreur reignera,
Tant que l'image du néant,
Projection faite par un vivant
de son image dans deux cents ans
Qui l'effraie tant mais qui pourtant
Jour après jour répond présent.
Même si l'on ne peut changer
Notre destin éphémère,
Essayons tous d'évoluer
Jusque la lumière.
Je ne suis peut-être pas le meilleur selon votre conception du meilleur,
Mais je suis le meilleur selon ma conception du bonheur.
vouloir rester le plus longtemps,
vouloir déconnecter.
ne pas pouvoir sauter.
Vouloir pour eux le plus grand bien,
vouloir pour soi la joie des siens,
vouloir l'éternité.
Pouvoir se demander
pourquoi devoir tous y passer,
pourquoi toujours se questionner,
au lieu de profiter
de l'éphémérité.
La vie est simple et compliquée
car joies et peines y sont liées,
Le temps mets longtemps à passer
mais n'est plus, une fois expiré,
Cette période si vite arrivée
appellée le temps des regrets
nous plonge dans l'envie du passé,
l'envie de tout recommencer,
Aussi longtemps qu'il le faudra,
Tant que la terreur reignera,
Tant que l'image du néant,
Projection faite par un vivant
de son image dans deux cents ans
Qui l'effraie tant mais qui pourtant
Jour après jour répond présent.
Même si l'on ne peut changer
Notre destin éphémère,
Essayons tous d'évoluer
Jusque la lumière.
Je ne suis peut-être pas le meilleur selon votre conception du meilleur,
Mais je suis le meilleur selon ma conception du bonheur.
Paraître prouver, Penser chercher, Vouloir être.
Etre quelqu'un, être conscient
Etre soi-même, être vraiment
Etre celui qui pense pour soi
Etre celui qui pense à toi
Paraître ce que les gens veulent
Paraître entouré ou bien seul
Paraître un homme, paraître mûr
Paraître n'est pas le plus dur
Chercher à paraître sans être
Chercher à se différencier
Chercher peut-être à disparaître
Pour être ce que l'on paraît
Paraître pour chercher à être,
Etre un homme paraîssant chercher
Chercher à être sans paraître
Ne plus savoir ce que l'on est
Prouver l'existance d'une chose,
Penser sans vraiment y penser
Vouloir un jour être en osmose
Avec ce qui nous a créé
Prouver notre éphémérité
Penser à ne plus réfléchir
Vouloir à tout pris y penser
Avec une larme et un sourire
Penser et puis se rendre compte
Que d'un seul coup sans prévenir
La mort surgit et nous affronte,
Que nous n'avons plus d'avenir
Vouloir aimer mais c'est trop tard
Le Grand Décompte est terminé
Essayer de garder l'espoir
Et puis accepter.
Etre quelqu'un, être conscient
Etre soi-même, être vraiment
Etre celui qui pense pour soi
Etre celui qui pense à toi
Paraître ce que les gens veulent
Paraître entouré ou bien seul
Paraître un homme, paraître mûr
Paraître n'est pas le plus dur
Chercher à paraître sans être
Chercher à se différencier
Chercher peut-être à disparaître
Pour être ce que l'on paraît
Paraître pour chercher à être,
Etre un homme paraîssant chercher
Chercher à être sans paraître
Ne plus savoir ce que l'on est
Prouver l'existance d'une chose,
Penser sans vraiment y penser
Vouloir un jour être en osmose
Avec ce qui nous a créé
Prouver notre éphémérité
Penser à ne plus réfléchir
Vouloir à tout pris y penser
Avec une larme et un sourire
Penser et puis se rendre compte
Que d'un seul coup sans prévenir
La mort surgit et nous affronte,
Que nous n'avons plus d'avenir
Vouloir aimer mais c'est trop tard
Le Grand Décompte est terminé
Essayer de garder l'espoir
Et puis accepter.
Nous allons droit vers le néant,
L'apocalypse, fin du temps
Je ne me sens pas différent
Des hommes si indifférents
Je ne vois là aucune issue
Pour l'homme qui n'a rien a faire
Des dégats faits en son vécu
De ces dégats qui l'indiffèrent
La planète souffre et alors ?
Nous ne serons plus de ce monde
Quand ce que nous faisons à tort
Rendra cette planète immonde
Je voudrais être différent
Mais à présent je désespère
Je ne peux que faire semblant
De différer de mes confrères
En réalité je ne suis
Qu'égoïste et malsaint d'esprit
En ne pensant qu'à mon profit
et ce au détriment d'autrui
L'apocalypse, fin du temps
Je ne me sens pas différent
Des hommes si indifférents
Je ne vois là aucune issue
Pour l'homme qui n'a rien a faire
Des dégats faits en son vécu
De ces dégats qui l'indiffèrent
La planète souffre et alors ?
Nous ne serons plus de ce monde
Quand ce que nous faisons à tort
Rendra cette planète immonde
Je voudrais être différent
Mais à présent je désespère
Je ne peux que faire semblant
De différer de mes confrères
En réalité je ne suis
Qu'égoïste et malsaint d'esprit
En ne pensant qu'à mon profit
et ce au détriment d'autrui
Ces quelques textes, pour mieux vous faire comprendre ce à quoi je pense,
Ces quelques écrits, pour que vous vous rendiez compte de ce qui me hante en permanence,
Ces quelques vers, ces quelques phrases, qui sont le fond de ma souffrance,
Ces quelques rimes qui ne seront jamais compris mais me permettent la délivrance...
Ces quelques écrits, pour que vous vous rendiez compte de ce qui me hante en permanence,
Ces quelques vers, ces quelques phrases, qui sont le fond de ma souffrance,
Ces quelques rimes qui ne seront jamais compris mais me permettent la délivrance...